Partie 62.

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J'avais à peine fini de prononcer ma phrase qu'il partit vers la porte et la ferma à clé, il éteignit la lumière, m'attrapa le bras en le serrant, j'avais l'impression qu'il me broyait les veines. Il me lança vers le mur assez doucement à vrai dire. Mais il m'avait quand même poussé donc cette fois-ci je m'en fou je me défends, ça peut partir en couille mais ça en vaut la peine, je pense qu'il se trompe à mon sujet, je suis peut-être la petite bourgeoise de Miami mais faut croire que je suis dangereuse quand je m'énerve ?Je sentais mon côté « sauvage » surgir. Une partie de moi que je ne connaissais pas d'ailleurs. Je me suis toujours demandais qui j'étais, je commençais à le savoir. J'appuyais ma main sur le mur pour prendre de l'élan pour partir vers lui, j'avais vraiment de la haine. Je sais que j'ai dit que la haine c'est la colère des faibles mais j'étais faible ... oui faible devant lui.Je m'approchais et donna une grosse patate. Oui je pèse mes mots,GROSSE et FRAICHE sur son visage. Je m'étais presque transformait. 


Il tourna la tête en se tenant le nez. Wouah je l'avais fait saigner du nez ? Et il retourna la tête vers moi, je ne le voyais pas très bien à cause du manque de lumière mais heureusement que je le voyais pas parce sinon je me serais pissé dessus je pense. Il me poussa sans remord contre le mur en se collant à moi. Avec son corps, il faisait pression sur le mien. Il plaça mes poignets en hauteur et les collés au mur en le tenant avec ses grandes mains. J'avais super mal à l'épaule, parce qu'auparavant il m'avait fait mal. Il colla son front au mien,toujours en appuyant. J'étais « compressé » au mur par lui. Son odeur me monta aux narines ... arriva dans mes poumons. Je respirais sans bruit mais vite, et lui aussi. 


Omarion : Redisça ! 


Moi : Redis quoi ? 


Il baissa mes bras et retira la pression doucement, il prit mes bras et les passe autour de son cou. Je ne sais pas à quoi il joue ... mais il joue.Il enleva un peu de pression mais j'étais toujours collé au mur. 


Omarion : Que je suis un pédé. 


Moi: Pourquoi ? Tu vas me taper ? 


Omarion : Non, t'es malade. 


Moi : Ok, t'es un pédé. 


Il se retourna d'un coup et me colla au mur d'en face.


Omarion: Vas-y redis. 


Moi : Non, je sais que tu vas me taper. 


Omarion : Je le sais aussi, donc vas-y redis. 


Moi : Pourquoi tu me colle au mur ? 


Omarion: Parce que j'ai envie, il y a quoi ? 


Je retire mes bras qui se situés autour de son cou et les laissa tomber le long de mon corps. Lui ses mains étaient collés au mur de part et d'autre de mon ventre. 


Moi : Tu me fais mal. 


Omarion : Et alors ? 

Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant