Imagine... ( HP AF Maraudeurs... )

Happy ! Drago pour @emybailey

Alors je préviens j'ai mis Drago comme capitaine mais je ne sais même pas si c'est le ca ! Et les chansons je mets ne date sans doute pas de 1997 mais bon....bah de toute façon on s'en fiche non ? ;P

Tu étais en train d'enfiler ta tenue de Quidditch verte et argent, galérant sur les sangles de tes genouillères marrons que tu trouvais absolument hideuses, mais tu ne t'en formalisas pas car tu serais la première fille de l'équipe de Serpentard. Tu le savais. Depuis que tu voyais du haut des gradins les joueurs s'affronter avec des étoiles dans les yeux, tu rêvais de ce moment. Celui où cet imbécile de Marcus Flint quitterait Poudlard pour que le nouveau capitaine daigne autoriser les filles à participer aux sélections. Et le nouveau capitaine pour ta sixième année n'est autre que Drago Malfoy. Mais tu te contrefichais que ce soit le Prince des Serpentard qui ait hérité du titre. Tout ce qui t'intéressait c'était l'épater pour enfin rentrer dans l'équipe et être la première joueuse de Quidditch de Serpentard depuis la nuit des temps. Bien sûre tu ne pouvais pas postuler pour le poste d'attrapeuse, réservé à Drago depuis sa deuxième année, mais de toute façon tu préférais être batteuse ! Tu réussis enfin à correctement sangler toutes tes protections et pris un balai avant de t'élancer hors des vestiaires. Tu étais déjà heureuse rien qu'avec ton balai dans la main. Quand ce fut ton tour, Drago te désignas et d'un coup de pied léger comme une plume tu t'élanças dans les airs à la vitesse de l'éclair. Tu adorais la sensation de l'air dans tes cheveux et les premières secondes où un petit vertige te tordait les tripes. Tu aimais voler tout simplement. Ta batte bien serrée dans tes petites mains tu commenças à balancer des cognards jusqu'à ce que tu sentes le désagréable fourmillement qui indiquait que quelqu'un te regardait un peu trop... tu tournas la tête et découvris un abrutis qui ne se gênait pas pour lorgner ton (magnifique quitte à se jeter des fleurs) postérieur. Tu lui lanças :

- Ça va te gênes pas enfoiré ! tu étais quelque peu énervée... tu n'avais pas l'habitude à lancer des insultes à tout bout de champ mais là il l'avait cherché.

- Merci, je n'avais pas besoin de ton autorisation !

Et là, tu vis rouge, le cognard qui arrivait vers un autre joueur te sembla ton meilleur ami et, te précipitant vers lui, tu lui donnas ton plus beau coup pour que le cognard se dirige droit vers l'abrutis de service. Il se cassa la margoulette de son balai avant de finir face contre terre, le nez dans le sol et du sable plein la bouche. Non mais ! Tu éclatais de rire en continuant de contrer les cognards avec un malin plaisir, imaginant sa tête sur chacun d'eux. Drago te siffla en te demandant de descendre, un de ses célèbres sourires en coin aux lèvres. Tu descendis avec une certaine appréhension. Et s'il n'approuvait pas ton geste ? Après tout tu t'en fichais ! Tu as toujours été bornée, tu n'allais pas changer, même pour le Quidditch. Mais au lieu de te réprimander il te fit un grand sourire en te tapant dans le dos avant de lancer :

- Nous avons une batteuse !

Tu poussas un immense cri de joie lançant ta batte en l'air qui lui atterrit sur la tête. Ton cri mourut dans ta gorge pendant que tu t'approchais du Prince de Serpentard qui se tenait au sol d'une manière anormale. Puis tu remarquas qu'il se tordait le ventre de rire en essayant de se frotter la tête en même temps et tu éclatas de rire avec lui. T'affalant au sol de soulagement. Il n'était pas fâché ! Une fois la crise fou rire passée, tu courus au vestiaire te changer et récupérer ta baguette. Une fois celle-ci en main et ton uniforme enfilé, tu retournas sur le stade et te rapprochas de Drago, baguette en l'air. Il recula d'un pas avant que tu ne lui souris et lui demande de se retourner, afin de le soigner, en lançant que : son charisme légendaire serait diminué avec un front deux fois plus long. Il rigola et te laissa faire. Tu ne l'avais jamais autant entendu rire. Peut-être jamais. Mais tu trouvais que son rire était le plus beau de tous, car pour l'entendre, il fallait le mériter.