Vie Fantôme (Livaï x reader)

Un peu d'affection..

Il me frappa à nouveau et ses compagnons en firent de même. Je ne me défendais pas et tomba lourdement au sol.
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Pdv Hanji
Nous observions tous la scène, choqués. Personne n'osait réagir et pourtant, je suis sûr que tout le monde avait quelque chose à dire. [t/p] se releva en fixant ce con de Logan (désolé à tout les Logan, j'ai rien contre vous), elle s'essuya le sang qu'elle avait au coin de sa bouche en rigolant, puis repris un air sérieux. Logan la dévisagea sans comprendre ce qu'elle trouvait drôle, nous en firent autant.
- Tu ne me blessera pas avec de telles paroles. (Elle se trouva vers nous) J'ai enfin un foyer et ce que je peux appeler une famille, ma volonté restera tant qu'ils seront là ! Peut être que effectivement, ils se méfient de moi ou ne compte même pas me protéger mais, je m'en contre fout et vais te dire une chose ; ferme ta gueule. Vu les regards tremblant de certaine personne, je suppose que je ne suis pas ta première victime ?
Certains soldats acquiescèrent doucement. Elle soupira et repris :
- Puisque tu es toujours là, je suppose que personne n'a osé se plaindre au tribunal ? (Il eu un blanc et elle soupira une nouvelle fois) Dans ce cas, (elle se tourna vers Livaï et Erwin) Caporal, j'aimerai porter plainte contre ce soldat, Logan c'est ça ?
- Très bien, répondit-il.
Elle ouvrit son chemisier en grand laissant apparaître son soutien-gorge et quelques hématome, certain soldat détournèrent le regard en rougissant. Livaï ne réagis pas et je le soupçonna alors d'avoir déjà vu la poitrine de
[t/p].
- Caporal, cela suffit comme preuve ? Ou je dois montrer les autres ?
- Hum.. Non cela va aller. Erwin ?
- Je pense que le tribunal sera satisfait avec seulement celles là.
Logan paniqua alors :
- Qu-quoi ? Je vais être condamné !? Mais je--
- Tu rien du tout, dit une jeune soldate, en plus d'avoir usé de violence, tu as profité de mon corps et sûrement de celui de plein d'autre.
Il ne trouva rien à y redire et Erwin ordonna à quelques soldat de l'enfermer en attente de son jugement. Les autres mec qui faisaient partis de sa "bande" se rassirent en silence. [t/p] s'assit à côté de moi et je passa un bras sur ses épaules. Elle me dévisagea à se contact et j'en profita pour lui peloter la poitrine elle rougit et je lui dit :
- Alors ? Tu dois faire du C, non ? Je pensais que tu étais plus une planche à pain, mais non !
Elle tenta de se détacher de moi et je commença à la chatouiller. Nous étions alors prise d'un fou rire et tout le réfectoire nous dévisageait en rigolant. Je la libéra enfin de mon emprise et elle ferma sa chemise.

Pdv [t/p]
Après ce petit incident, je mangeais en me faisant toute petite -si c'est pas déjà le cas- et je me dirigea directement vers le bureau de Livaï, après le repas. Il me suivi et m'expliqua quelques petites choses utiles :
- Premièrement, ne touche à rien et ne sali rien. Ensuite, je t'ai préparé une couverture pour que t'attrape pas la crève. Si t'a le moindre problème, cette porte (il désigna une porte sur le mur d'à côté) mène directement à ma chambre. Et ne te couche pas trop tard, morveuse.
- Mais eu.. C'est méchant, le nain !
- Ne m'appelle plus jamais comme ça.
- Toi de même !
- Tch.
- Tss..
Il eut un sourire en coin. Il parti dans sa chambre et me souhaita bonne nuit.

Pdv Livaï
J'étais entrain de m'endormir après cette épuisante journée, quand j'entendis sangloter. Les sanglots se transformèrent en hoquet de chagrin. Mi inquiet mi curieux, je me leva et ouvris la porte menant à mon bureau. J'y trouvais [t/p] entrain de pleurer. Elle étais allongé sur la banquette et la couverture tombé légèrement jusqu'à ses hanches. Elle ne me remarqua pas et continuait à hoqueter en tentant de se retenir d'éclater en larmes. A travers l'obscurité, je voyais sa fine silhouette frissonner et ses larmes briller à cause de la lumière de la lune passant au travers d'un volet. Je m'agenouillais à côté d'elle et elle sursauta en sentant ma main dans ses cheveux. Je lui caressais doucement le crâne pour la calmer. Elle continua à pleurer, mais plus discrètement. Je la pris alors dans mes bras et la porta -avec difficulté, faut pas deconner j'ai les côtes fêlées moi- pour la poser dans mon lit. Elle me regarda avec incompréhension et je lui répondu juste :
- Tu vas pas dormir toute seule dans cet état, si ?
Elle me remercia en marmonnant et tenta de retenir ses larmes. Je me posa à mon tour dans mon lit et elle se blotti contre moi. Pendant une bonne partie de la nuit, j'avais veillé sur elle, qui avait fini par s'endormir.