Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.

Partie 5.

On était sur le chemin du retour et j'écoutais Haylee parlait. Elle parle trop cette fille mais je l'aime .

Haylee : Haan Brendoush je kiff mes journées comme ça avec toi.

Moi : Ouais moi aussi je kiff !

Et on continu à parler de cette journée merveilleuse et me disais qu'elle avait vu un super beau gosse. De toute manière pour elle tout les mecs sont beaux. On arrive devant la grille de ma maison mais je vois qu'elle est ouverte or que je l'avais fermé. Je me suis dis que c'est peut être mon père ou ma mère qui était venu récupérer un truc ou ... Je sais pas moi ... mes parents qui sont rentrés ?

Je regarde Haylee et elle aussi trouvais ça bizarre. Dons on rentre dans le jardin on ferme la grille et je ne vois pas la voiture de mon père ni celle de ma mère alors c'est impossible que ce soit eux. Il devait être 22h, on est dans le noir total enfin pas total parce qu'il y a des lampadaires de ma rue qui éclaircissent un peu mon jardin. Je commençais à grave stresser j'avancais doucement avec Haylee vers ma maison ...

On monta les 4 marches je sortis les clés de mon sac et j'enfonçais la clé dans la serrure de la porte. Je fis pivoter la clé légèrement mais rien ! D'habitude ça faisait un petit "clic" mais là rien , la porte était déjà ouverte ! Je regardai Haylee et in voyait la peur dans ses yeux. Je n'avais jamais vu ça . D'habitude Haylee , elle est toujours souriante, avec les yeux qui pétillent tout le temps mais là ce n'était pas le cas. Je poussais la porte doucement et entra et je vis TOUT renversé par terre. Alors là mon coeur à fait un bond. J'avais été cambriolé. J'avais peur ! Et si les cambrioleurs éteint encore là ?

Moi : Haylee , appelle la police ! Vite !

Je continuais à regarder droit devant moi. Haylee ne répondais pas, bizarre ! Je me retourne alors vers la porte d'entrée et elle n'était plus là ! Alors là , c'était la panique totale ! Je croyais qu'elle voulais me faire peur pour se venger de ce matin mais ce n'est pas elle qui aurait renversé toute la maison . Non ?

Moi : Haylee ce n'est pas marrant , montre toi !

Toujours pas de réponse. Je commençais à avoir les larmes aux yeux.

Je ne sais pas si je suis forte ou faible ! Et oui , je n'ai rien vécu dans ma vie alors je ne sais pas si dans une dure épreuve je suis forte ou faible ! Enfaite moi même je ne sais pas qui je suis . Mais là je me sentais faible ! Alors j'étais faible ?

Pas le temps de réfléchir que je couru à l'entrée pour voir où est ce qu'elle était passée ! Mais rien ! Aucun bruit ! Les larmes coulaient en plus j'étais dans le noir !
Je couru dans mon salon vers mon téléphone mais là y a quelqu'un qui m'attrapa par derrière ... J'ai cru que c'était Haylee mais ...

Je sentis un bras s'emparer de ma taille et me souleva assez facilement. J'ai bien compris que ce n'était pas Haylee. J'ai peur ! Mon coeur bat à 200 à l'heure . Je suis en panique . Je me débat et me réussi à me retourner un peu et je vis une tête avec une cagoule dessus . On voyait que ses yeux .

Mais je n'étais pas exactement face à lui alors je ne voyais pas exactement son visage. Je me débattais mais vu son gabarit à côté du mien, je pouvais aller dormir pour réussir à sortir de son emprise.

Lui ( en chuchotant ) : Ferme ta gueule avant que je t'éclate.

Moi je gémissait sachant que je n'arrivais pas à parler parce qu'il bloquait ma bouche avec sa main. J'entendis une autre voix parler. Une voix de mec. Mais pas celle de celui qui me tient.

... : C'est bon tu l'as eu ?

Lui : Ouais c'est bon et l'autre va la mettre dans la voiture et grouille ta race.

... : Ouais c'est bon il manque plus qu'elle.

C'était 2 mecs ça c'est sûr. Sûrement les cambrioleurs ! Celui qui me tenait avait une voix plus ferme , plus froide, plus grave , plus insistante, plus directe enfin quand cette personne vous parle , vous êtes obligé de l'obéir tellement ça fait peur.
J'entendis les pas s'éloigner, j'en conclus que l'autre était parti. Celui qui me tenait fit une grosse pression sur mes bras, je lâche un gémissement.

Lui (doucement dans mon oreille) : C'est que le commencement de ta descente en enfer.