Dur passé

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La discussion s'arrêta là pour tout le petit groupe. Et ils finirent par rester dans le silence, chacun avec une pensée différente...
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Pdv [t/p]
Le silence est lourd.. Pourquoi personne ne parle ? Une voix discrète vint briser ce silence.
- Hum.. [t/p], je ne tiens plus.. Je pense que je parle au nom de tous. Raconte nous tout de ta vie. Nous devons savoir si tu es notre amie, notre ennemi où je ne sais quoi. Nous devons connaître tous tes crimes, ton histoire, ton origine. Comment pourrions nous être t'es amis si nous ne pouvons pas te comprendre ?
Armin s'avança jusqu'à ne plus être dans l'obscurité de sa cellule. Le silence ne fut que plus pesant. Je soupirais et m'adressais à tout le monde.
- Est ce que vous êtes tous de l'avis d'Armin ?
- Oui!
- Je ne dit pas non!
- Tch, faites comme vous voulez.
- Oh oui!
- J'ai été torturé en prenant partir pour toi, j'espère que ce n'est pas pour rien!
Je soupirais une nouvelle fois. Et commença.
- Bon.. C'est d'accord, mais c'est une histoire pas très vive et très longue.
Bon on va faire le traditionnel "il était une fois". Donc, il était une fois, une petite fille -moi- ayant atteint les 5 ans. Je m'affirmais déjà et savais parfaitement ce que je ne voulais pas. Ma famille était au dessus de la normal au niveau économique. J'étais donc bien nourrie, bien logée, et avait tout ce dont j'avais besoin, et plus encore.
Cependant, cette vie m'ennuyait. Je n'avais pas le droit d'aller dehors jouer avec les autres enfants, enfin il faut dire que je n'en avais pas vraiment envie, je ne faisais rien de mes journée et mes parents m'ignoraient souvent. En conclusion, j'étais seule.
Un jour, je décida bêtement de sortir de chez moi, non accompagnée. Très vite j'ai découvert qu'il n'y avait que moi qui vivait dans le luxe. Trop épouvanté par le désespoir que les gens possédait, je me recula dans une ruelle -tout le monde sait que les ruelles sont dangereuse-. Je ne sais plus exactement si l'on m'a brusqué ou si je me suis moi même jeté dans les bras des ces hommes, mais ce que je sais c'est qu'il m'ont amené dans un entrepôt délabré, sûrement dans les bas-fonds. Et qu'après, je ne suis pas rentrée chez moi. Ces gens m'ont mis des menottes -que j'ai gardé pendant plusieurs années- et m'ont tout de suite frappé. Ils m'ont battu jour et nuits durant quelques semaines.
Un jour, l'homme le plus grand de la bande s'est penché vers moi et m'a dit :
- Est-ce que tu vis encore ?
J'ai alors ouvert les yeux, doucement et je lui ai répondis par une provocation:
- Si je réponds oui vous allez me frapper, sauf que je ne suis pas morte, je ne pas dire non. Donc, je vais simplement vous dire: je suis morte depuis très longtemps maintenant.
- Haha ! La petite est prête.
Les autres hommes, jusque là restés dans l'ombre, se sont avancé vers moi et mon détachés de la chaise sur laquelle j'étais assise. Ils m'ont ensuite conduit vers une pièce plutôt petite avec un lit en plein milieu. Le plus jeune dit souriant :
- Voilà ta chambre. À partir de maintenant, tu fais partis de notre gang et tu es une fugitive. Dis toi que tu fais partis de la famille, maintenant! Au fait dit nous ton nom.
Je souris de toute mes dents.
- Je m'appelle [t/p] [t/n]! Et je suis ravie d'être dans votre famille!
Il rigola et m'ébouriffa les cheveux comme un grand frère pourrait le faire.
- Oublie ton nom de famille. Maintenant tu es juste [t/p]. Et j'espère que la vie ici te plaira. Surtout, n'oublie jamais ceci ; personne à part quelqu'un de notre bande n'a le droit de te faire du mal. Si quelqu'un de dehors de frappe, tu nous le dit et il aura droit à une punition, mais ça vaut aussi pour toi, tu n'as pas le droit de te faire du mal, compris ?
