Imagine... ( HP AF Maraudeurs... )

Merci Picket !

Pour @Zelda-chan289

- Baissez-vous ! S'écria un Auror à ta droite.

Tu plongeas sur le côté et évitas le sortilège de peu. Ton métier n'était pourtant pas dangereux ! Tu aurais adoré évidement mais on ne t'avait pas prise au sérieux. Ton caractère timide était ressortit lors de l'entretien d'embauche et tu t'étais retrouvée secrétaire ! Tu esquissas un sourire en pensant pourquoi tu étais venue ici. Tu savais que Grindelwald, un sorcier très dangereux, se baladait aux Etats-Unis et tu avais été embauchée en mission d'infiltration par le ministère de la magie britannique. Tu pensais sérieusement ne rien avoir à craindre avec un métier aussi banal mais... tu étais bien trop curieuse pour cela ! Tu t'étais retrouvé en plein milieu de la bataille du bar et tu te rapprochais tant bien que mal de celui dont tout le monde parlait. Mais tu n'en eus pas le temps parce qu'une petite bête verte te sauta dessus et s'accrocha dans tes beaux cheveux blonds et mi-longs, puis se réfugia dans l'encolure de ta nouvelle veste. Tu devinas que c'était un de ces animaux magiques que tu essayais de protéger du mieux que tu pouvais en jonglant avec ton travail d'Auror. Tu voulu le protéger et te retrancha immédiatement derrière une table. Les stupéfix volant à tout va au dessus de ta tête, tu décidas de transplaner, tu préférais griller ta couverture plutôt que de mettre en danger la petite créature lovée dans ton coup. Tu te redressas, au moment de faire le coup de baguette pour effectuer le transplanage, tu eus le temps de croiser deux yeux verts émeraude, avec une étincelle de tristesse dans le regard, il semblait tellement désespéré que tu voulus l'aider mais... lui avait sans doute une baguette contrairement au pauvre Botruc qui s'était réfugié auprès de toi (tu avais deviné de quelle espèce il s'agissait en te souvenant qu'ils avaient besoin de chaleur corporel). Alors tu transplanas.

Tu souris à la dame qui surveillait l'immeuble, habité seulement pas des jeunes femmes avec interdictions de ramener des hommes. Tu savais que beaucoup d'Auror du MACUSA y habitait telle que les deux sœurs Goldstein. Une fois à l'abri sur ton canapé en cuir, tu essayas de te rappeler où tu avais déjà bien pu voir les deux iris verts, cette même étincelle dans le regard ; Plus ça allait, plus tu recherchais loin. Puis, comme dans les dessins-animés, on aurait pu voir la petite ampoule s'allumer au dessus de ta tête : ta cinquième année ! C'était le regard de Norbert Dragoneau, quand il avait été exclu de Poudlard. Tu avais été chamboulée par la tristesse dans ses yeux, tu avais même versé une petite larme. Tu ne le connaissais pas beaucoup, mais on t'avait raconté son amour des animaux. Tu le voyais mal attaquer un élève, il était dans la même maison que toi : Poufsouffle. Ça n'avait pas l'air d'être son style ! Pourtant tu n'avais rien pu faire, n'ayant pas de preuves valables pour certifier tes pensées. Tu avais du le recroiser plus furtivement lors d'une de tes visites dans les prisons du MACUSA, mais tu n'y avais pas trop prêté attention...

- Bon maintenant comment je fais ? Ma couverture doit être grillée, où alors je vais sans doute me faire renvoyer du MACUSA... grognas-tu en te parlant à toi-même. Tu savais que le Botruc t'écoutait. Peut-être que je devrais retourner en Angleterre ?

Quand tu énonças cette question à voix haute, la petite bête verte sauta dans ta main et se mit à faire de grands gestes en gazouillant son désaccord. Tu lui souris avant de hocher la tête. Après tout tu pouvais bien rester quelques temps encore ! Quand tu formulas cette pensée, un petit groupe transplana directement dans ton appartement. Tu fis un petit glapissement horrifié avant de te réfugier dans la cuisine, faisant voler des objets en tout genre dans la direction des intrus, ils répliquèrent et la nourriture se mit à voler dans tous les sens. Puis, tout d'un coup, tu envoyas une énorme poignée de purée de carotte dans la figure d'un des assaillants. Quand tu vis sa tête hébétée, puis le regardas gouter la purée avec un petit sourire amusé tu t'écroulas de rire sur le sol. Tu fus très vite rejointe par Tina, Quennie, Jacob et Norbert. Vous essayèrent de reprendre votre sérieux mais à chaque fois, tu regardais le tête devenue totalement orange de Norbert et tu repartais.