Ma première fois

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AVERTISSEMENT LEMON 🍋

Point de vue d'Axel

Je suis en plein rêve, foutrement éveillé.

C'est possible ?

Quoi qu'il en soit je désire rêver encore longtemps. Tant qu'elle sera sur moi en train de remuer sur ma queue qui ne fait que la réclamer depuis des mois.
C'est aujourd'hui qu'elle sera amplement satisfaite. Putain, ça va être sa fête.
Pourtant c'est Jeanne qui me fait la fête en ondulant des hanches comme une reine.
Cette vision que j'ai d'elle est exquise. Si délicieuse ; je pourrais finir dans mon froc, sans être entré dans le monde féerique qu'elle seule me réserve.
J'ai dû mal à réaliser ce qui est en train de se passer sous mes yeux, sur ma queue.
Les mots m'échappent, je manque de m'étouffer avec mon souffle entrecoupé.

— J'ai envie de toi, Bébé, m'avoua-t-elle.

Il faut que je me retienne encore un peu. Je veux la laisser prendre le dessus, si c'est ce qu'elle désire pour sa première fois, je me dois de respecter son envie.

C'est sa soirée, et je ferais tout ce qu'elle veut.

Mais putain c'est sacrement dur de ne pas céder à mes pulsions dominantes, et de la faire basculer sous moi pour la pénétrer comme il se doit.

Au chiottes ma virilité et mon ego d'homme qui souhaite prendre sans cesse le contrôle, ce soir, c'est elle qui tient les rennes.

— Dis-moi ce que tu souhaites bébé. Je ferais tout ce que tu désires.

Putain, dis à haute voix, ça semble assez... comique. J'ai l'air d'un sacré con qui ne veut que fourrer sa bite dans sa grotte.

Ouais c'est le cas, mais je ne veux pas que ça. Je veux beaucoup plus de Jeanne, je veux son amour, son attention, je veux son bonheur. Que ce soit au lit ou pas, je veux la satisfaire.

— Je veux que tu me fasses l'amour, comme tu m'as donné des orgasmes. Je veux que ce soit intense, je veux que tu prennes soin de moi tout en le faisant franchement. Je n'ai pas peur d'avoir mal.

Est-ce qu'elle entend ce qu'elle dit ?

— C'est un mal pour un bien, poursuivit-elle en rigolant, basculant la tête en arrière, me donnant entièrement accès à sa poitrine qui sursaute au même moment.

Sans y réfléchir à deux fois, je me redresse et tire sur son soutien-gorge en libérant un de ses seins qui pointe déjà pour moi.
Je le saisis et le suçote avec avidité.
Elle retient subitement sa respiration, la bouche entrouverte et me regarde avec des yeux rempli de désir comme pour me dire "continue".
Je l'entends sans qu'elle n'ai besoin de prononcer quoi que ce soit.
Alors je l'attrape par la taille et nous retourne d'un geste brusque qui lui tire un gémissement amusé.

— Tu veux vraiment le faire là ? dis-je en observant la nuit froide.

— J'ai besoin de faire la différence. Ici c'est l'endroit idéal.

Son dos claque contre le bois tandis que je m'empare de son soutien gorge suivit de près par son jean et sa culotte.

Putain, j'y vais trop vite...

— Qu'est-ce que tu attends pour t'occuper de moi ? me dit-elle naturellement.

Si naturellement, que ma queue se gonfle de sang et arrive même à me gêner dans ce jean devenu trop serré d'un seul coup.
Je grogne et détache mes boutons en faisant sortir la bête qui se cache dans mon caleçon depuis trop longtemps.

Elle gémit en l'apercevant et je jure que je pourrait me vider là tout de suite.

— Laisse-moi te faire du bien, lança-t-elle en se redressant les seins nus.

Je fronce des sourcils quand elle empoigne ma queue entre ses doigts fins et frais avant d'hausser les sourcils quand sa langue suivit de sa bouche recouvrent mon gland humide.

— Oh putain bébé. J'adore.

Elle me suce avidement et je prie pour ne pas éjaculer tout de suite.

Je n'ai jamais été précoce, mais avec elle tout est différent.
Carrément tout !

Je reprends mes esprits quand elle s'éloigne et me sourit d'une manière si sexy que mon self-contrôle n'agit plus.

Je la pousse assez violement et enfonce mes doigts en elle après les avoir mis dans sa bouche pour qu'elle les sucent d'une manière encore plus excitante.

Rapidement impatient, j'enfile un préservatif qu'elle sort de nul part et commence à m'enfoncer en elle doucement mais sûrement.

C'est bien entre ses cuisses que je suis et putain de bordel de merde c'est si bon.

— Dis-moi si j'te fais mal.

Elle observe mon geste, la bouche entrouverte d'excitation.
Je l'analyse minutieusement pour lui faire le moins mal possible.

Je veux qu'elle prenne son pied du début jusqu'à la fin.

Mon gland va et vient en elle plusieurs fois avant qu'elle m'ordonne de m'enfoncer plus.

Je tremble de désir en la regardant fixement.
Elle hoche la tête en me certifiant que c'est bon pour elle alors je m'enfonce doublement plus.

Elle laisse échapper un gémissement étranglé par le plaisir et la doubleur.

— Ça picote mais ça va.

J'accélère la cadence et rapidement elle acquiesce me donnant la totale responsabilité de son plaisir.
Je saisis sa bouche de la mienne tout en m'enfonçant en elle d'une manière si délicate et passionnée qu'elle ne peut que griffer mon dos de ses ongles manucurés.

Je frôle son téton de mes doigts et elle frissonne instinctivement en me demandant de recommencer.
Je le fait rouler entre mon pouce et mon index tout en observant son expression se dessiner progressivement sur son doux visage.

— Oh bébé...

J'adore quand elle m'appelle comme ça.
C'est con mais ma queue semble gonfler davantage en elle et j'ai bien peur de lui causer plus de tortures qu'autre chose.

— C'est si bon, bébé, continue.

L'entendre articuler ces mots me font littéralement céder.
Je ne peux retenir plus longtemps mon liquide qui ne souhaite que sortir et se reprendre dans cette foutue capote.

— Moi aussi, dit-elle en basculant la tête. Je vais... jouir.

J'embrasse son cou en jouissant presque qu'en même temps qu'elle.
Tandis qu'elle gémit encore plus fort, je serre ses hanches entres mes doigts et ferme les yeux ressentant pleinement le plaisir s'emparer totalement de moi.

Putain mais qu'est-ce que je l'aime.