A cette époque, j'avais vraiment du mal à communiquer avec les autres. C'est pour ça, que quand ces gens m'ont parlé comme ça, j'ai juste répondis oui naïvement. Au fond de moi, je savais que le pire allait venir et que j'allais subir toute sorte de chose, pourtant, je me disais que je devais profité de ces courts instants où j'ai une famille.
- Au fait, moi c'est Brandon!
Je hochais de la tête et ils s'en allèrent.
Je m'habituais vite à cette nouvelle vie. Mes ravisseurs s'émerveiller de me voir grandir et de me voir devenir l'une d'entre eux. À partir de mes six ans, tout les soirs, au repas que l'on me servait dans ma chambre, on me demandait d'avaler un cachet. Il changeait souvent. Parfois un blanc, parfois un plus rond, une autre fois il est rose etc.. Chaque fois que je prenais ce cachet, une chose différente arrivait. Parfois j'avais juste la nausée et parfois je perdais le contrôle de mes cinq sens.
Plus je prenais ces extasies, plus je me sentais souillée de l'intérieur et avait le besoin d'en prendre encore plus. Je la fais rapide, mais c'était vraiment étrangement frustrant de prendre toutes ces drogues. A "l'anniversaire" de mes sept ans, le Chef, m'a amené dans une salle qui ressemblait à un laboratoire et m'a allongé et attaché à une sorte de plaque en fer. Je le voyais appuyé sur toute sorte de boutons d'un panneau couvert de rouage à côté de moi. D'un seul coup, une chaleur intense sortis de la plaque. Ça me laissa des traces de brûlure. Je sentais mon dos entier brûlé et j'avais l'impression que le dessous de mes jambes et de mes bras était entrain de fondre. Ma nuque, j'avais l'impression que quelqu'un s'amusé à la déchiré doucement. La plaque chauffait tellement que de la fumée s'en échappait. Tandis que moi je ne ressentais même plus le chaud, tant ma peau avait brûlé. Le Chef appuya sur un bouton et la plaque redevint froide. Je me souviens encore que je tentais de m'appuyer le plus possible contre le froid de métal, tant cela soulageait mes brûlures. Mais évidement, il ne me laissa pas le temps d'apaiser mes plaies avec le froid, que je fus détaché et emmené dans ma chambre. J'entendis à travers la porte le Boss parlait avec quelqu'un d'autre.
- C'est bien, elle n'a même pas crié ni pleuré, cette gamine est incroyable.
Je me laissa glissé le long de ma porte et fini par me lever pour enfiler un long t-shirt (oui j'étais plus ou moins nue).
Malgré tout, je n'essayais pas de partir. Cet endroit ainsi que les gens qui y logeaient, étaient devenu mon quotidien. J'étais déjà prise au piège.
À mes quatorze ans, après que l'ont m'ai piqué les bras avec je ne sais quels produit, comme maintenant depuis mes huit ans, cette fois, quelque chose changea. Ce matin là, j'ai pris mes cachets habituelles et une personne que je n'avais encore jamais vu jusque là est entrée dans ma chambre. Il m'a entraîné jusque dans une grande pièce où étais posé un grand lit. Il me balança dessus et enleva mes vêtements sans aucune gêne. Je ne réagis pas, étant donné que la situation me dépassait complètement.
//Attention Lime! Qui plus est un viol et avec une gamine de quatorze ans! (Vous pouvez le passer jusqu'à l'autre avertissement)\\
Cet homme passa ses sales mains sur mon buste et malaxa durement la petite poitrine que je possédais. Il descendit sa bouche jusque dans mon coup et le lécha en y mordant certains endroits. Il y laissa quelques marques en aspirant ma peau et descendit avec sa langue jusqu'à un de mes sein. Je gémis légèrement, ne pouvant plus retenir ces gênant bruits. Je tentais de le dégageais mais il était trop fort et lourd. Il m'attacha les mains avec sa ceinture, et en profita pour enlever son bas. Il resta en boxer, tandis que moi j'étais déjà nue -je ne possède malheureusement pas de sous vêtements- je tenta de hurler mais il me mordit une partie du sein. J'étouffais un cri de douleur. Il passa sa langue autour de mon téton durci malgré moi. Je ne pu, à partir de là plus retenir mes gémissement, bien que la scène me dérangeait énormément. Il tortura mon autre sein, puis sembla se lasser et descendis jusqu'a mon nombril. Il me dévisagea avec un air vraiment malsain et sans que je ne puisse rien comprendre, il enfonça trois doigts en moi. Il les bougea en ciseaux sous mes hurlement de douleur et de désespoir. Il enfonça un quatrième doigts en moi, sans aucune délicatesse et je fis un ultime gémissement en me vidant des fluides féminin. Il retira ses doigts, satisfait et enleva le dernier bout de tissu qu'il portait. Il m'attrapa la tête et me força à me baisser au niveau de son.. Engin..
//Fin du Lime (oui je sais il est tout petit)\\
A cet instant précis, quelqu'un rentra dans la pièce, le Boss. Il s'adressa à l'autre homme déjà entrain de se rhabiller.
- Alors ?
- Elle a du potentiel.
Je me laissa tombé contre le matelas du lit et ils repartirent.
Voilà exactement comment commença ma carrière là dedans.
Un jour je suis sortie pour prendre l'air et je me suis rendu dans une sorte de café nommé le Trèfle. J'y ai fais la rencontre d'un jeune serveur. Je m'en souviens parfaitement, c'était l'été de mes 16 ans. Au fil des fois où je venais, j'ai finis par craqué sur lui. Bien-sûr je ne lui ai jamais dit. Pour la simple et bonne raison que je n'en ai jamais eu le temps. Au bout de ma énième visite, j'ai croisé des personnes que je n'aurais jamais pensé revoir. Mes parents. Ils me firent tout de suite de grand discours comme quoi ils m'ont cherché pendant toutes ces années. Ils m'emmenèrent chez eux après avoir dénoncé mes "kidnappeurs" et une nuit passa.. A l'instant où je me réveillais, j'étais dans une cage de quelques mètres cubes avec plein d'autres adolescents. Je regardais à travers les barreaux et vis une grande place avec beaucoup de gens. La première chose à laquelle j'ai pensé c'est : je vais mourir! Et la seconde; il faut que je m'échappe. En fin de compte, des gens me sortirent de là et me mirent des chaînes aux mains et aux pieds. Ensuite quelqu'un annonça des prix. Des mains se levèrent et des prix furent crié. Une vente d'esclaves. Je vais devenir une esclaves ? Ils devraient pas se préoccuper de ce qu'on appelle titan plutôt que de vendre des esclaves ? Tiens, en parlant de ça.. Un titan colossale détruisit un mur et des gens crièrent. Je suis donc bien à l'extérieur.. Et plus dans les bas-fonds..
La suite est simple, je me suis enfuie. J'ai réussi à brisé mes chaînes facilement. J'ai retrouvé la maison de mes parents et je l'ai ai sauvagement assassiné. Par la suite je me suis crée plusieurs identité et me suis installé dans une petite maison abandonnée. J'y ai vécu pendant plusieurs années et un jour je me sentais seule. J'ai donc déambulé partout dans la ville jusqu'à trouver votre QG. Je me suis caché pendant plusieurs jours dans l'écurie et j'ai ensuite fais la connaissance de Livaï. Vous connaissez la suite et fin de l'histoire!
J'observais les réactions. Certains était en état de choque. D'autre ne savait pas quoi penser. Et puis il avait Livaï... Lui semblait boulversé sans rien laisser paraître mais était aussi soulagé. Peut être parce que je leur ai enfin tout dit ?

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Bon.. Ce chapitre est toujours aussi malsain que les autres.. Je n'arrive vraiment pas à faire des histoires sans torture moi! Bref!
C'est mon premier Lime de publié, j'espère que c'est pas trop nul. (Je suis surtout spécialisé dans le Yaoi donc ça a été un peu dur d'écrire ça..)
Vote et commentaire, ce serait sympa et à plus ! 😘

Vie Fantôme (Livaï x reader)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant