Je monte avec Marvin jusqu'à ma chambre, je le fais s'assoir dans mon lit. Il ne parle pas, quand je lui ai touché le torse hier soir alors qu'il n'avait pas de t-shirt il n'a pas réagis aussi brusquement et violent, je ne sais pas ce qui lui arrive mais j'ai vraiment envie de savoir. Ses tremblements et sa colère à l'air d'être un peu descendu.
· Tu es moins énerver ? dis-je en me reculant un peu, je n'ai pas envie qu'il s'en prend à moi, il fait vraiment peur quand il est comme ça.
· Oui, il lève les yeux vers moi, je te fais peur ? me demande t-il je vois dans ses yeux de la tristesse, merde le grand Marvin Evans peut lui aussi ce sentir mal, sa fais bizarre de la voir comme ça.
· Je... Non, dis-je finalement.
· Tu mens, me dit-il en se levant ce qu'il me fait reculer, Eline, je te ferai jamais de mal même quand je suis en pleine crise de colère je ne te ferai aucun mal, pas à toi, dit-il doucement.
· Pourquoi ? je demande simplement.
· Tu es la seule avec qui j'ai réussi à dormir, tu es la seule à qui sa me fais presque rien quand elle me touche, je suis différent avec toi, tu me rends différent, il se rapproche de moi et pourtant je ne recule plus.
· Je n'ai pas peur de toi Marvin, dis-je en le regardant dans les yeux.
· Bien, il me fait un léger bisou sur la joue, merci.
· De ?
· De m'avoir fait sortir de la pièce, de m'avoir fait confiance pour me forcer à sortir alors que j'étais en pleine crise de colère.
· De rien, je baisse un peu la tête, on redescend ? je demande
· Je te suis.
· Tu passe devant, dis-je directement, tu vas profiter pour me maté, il éclate de rire.
· Intelligente en plus de ça !
· Oui, il commence à avancer mais je lui saute sur le dos pour qu'il me porte. Je n'ai pas envie de marcher, dis-je en faisant la moue.
· Tu es chiante, il prend mes jambes pour bien les tenir et pour éviter que je tombe.
Quand on arrive dans le salon en rigolant et moi sur le dos de Marvin tout le monde nous regarde choqué, bon d'accord il a même pas deux heures je l'ai giflé et on sait embrouiller mais c'est oublier maintenant, je me sens bien avec Marvin et après les petites révélations qu'il ma faite je n'ai plus envie d'être loin de lui, je commence un petit peu à m'attacher à lui. On s'assoit dans le fauteuil, au moment ou j'allais m'assoir sur les genoux de Nico, Marvin m'attrape par les hanches et me fais m'assoir sur ses genoux, monsieur Evans à l'air jaloux.
· On se mate un film ? propose Maël pour briser le silence.
· Allez, s'écrit tout le monde.
· Conjuring ? propose Bastien.
· Tu fais chier je vais faire des cauchemars, s'écrit les jumelles en même temps.
· Tu peux dormir avec moi si tu veux Marine, dis Maël avec un petit sourire.
· Je dors avec Marion, s'écrit Bastien tout content.
· Aller maintenant que c'est réglé on met le film, dis mon frère.
Pendant le film je rester la tête dans le cou de Marvin, je me sens en sécurité dans ses bras, j'adore son odeur elle me calme. D'un coup je sens la bouche de Marvin frôler mon oreille et je l'entends murmurer.
· Dors avec moi ce soir.
· Tu ne dors avec personne, lui dis-je en murmurant à mon tour.
· Tu es l'exception.
· C'est d'accord, je lui fais un léger bisou, je monte dans ta chambre je suis fatigué, dis-je doucement pour lui seul l'entend.
· Je te rejoins dans dix minutes, je me lève et il me fait un clin d'œil.
· Je vais dormir, dis-je aux autres
· A demain, répond t-ils.
Je monte dans ma chambre pour mettre un long t-shirt et enlève mon pantalon, je me faufile dans le lit de Marvin. Au moment ou je commence à m'endormir je sens deux bras m'entouré la taille ce qui me fais sursauté.
· C'est moi princesse, chuchote Marvin, dors.
· Bonne nuit Marvin.
· Bonne nuit ma belle.
Je fini par m'endormir dans les bras musclé de Marvin, je ne sais pas ou va nous ramener cette relation mais je prends le risque.
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Le meilleur ami de mon frère.
RomantizmJe suis Eline Smith j'ai dix huit ans, je vie à Los Angeles avec mes parents et mon grand frère de dix-neuf ans Gabriel. Pour les vacances d'été avec Gabriel on a décidé de faire venir nos amis pour passer les vacances à la villa. Jamais j'aurai...