Partie 15.

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Et il se retira... Il se leva et me regarda. Putain mais pourquoi j'ai ouvert ma bouche moi aussi ! Voilà ça à tout gâché entre nous deux. J'étais toujours allongé alors je me relevais aussi. Je m'approche de lui.


Moi (en le taquinant) : Avoue t'aurais kiffé goûter à mes lèvres.


Il eut un sourire. Ça fait plaisir de voir quelqu'un qui sourit pas souvent sourire.


Omarion : C'est toi ouais.


Moi : Je sais que t'as des sentiments pour moi, avoues !


Omarion : J'ai pas de sentiments moi !


Moi : Alors si tu ressens rien pourquoi je suis encore ici à parler avec toi ?


Omarion : Parce qu'on va dire que tout c'est pas passé comme je le voulais.


Moi : Et qu'est-ce que tu voulais ?


Omarion: Te faire du mal. J'ai de la haine envers toi mais bon.


Moi : Mais quoi ?


Omarion : Mais rien !


Moi : Bah si dis.


Omarion : Bah je ne peux pas te faire du mal


Moi :Tu ne peux pas ou tu ne VEUX pas ?


Et il se retourna et pris le ballon de basket et commença à jouer avec.


Moi :Pourquoi tu ne réponds pas ? Tu as peur ?


Omarion : J'ai peur de quoi ? J'ai peur de rien moi !


Moi : Si ta peur de moi avoue. Ou peur qu'il m'arrive un truc.


Il baissa les yeux et les relevais doucement vers moi. Il continuait de tripoter son ballon ça m'énervé.


Moi : Vas-y réponds et arrête de jouer avec ton ballon !


Omarion : Vas-y tu sais même pas jouer au basket et tu parles avec moi.


Moi : On fait une partie ?


Omarion : Vas-y viens on va sur le terrain.


Moi: Euh ok.


J'étais grave choqué qu'il était aussi gentil avec moi ! Obligé derrière tout ça il se cache quelque chose. Il ne peut pas devenir aussi doux.C'est impossible.

Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant