Partie 44.

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Je ne répondis pas et sorti. Vas-y lui il me dit à plus or qu'il est condamné à je ne sais combien de temps. J'espère longtemps ! Il est trop bizarre. Je dis au revoir aux policiers et sortis dehors. De l'air frais, ça faisait trop de bien. Maintenant il me restait plus qu'à retrouver les deux autres mongoles. Je vais faire comment moi ?! Je suis sûre qu'ils n'ont pas étaient chopés car Omarion il est trop malin. Je fais le tour du parking mais ils n'étaient pas là !Je marche encore un peu mais j'en avais marre. C'est de sa faute si je suis perdue. Je m'assis sur un muret et attendis 20 minutes au moins. Il commençait à faire noir, le soleil commençait à se coucher.


Ça faisait maintenant presque 1 heure que j'étais là et je ne savais pas quoi faire. Je sais même pas s'ils vont revenir me chercher. Je ne sais même pas où ils sont et je ne sais pas où je suis. Juste derrière moi, à même pas 20 pas de moi, il y avait 10 jeunes de 12-13 ans qui s'étaient regroupés. Ils commençaient à s'insulter entre eux. Ça commençait à devenir de plus en plus violent. 


Moi j'étais sur le muret, derrière moi il y avait les jeunes et derrière les jeunes il y avait une voiture qui s'était arrêté. La voiture de Jack mais qu'Omarion avait pris. Deux mecs avec des capuches en sortirent, traversèrent la rue et commencèrent à embrouiller les deux petits qui se bagarraient. Je reconnus direct la dégaine à Omarion et le deuxième mec je pense que c'est celui qui était avec tout à l'heure. 


Omarion : Arrêter de vous battre là. La violence ne résout rien. 


Le petit : C'est que tu tape pas assez fort. 


Omarion : Tu veux voir si je tape assez fort ou pas ?


Le petit commençait à paniquer. Omarion était dos à moi et son pote me regardais. Je voyais pas son visage mais je voyais qu'il me regardait. Les petits se dispersèrent mais toujours en s'insultant. Omarion arriva vers moi en étant essoufflé. On aurait dis qu'il venait de courir un marathon. L'autre mec ne bougea pas d'un poil. Il avait sa capuche sur la tête, une tenue adidas et une cigarette coincé entre l'index et le majeur.


Omarion : C'est bon t'as pas trop attendue ? 


Moi : Ça fait 4 heures que j'attends mais bon. 


Bon j'exagère hein ... mais c'est juste pour qu'il culpabilise. Au lieu de ça il rigola. 


Omarion: Au moins ça t'as permis de prendre l'air. 


Moi : T'es marrant toi. 


Omarion : Ouais je sais on me le dit souvent. 


Moi : Ça va les chevilles ? Elles enflent pas trop ? 


Omarion : Non les miennes elles sont musclées t'inquiète. 


En plus de ça il se fout de moi alors je décide de lui faire un peu peur. 


Moi : J'ai perdu le chèque. 


Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant