Partie 48.

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Il sourit et approcha sa tête encore plus de la mienne. Je savais très bien qu'il voulait jouer et qu'il me cherchait alors pourquoi ne pas en faire autant ? Dans un jeu il y a le dominant et le dominé. Il faut juste prendre le bon rôle et jouer jusqu'à la fin. Je m'approcha de lui et il commença à reculer. 


Omarion: Tu veux jouer ? 


Moi : C'est toi qui a commencé.


Un grand sourire se dessina sur son visage. Je continuais d'avancer de lui à reculer. On était re-rentrez dans le salon. Ses pieds claquaient le divan alors il ne pouvait plus reculer. 


Moi : Tu ne peux plus reculer. 


Il leva un sourcil en me regardant toujours avec un grand sourire. Moi aussi je souris de toutes mes dents. Il m'attrapa le buste et me retourna sur le divan en se plaçant sur moi mais changement de situation, je me retournais d'un coup et me plaçais sur lui. J'avais compris son jeu, je ne suis pas naïve. Il veut jouer ? On va jouer ! Peu importe le gagnant l'important c'est de participer non? 


Moi : Tu ne peux plus bouger. 


Omarion :Tu crois mener la braque Brenda mais ..


Sans finir sa phrase, il se retourna en moins de deux secondes et se replaça sur moi. Je n'avais même pas vu le mouvement venir. 


Omarion :...Tu te trompes. 


J'avoue il m'avait bien eu là. Mais s'il croyait que j'allais en rester là, il se trompe complètement.


Tout le long de son corps était allongé sur moi et son front collé au mien. 


Moi : Parce que tu crois que c'est toi qui la mène ? 


Omarion : C'est moi qui la mène depuis toujours. 


Ah ouais ? Il croit ça ? En moins d'une seconde, je le renversai du divan et me replaçais sur lui en attrapant l'arme qui se trouvait sur la table basse et en mettant le bout du gun entre ses deux yeux. On va voir s'il a confiance en moi... S'il sait ce qu'il représente pour moi. Parce que je crois qu'il pense que j'ai de la haine ce qui est vrai mais pas que ça... II ne me connait pas encore. 


Omarion: T'oserais pas. 


Moi : Tu crois ça ? 


Omarion: Tire si t'as le cran ! 


Moi : Tu veux mourir maintenant ? 


Omarion : En tout cas si je devais mourir maintenant jamais j'aurais cru que j'allais être tué par une fille. 


Moi : Tu sous-estime trop les filles OMARION. 


Omarion : Et j'ai raison BRENDA. 

Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant