F R E E D O M

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«Depuis la nuit des temps les hommes se battent pour une chose primordiale, un droit primaire: la liberté.

Dans l'Arène, ou dans la Cabeza, la liberté était un concept étranger. Pris dans une routine, un monde où il s'agit de tuer avant de l'être.

La liberté est abstraite.

Au fond, qu'est-ce que la liberté? Sommes nous libres?

Esclave des médias, des modes et des mœurs d'une société. Un monde où on ne pense qu'au futur. Enfermés pendant des années dans des salles de classes. Puis, gâchant notre santé dans un travail, tout en se privant, mettant de l'argent de côté pour une retraite qu'on est pas sûr d'être encore en vie pour toucher.

Alors c'est ça, vivre? Être manipulé par un gouvernement qui nous pousse à renier le pauvre et à adorer le riche? À croire le faux et se méfier du vrai?

Une société qui met les êtres humains en constante compétition. Qui pousse honte et mépris sur ceux qui ne rentre pas dans un moule.

Suivre le mouvement, faire comme tous le monde sous peine d'être marginalisé.

Franco est réel. Franco est dans chacun de ces hommes politique démagogues. Dans chacun de ces gouvernements malsains. Franco s'en met plein les poches sans rien faire alors que les combatientes contemporains mettent leur santé en péril, et en oublient comment vivre en se tuant au travail.

Quelque part, nous vivons dans notre propre Arène.»

-Jada Azarova

Arena ✔️Où les histoires vivent. Découvrez maintenant