Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.

Partie 14.

J'arrêtais de marcher et le regarda. Il s'approcha de moi. Il avait une dégaine de racaille. BAD BOY lui ! 

Plus il s'avançait plus je reculais.

Omarion : T'as peur de moi maintenant ?

Je ne répondis pas. Certes je lui avais souvent tenu tête mais j'avais peur.

Omarion : Vas-y vient on monte.

Il me tend sa main. Je ne l'attrapai pas. Trop de dégoût à son égard. Il ne paraissait pas choqué. Il s'y attendait sûrement. Je marchais derrière lui mais même pas à 50 centimètres. À peine sorti de cette pièce, on vit Rayan. À ce moment-là, je m'approchai pour ne plus être qu'à 1 centimètre d'Omarion et je pris sa main. Il paraissait choqué. Il entremêla ses doigts au mien et serra fort. Sûrement un geste qui voulais dire " T'inquiète pas il va rien t'arriver ".

Rayan nous vit et dis :

Rayan : Wesh vous allez où comme ça ?

Omarion : Je t'ai demandé un truc moi ?

Rayan : Bah wesh moi je voulais allez terminer ce que j'ai commencé tout à l'heure.

Omarion : ET T'AS COMMENCÉ QUOI TOUT À L'HEURE ?

Rayan parut un peu moins sûr de lui. Il ne répondit pas. Et on continua notre chemin. On monta les escaliers qui mener à sa chambre. Il ouvrit la porte et me dis de rentrer. Je rentrais timidement.

Il me tendit mon sac. Vous savez le sac où il y avait mes affaires, je l'avais jamais revu depuis le temps.

Omarion: Vas-y va te doucher si tu veux.

Wouah il lui arrivé quoi à être aussi gentil. Quelle mouche l'a piqué ?

Je pris le sac et parti dans la salle de bain. Je pris des affaires propres et les posa sur le rebord du lavabo. Je me déshabille et rentre dans la douche. L'eau coulée sur mon corps. Je me sentais beaucoup moins sale. Je ressorti de la douche. Me brossa les dents, m'habilla et me coiffa. Depuis le temps que je n'avais pas pris soin de moi. Je me regardai dans le miroir. J'avais des petites cicatrices par ci, parla mais rien d'affolant.

Je ressorti de la salle de bain. Il était de dos à moi torse nu. Je voyais bien son corps. Il avait des tatouages sur les bras. Des cicatrices. Des points de suture même.Je m'approchai et toucha tout doucement son dos. Il se retourna directement. 

Je voyais sur son épaule gauche un aigle en tatouage et une couronne autour, avec une date écrite dessus.

Moi : Pourquoi un aigle ?

Omarion : Parce que ça abandonne jamais. Ça avance seul. Ça à peur de rien. Il se relève tout le temps, même dans les moments les plus bas.