Le plan des deux fous

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- J'ai un plan.
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Pdv externe
Tout le petit groupe reporta son attention sur la brune aux lunettes. Se déroula ensuite une longue nuit -oui c'est toujours la nuit dans mon histoire- où complots eurent lieu.
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Pdv [t/p]
Enfin une semaine est passée. Nous allons enfin pouvoir mettre à exécution le plan d'Hanji. Pourquoi avoir attendu une semaine ? Vous verrez bien..
Tout était calme, personne ne discutait quand soudain, Jean hurla.
- Ah!! J'ai mal, aidez-moi.. Je.. Vous.. En supplie..
Il tomba au sol et plus rien. Christa s'affolait et commencer à hurler:
- A l'aide! Quelqu'un !
Nous nous mirent tous à hurler en même temps. Finalement au bout de plusieurs minutes, nous entendîmes des bruits de pas dans les escaliers ainsi que la voix d'un jeune homme. Il était habillé comme un soldat des brigades spéciales et grogna:
- Qu'est-ce que vous avez à geindre comme ça?!
- Ne nous parlez pas comme ça, je reste le Major de ce QG!
Erwin avait intervenu et avait déchaîné un peu de sa frustration.
- Vous n'êtes plus Major, Erwin Smith. Le bataillon d'exploration n'a pas besoin d'homme comme vous!
- Si je pouvais je vous--
- Arrêtez!
Christa les stoppa net. Le jeune garde s'approcha de sa cellule. Et dit :
- Qu'est-ce qu'il y a, petite ?
- Mon ami est devenu inconscient! C'est parce qu'on ne nous donne même pas à boire! S'il vous plaît, aidez le.
L'homme sembla hésiter. Il porta la main au trousseau de clé qui était accroché à sa ceinture et dit hautain.
- Si on vous a enfermé ici, ce n'est pas pour rien. Je n'ai aucune raison de vous aidez.
- Je vois..
Christa baissa la tête et ouvrit son chemisier, laissant apparaître sa poitrine. J'observais Ymir, et elle avait l'air d'être mi jalouse mi excité.
- Dans ce cas je vais vous donnez une raison. Je vous remercierai gracieusement, si vous l'aidez..
L'homme eu le rouge au joues et ouvrit finalement la porte de la cellule. Au moment exacte où la porte s'ouvrit, Jean se releva et poussa l'homme contre la cellule de Eren et Ymir. Celle-ci attrapa le coup de l'homme à travers les barreaux et le sera. Elle sera jusqu'à ce que l'homme tombe au sol quand elle l'eu lâché.
- Ça t'apprendra à mater ma chérie!
Nous la dévisagèrent.
- Oh ça va! Je suis presque sur qu'il est vivant!
- Qu'est-ce que ça fais du bien d'être dehors !
- C'est bien vrai, Jean!
- On a pas le temps pour discuter!
Ils s'excusèrent et partir en direction des escaliers. On entendu des pas et des cris d'alerte. Ils sont sûrement poursuivis. Ymir tenta d'attraper le trousseau de clé, mais n'y arriva pas.
- Mince!
- On ne va pas pouvoir sortir!
Au même moment, Bertholdt arriva en courant avec des capes du bataillon dans les bras. Il nous ouvrit les uns après les autres et arriva devant ma cellule. Il allait mettre la clé dans la serrure, quand je poussa la porte et l'ouvris.
- Mais comment ..?
- C'est Eld qui m'a enfermé !
Il rigola un petit peu et dit :
- Enfilez tous ces capes!
Nous suivîmes ses ordres sans un mot. Erwin reprit les commandes :
- Courons tous vers l'extérieur, comme le plan l'indique!
- Oui, Major!
Il eut un sourire un coin et dit:
- Non, ex-Major.
Tous se mirent à courir en montant les escaliers, il ne restait plus que un garde que Livaï assomma d'un seul coup. Ensuite, je partis de mon côté, vers l'ancien bureau d'Erwin, accompagnée de Livaï. Nous nous zigzaguions entre les couloirs a une vitesse incroyable. Nous devions faire vite.
Une fois arrivé dans le bureau, et après avoir défoncé la porte, je fouilla dans tous les tiroirs. Livaï fit de même, mettant la pièce en désordre à contre cœur. Je réussi à mettre la main sur les papiers qu'Erwin voulait qu'on récupèrent et je prévenu Livaï.
