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Bissmillah.










Je sens sa main descendre et il me pince les fesse se qui m'arrache un petit crie qu'il étouffe rapidement pas un baiser un baiser sensuelle et sauvage , jai jamais ressenti ça avant c'est une sensation chelou des frissons me parcours le corps et ma timidité refait surface mes joues chauffe mais j'arrive pas à me détaché je suis accro quand tout d'un coup sa toque à la porte . OH OH ! . Je me redresse rapidement le rouge au joues , je sens Fares grogner de mécontentement sûrement parce que cette personne nous a interrompu , je prie intérieurement que se ne sois pas sa mère et heureusement pour moi ce n'est qu'une infirmière , grande blonde , yeux bleu , assez fine mais très bien foutu je me sens sale à côté d'elle , je le regarde s'approcher .

Infirmière : je suis désolé de vous déranger , je dois vérifier quelque petit truc .

Moi : ah non vous ne déranger pas , faite se que vous avez à faire .

Fares me regarde les sourcil froncé .

L'infirmière prend quelques notes et regarde les inscriptions sur la machine à la qu'elle est branché mon zawji ( mari ) .

L'infirmière nous regarde puis me sourie .

L'infirmière : c'est votre petite amie ? -demande t elle a Fares-

Fares : non

Ma conscience : QUOI ?!

Ma tête : QUOI ?!

Mon corps : QUOI ?!

L'hôpital : QUOI ?!

La terre : QUOI ?!

L'univers tout entier : QUOIIIIII ???!!!!

Fares : c'est ma femme .

Ah sa me rassure !!

L'infirmière nous souris et fini par quitté la pièce .

Je regarde Fares et se crétin a un sourire collé au visage .

Fares : avoue que t'as filipé !

Je le regarde pas et me redresse , on sais jamais c'est sa mère qui peut débarqué maintenant .

Moi : non pas du tout , c'est toi la tapette ouais !

Fares : mais bien sûr

J'entends un bruit de pas dans le couloir , je me lève direct et je m'assois sur la chaise .

Fares : et c'est moi la tapette .

Moi : je veux partir

Fares : ah ouais , sauf que tu peux pas

Moi : mdrrr n'importe quoi toi , si je veux je prend mon sac maintenant même et je me tire .

Fares : ouais ta gueule

Je le regarde archi mal .

Chronique d'Amira : du début jusqu'à fin .Où les histoires vivent. Découvrez maintenant