Et il me tira vers l'avant très brusquement. Je sentis le changement de chaleur. Et oui, je ne suis plus dans ma maison mais dehors. On monta dans une voiture et après c'était le trou noir !
J'ouvris les yeux... J'étais dans une pièce sombre que je n'avais jamais vue. Mais où suis-je ? C'est quoi ce cauchemar ? Où es Haylee ?Où sont mes parents ? Ma petite sœur ? Qui sont ces hommes ? Que me veulent-ils ?
Toutes ses questions trottaient dans ma tête. Je me trouvais dans une petite pièce sombre. Il faisait froid. Les murs étaient gris. Et j'étais sur un matelas par terre attacher avec des menottes. Des larmes envahissaient mes joues.
J'essayais de me détacher mais je n'y arrivais pas. Je m'assis dos contre le mur. Je pleurais toutes les larmes de mon corps. C'était fini pour moi. J'allais mourir.
Tout d'un coup la porte s'ouvrit. Le même mec que tout à l'heure entra avec un flingue. Là c'est sur j'allais mourir à cause d'une balle dans la tête. Directement je pensais au mec que mon père avait tué.Il s'avança vers moi et me détacha les menottes pris mon bras fermement et me leva. Il portait toujours sa cagoule mais cette fois-ci il y avait une sorte de bandana de couleur rouge sur son crâne. Il me tira le bras violemment et on marcha jusqu'à la porte de sortie de cette misérable pièce. A même pas 1 mètre de la sortie je dis :
Moi :Mais pourquoi tu fais ça ? Je parlais en pleurant.
Tout à coup il se retourna vers moi, me plaqua contre le mur très violemment et me regarda dans le blanc des yeux. Après quelques secondes, ses yeux descendirent vers mon nez... ma bouche... mes joues... il scrutait le moindre recoin de mon visage comme s'il cherchait quelque chose. Moi je voyais que ses yeux ... ses yeux ... si noirs...on voyait aucun sentiment dans ses yeux ... Son regard était si dur.Il retira ensuite ses deux bras qui étaient de chaque côté de mes épaules. Il me regarda une dernière fois dans les yeux puis me dis:
Lui : J'ai ramené tes affaires viens les prendre. Il dit sa froidement très sec, il y avait aucune rancœur dans sa voix.
Je le suivis doucement. On traversa un couloir avec plein de tag dessus.Il y avait écrit pleins de R.I.P avec à côté pleins de prénoms de différentes personnes. Il y avait des sortes de signes après mais je ne savais pas ça représentait quoi !
On monta des escaliers et arriva dans une pièce plutôt claire. Je pense que quelque minutes auparavant je me trouvais dans la cave. Je le suivis jusqu'à une porte. Arrivés devant il l'ouvrit et dedans il y avait un lit deux places collé au mur. Il y avait un écran plasma accroché au mur, il y avait une armoire tout au fond enfin il y avait de tous pour faire une chambre quoi ! Il y avait un gros sac rempli de mes affaires.
Moi: Comment t'as eu tous ses affaires ? Dis- je avec une toute petite voix.
Lui : Avant de partir de chez toi, je les ai pris dans ta chambre.
Je récupérai le sac et sorti de la chambre suivis du mec. Ah ouais changement de décor tout de suite. La chambre elle était belle mais le salon catastrophe. Il y avait des cigarettes partout, de l'alcool,des mégots, des billets d'argents, de la drogue et tous!
Moi: Je suis où la ?
Il ne répondit même pas. A ce moment-là j'entendis pleins de rire, de bruits de personne qui parlait et tout. C'était un groupe, tous cagoulés et qui étaient tous habillés en rouge ou du moins qui portais tous un truc rouge que ce soit casquette, chaussure, maillot,ou bandana. Ils étaient au moins 15.
Je restais là, j'étais crispée. Ils arrivèrent vers nous.
1er gars : Yo Omarion c'est elle la meuf ? Mmm je la mousse directe.
2 ème gars :On l'emmène dans la cave et on la tourne chacun notre tour d'accord?
Et ils se mirent tous d'accord. J'avais compris que j'allais me faire violer par eux.Mais aucune larme ne sorti de mes yeux. Je souffrais de l'intérieur ça oui ! Mais je ne le montrais pas. Donc il s'appelait Omarion le gars ? Hmmm.
Omarion lui ne dis rien. Je suppose qu'il faisait partie du groupe ?
Deux d'entre eux arrivèrent vers moi et m'emmena dans la cave où j'étais tout à l'heure. Ils m'attachèrent les bras en l'air avec des menottes et placèrent du scotch sur ma bouche. Tout le reste du groupe descendirent ensuite. L'un d'entre eux arriva vers moi et commença et ouvrir la braguette de mon short (et oui rappelez-vous de comment j'étais habillé).Ils étaient tous là, à encourager mon futur " violeur" moi je me débattez mais je savais que c'était perdu d'avance ! Ils commençaient même à dire " vas-y baise la grouille toi moi aussi je veux la gouttez". Ils insistaient TOUS sauf le fameux Omarion. Lui il était posé dos contre le mur les mains dans les poches et il me regardait fixement. J'aurais pu le reconnaître entre mille rien que grâce à ses yeux. Bien sûr j'avais su le distinguer des autres grâce aux habits aussi. Je croisais son regard, il baissa un peu les yeux. Pendant que l'autre commencé à retirer mon short, il avança et il dit :
Omarion: Tu la touche, je te nike.
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Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.
RomanceElle vient de Miami. Il vient du Bronx. Elle est riche. Il est pauvre. Elle vit dans un beau quartier. Il vit dans le ghetto. Elle est douce. Il est violent. Elle est intelligente. Il est malin. Elle est gentille. Il est méchant. Deux personna...