- J'ai trouvé !
- Bien, allons-y.
- Attend, il faut que je passe par ma chambre!
- Pourquoi ?!
- Il faut que je récupèrent quelque chose, c'est important.
Je l'avais dit avec un tel sérieux que Livaï ne pu que répondre:
- C'est d'accord.
- Tu sais que je t'aime toi!
Il me sourit, waw, et bientôt nous étions dans ma chambre. Je souleva un coussin de mon lit et ramassa, posé délicatement, une montre à gousset. Livaï eu l'air stupéfait.
- Où l'a tu eu ? Ça coûte cher ces trucs la!
- Je te l'ai dit, j'avais tout ce que je voulais quand j'étais petite.
Je souris tristement, soudain la porte s'ouvrit violemment. Une dizaine de soldat nous tenais en joug avec leur armes et je dis à Livaï.
- Surtout, fais moi confiance.
Il n'eut pas le temps de répondre, que je l'attrapais par la hanche et que je le lovais contre moi. Je m'adresse ensuite aux gardes.
- Est-ce que vous pouvez m'accorder cette unique faveur qui est d'embrasser mon bien aimé, avant que vous ne me tuiez ?
Ils hésitèrent et finir par hocher de la tête. Je rapprocha mon visage de celui de Livai et passa mes mains sous sa chemise. Il semblât surpris et ne fis rien, attendant de savoir comment ça finirait. Mes lèvres effleurèrent celles de Livaï. Soudain je regarda les soldats, sans changé de position et attrapa le poignard que Livaï avait caché sous sa chemise, toujours sans bouger. Il me dévisagea en sentant qu'il n'avait plus son poignard et je lui souris avant de m'éloigner de lui et de me jeté sur un garde. Je trancha la gorge de se dernier. Livaï ne se questionna même pas et sauta au coup d'un autre soldat. Je lui criais alors :
- Sous mon matelas !
Il me regarda sans comprendre puis souleva mon matelas. Il y trouva un pistolet chargé ainsi que quelques balles de rechanges. Il n'hésita pas et commença à tirer sur tout les soldats que je n'avais pas égorgé ou qui tentaient de s'enfuir.
Le calme revînt et je dis tristement:
- Ils faisaient parti du bataillon..
- Je sais. Mais ils ont choisi l'ennemi, ne restons pas là a pleurer leur mort.
Ses mots étaient dur et dénué de sentiment pourtant je savais que leur mort l'avait atteint.
Courir, on continuait de courir depuis un moment maintenant. Nous étions enfin parvenu à sortir et en voyant nos compagnons au complet, ainsi que Reiner, Bertholdt et Eld, je ne pu m'empêcher de soupirer de joie.
- Ne traînons pas trop, les chevaux nous attendent.
C'est Eld qui s'était occupé de rassembler assez de chevaux pour tout le monde. Nous galopions sans poser de question, nous suivions juste les trois nouveaux de notre bande.

Au bout de longues heures de voyager, nous arrivèrent devant une grande forêt. En s'enfonçant plus dedans, une grande, vraiment grande, maison apparu devant nous.
- C'est ici que nous allons loger pendant un certain temps. Annonça fièrement Reiner. C'était la maison d'un de mes oncles décédé. Faites comme chez vous.
Nous fûmes tous tellement heureux, que l'ont se précipita a l'intérieur, chacun s'attribua une chambre. Nous n'avions même pas eu besoin de négocier qui allait dans quelle chambre, vu que après ce que nous avions vécu, tout nous irais. Je me retrouva dans une chambre au fond du couloir, a côté de celle de Livai ; ce n'est pas un hasard.
Bref, voilà comment commença notre douce vie au fond des bois.

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Ce chapitre est très court 😅 bon en même temps, deux chapitre en une seule journée, c'est dur! Au moins je me suis rattraper dans mon retard et j'espère que je me suis fais pardonner par mes pauvres lecteurs..
J'ai vraiment au du mal à écrire ce chapitre parce que je ne n'avais pas d'idée pour le plan de Armin et Hanji..
J'espère que ça vous a plus et à la prochaine 😘

Vie Fantôme (Livaï x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant