Partie 65.

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Il me poussa sans pitié contre son armoire, la poignée de la porte m'avait faite super mal au dos et j'avais lâché un petit gémissement. 


Omarion : Wesh t'as quoi ? T'as mal ? 


Il se mit à rigoler avec un rire fier, comme s'il était fier de m'avoir fait mal. Je sentais les larmes monter en moi, ma gorge se nouait. Je ne vais pas vous mentir ... mais il me fait peur quand il est comme ça. Je ne sais pas ses limites, jusqu'à où il peut aller. D'ailleurs je ne sais même pas s'il a des limites. 


Moi : MAIS POURQUOI TU ME POUSSE LA?


Omarion : Ferme ta gueule, évite de crier déjà. 


Moi: JE CRIE, IL Y A QUOI ?!



J'avais tellement la haine à ce moment-là, j'avais mal partout ! Une larme roula doucement.Mais alors lui ... Ce n'était même pas de la colère qu'il avait, c'était trois étages au-dessus de la colère tellement c'était fort.


Omarion : Brenda m'énerve pas putain ... je vais te faire mal.


Il disait sa enlevant la tête vers le plafond. En fait il y a un truc qui me surprenait, pourquoi il me taper pas ? D'habitude quand il est dans cet état, c'est qu'il va commettre un meurtre mais sa se voyait qu'il essayait de rester calme. Même énervé il est beau ♥


Moi: TU M'A DEJA FAIS MAL TU COMPRENDS ? 


Omarion : Ferme la ! Ouvre encore ta bouche et je te teje dehors.


Moi: VAS-Y JÈTE MOI DEHORS ! JE T'EN PRIS VAS-Y !!


Omarion : M'oblige pas à t'en foutre une s'il te plait ! 


Je voyais qu'il essayait vraiment de rester calme mais d'une seconde à l'autre ça aller exploser violemment. 


Moi : TA MÈRE LA PUTE SI TU ME TAPE ! 


Je ne compris pas la situation mais je sentis mon corps taper contre un mur, en fait il m'avait envoyé contre le mur. Il y avait une petite table de nuit,sur laquelle il y avait une lampe, je la prise et la lui envoya en plein visage, mais il la rattrapa et la relançait juste à côté de ma tête, elle explosa en plusieurs morceaux. 


Omarion: T'AS CRU QUE J'ETAIS UNE PEDALE POUR QUE TU ME TRAITE ? HEIN T'AS CRU QUE J'EN ETAIS UNE ? 


Il m'attrapa le bras, et me tira dessus. Et comme j'avais SUPER mal à l'épaule je criais mais comme j'ai jamais crié ! Je pleurais, criais, devenais presque ouf mais lui aussi il devenait ouf je crois. Je tirais sur ma main mais il l'a tenait fermement. 


Omarion : VAS-Y TA BOUCHE LA !


Je le giflai, mais une petite gifle,je n'avais pas envie qu'il me mette une droite ou un enchaînement de boxeur. Son regard était d'une haine ... noire ... qui en disait long sur son humeur. Sérieusement il va me tuer là. Il rapprocha sa tête d'un coup du mien, j'ai cru qu'il allait me mettre un coup de tête mais non en fait. Il tordit ma main, les larmes continué à rouler sur mes joues, je reniflais. 

Histoire d'une fille tombée amoureuse de son kidnappeur.Où les histoires vivent. Découvrez maintenant