Trois mois ce sont écoulés et je pense qu'il est temps de lui dire mon plus grands secret. Actuellement, je me dirige vers la chambre d'Ayato.
- Bonjour...!
Il sorti de sa chambre et me plaqua dos au murs du couloir à côté de sa chambre.
- Mais, qu'est ce qui te prend tous à coup.
- Désolé mais c'est le bordel dans ma chambre.
- Et alors c'est toujours le bordel dans ta chambre de toute façon et ça n'a pas l'air de te déranger plus que ça d'habitude.
- Eh bien cette fois ci oui et puis on est bien dans cette position. On irait pas dans le jardin pour se changer les idées.
C'est moi ou il vient tous juste de changer délibérément de sujet.
- D'accord?
Nous somme arrivé dans le jardin depuis dix bonne minute mais on n'a ni l'un ni l'autre prononcé un mot pour engager une conversation. Alors je décide de brisé ce silence de toute évidence trop lourd.
- Dit Ayato, tu te souvient quand on a fait le pacte maître et démon?
- Oui, pourquoi quelque chose te préoccupe?
- En fait oui, tu ne m'a pas demander ma race?
- Car je pensais que le jour où tu voudrais me le dire, tu le ferais.
- Ah bon et ça ne t'inquiète pas de ne pas savoir une chose aussi importante sur moi?
- C'est une question piège?
- Non absolument pas, dit moi juste ce que tu pense.
- Et bien si sa m'inquiète un peu en effet, mais tu n'est pas obligée pour autant de me le dire. Fait le quand tu t'en sentiras prête.
- Mais je me sens prête. J'ai envie de me confier à toi, je n'en peu plus de supporter ça toute seul. C'est trop dure à présent que je suis avec toi. Ça ne te dérange pas si je me repose sur toi?
- Non, pas du tout. Tu peu tous me confier, sache le.
- Pour commencer, je suis la dernière de ma race.
- Comment ça?
- Oui, je sais sa à l'ère complètement dingue mais c'est pas tous je connais également très bien ton père.
- Qu'est ce que tu raconte, tu ne l'as jamais rencontré.
- Écoute et si on fessait un marché?
- Le quelle?
- Je te raconte tous et tu m'écoute sans m'interrompre. Quand j'aurais fini si tu veux qu'on se sépare, alors je respecterais ton choix et partirais de cette maison, tu es d'accord?
- Oui, mais tu commence vraiment à être bizarre là.
- Bon par ou commencer, mon âge. Je suis âgée de deux mille cinq cents cinquante sept ans et mon époque était bien différente de celle ci. On pensait que si on sacrifiait une personne de ma race sur l'hôtel d'un mariage, cela apportais fidélité et prospérité au couple. C'est complètement crétin car si un homme veux vraiment te tromper. Il s'en fout complètement qu'il aille eu un sacrifice pour l'en empêcher. Je n'ai pas de parent, ma mère était une prostituée et elle m'a abandonnée à la naissance. Quant à mon père il ne sait probablement pas que j'existe. Ma mère a préféré m'abandonner plutôt que de m'élever car c'était mal vu pour une femme de sa condition d'avoir un enfant. Alors elle m'a laissé devant un couvant. Quand j'ai eu quatorze ans elle m'en a fait sortir juste avant que je prononce mais veux. Elle m'a emmenée dans une maison close où je devrais payer par la suite sa dette à sa place pendant que elle était libre, mais quand elle m'a fait sortit de couvant je n'en était pas au courant bien sûr, elle c'est plutôt fait passer pour la mère qui avait enfin les moyen d'élever sa fille et qui voulait rattraper le temps perdu. Peu de temps après j'ai par chance peut trouver un mécène qui a payer entièrement ma dette et ma prit sous son aille. Il était forgeron et m'a appris la forge pour que je puisse honorer ses commende quand il devais s'absenter. À ça mort j'ai continuer à faire tourner la forge, puis les clients on apprit que c'était moi qui forgeait, alors il ne sont plus venu. J'étais prête à mettre là clés sous la porte lorsqu'un soldat est venu pour faire réparer son katana ébréché en disant que la forge avait une bonne réputation partout dans les autres villes. Je lui réparé son épée sous sa demande et il m'a demandé si il pouvait rencontrer le forgeron car c'était un très bon travail. Quand je lui est dit qu'il l'avait actuellement devait lui. Il m'a fait un grand sourire en disant que c'était la première fois qu'il voyait une femme forgeron. Je lui est répondu que c'était probablement la dernière fois car j'allais fermer et il m'a proposer un travail. Que je forge pour sa garnison. Trois jours après je rencontrais la garnison même qui était plutôt septique de voir une aussi frêle jeune femme forgeron. Mais j'ai été très bien acceptée malheureusement, la garnison fut exterminée six ans plus tard sur un champ de bataille . J'ai été par la suite mariée de force à une homme horrible car c'était le seule solution si je voulais manger. Quoi que ça ne m'a pas portée bonheur car il me bâtait dès qu'il était ivre c'est à dire tous les jour où jetait enfermée dans une cage à peine aussi grande que moi avec un geôlier qui me nourrissais quand il y pensait autrement dit pas souvent. Mais pas de chance pour lui un jour il c'est approché un peu trop de ma cage et dans un top plein de colère j'ai repeint le mur de la cave avec sa cervelle. C'est cette année là que j'ai rencontrée ton père, jetait alors âgée de deux cent ans. Il m'a beaucoup aidée et ma offert le gîte et le couvert. Il m'a soutenue pour remontée la pente et ensuite je l'ai perdu de vue. Mais il y a environs trois cent ans je l'ai revu bêtement dans la rue. On n'a renoué des lien et il a rencontré ta mère, qui me détestais en passant. Elle pensait que je voulait lui volé ton père. Pas de chance ce ne fut pas moi mais la mère de Reiji et Shuu. Puit ne supportant plus cette animosité dans votre famille. Je suis partie à l'étranger. Et Il y a quatre moi Karl m'a appelée pour que je garde un œil sur vous ce que fait depuis d'ailleurs. Voilais tu sais tous maintenant !
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Diabolik lovers Sexy Démone
Hayran KurguEdwige est une démone qui n'a plus rien à quoi s'accrocher, jusqu'au jour où elle va rencontrer les Sakamaki qui pimenteront sa vie. Elle arrivera à intriguer plusieurs d'entre eux mais jusqu'où va-t-elle aller? Pourquoi est-elle là? Qui va-t-elle...