Coucou, c'est encore moi pour vous faire vivre une scène de torture. Âmes sensibles s'abstenir svp. En plus, pour celle-ci, j'ai été tendre on va dire. 😂
Bonne lecture ! 🔨🗡✂Ils arrivèrent chez Jean, comme l’avait indiqué Anna dans l’adresse qu’elle avait envoyé à Karma par message. Puis après être entré chez lui, ils descendirent au sous-sol tout en transportant leur victime, toujours inconscient. En ayant fouillé dans le débarras, Kirua prit une grande planche en bois, puis du pétrole. Il renversa le bidon sur cette dernière, aidant ensuite Karma à posé Jean dessus, brutalement. Celui-ci venait d’émettre un cri plaintif. Ils se mirent ensuite à le déshabiller, le mettant complètement à nu.
- On se réveille, le bino. Se mit à dire Karma en le giflant.
Manon se mit à préparer son téléphone, prête à filmer.
- Qu’est-ce que vous allez faire ? Demanda-t-elle d’un air curieux.
- Juste, filme et observe. Lui répondit Karma.
Il fouilla dans le sac et y prit quatre visses, plutôt larges. Puis, tout en se rapprochant de Jean, accompagné de ses deux amis derrière, il émit un petit rire malsain.
- Quoi ? Dit alors Kirua.
- Il vient de se réveiller. Seulement, son réveil risque d’être un peu brutal…
Il s’accroupit en face de sa victime, puis leva dangereusement sa main et planta la première visse sur le poignet de Jean. Ce dernier hurla de douleur, son cri résonnant dans toute la pièce. Karma insista sur la visse en enfonçant sa pointe le plus possible sur son poignet, afin d'atteindre la planche. Une coulée de sang fila sur le poignet, où la main de Jean ne cessait de trembler. De la buée se fit sur ses lunettes, son visage étant devenu rouge, ainsi que ses yeux, aussi rouges que le sang. Il avait l’impression qu’on était en train de lui transpercer la main avec une perceuse.
- Crie plus fort. Ordonna alors Karma d’un ton calme.
Il coinça son autre main alors que Jean commençait à l’agiter, et planta la deuxième visse dans son poignet, jusqu'à sentir le sol dur de la planche. La pointe de la visse touchait maintenant la planche. Afin qu'il l'enfonce correctement, il prit un marteau et commença à taper dessus, brutalement, faisant de même avec son autre poignet. Jean émit un cri hystérique, presque à s’en arracher les tympans. Kirua grimaça.
- Tu n’aurais pas dû lui demander de crier plus fort je crois.
Son ami aux cheveux rouges se tourna pour lui sourire, puis replongea son regard vers sa victime. Son cri s’étouffa par des sanglots.
- S’il te plaît, arrête… lui dit-il alors, arr…
Il n’eut pas le temps de finir sa phrase que Karma lui enfonça en même temps deux visses sur ses chevilles. Il hurla de douleur, plus fortement que les cris précédents. Karma émit un rire moqueur.
- Excuse-moi, je t’ai coupé. Tu disais ?
Manon ne put s'empêcher d’émettre un pouffement, mais se reprit bien vite, voyant la cruauté de Karma dans ses mots. Mais que pouvait-elle bien dire, son ami a toujours été comme ça de toute façon.
- C’est ça ta torture ? Demanda Kirua.
Il semblait ennuyé de la situation.
- T’es fou toi. Je viens à peine de commencer. Mais je vais essayer de faire vite. Je n'aime pas perdre du temps.
Kirua tourna autour de la planche, tout en observant de haut en bas leur victime. Il le trouvait ignoble, avec tous ses poils sur son torse, la sueur sur son front, ses joues rosies, et la buée sur ses lunettes. Il les enleva et les jeta de l’autre côté.
- C’est toujours mieux de voir l’expression de sa victime. Dit-il alors.
Manon hocha la tête.
- C’est vrai.
Jean les voyait à peine, à cause de ses larmes qui couvrait sa vue. Voyant flou, il pouvait seulement distinguer deux silhouettes en face de lui dont une avec la chevelure rouge, qui ne faisait je ne sais quoi. L’autre garçon le regardait tout en lui crachant des insultes en pleine face. Il entendait aussi une voix féminine mais ne voyait personne. Il ne les connaissait pas, et pourtant, il avait compris que ces trois personnes voulaient le tuer. Il se mit à verser plusieurs larmes en pensant à cela. Pourquoi lui ? Il n’avait pourtant rien fait...
“C’est peut-être l’un des copains de filles que je côtoyais… ou alors… je ne sais pas…”
Puis, il sentit qu’on lui versait du liquide sur le corps, où cela lui colla la peau.
Karma venait de lui verser du pétrole. Il ouvrit à peine les yeux, qui lui piquaient affreusement.
- Qu’est-ce que… qu’est-ce que vous me voulez ? Demanda-t-il d’une voix à peine audible.
- Karma, il t’a parlé je crois. Dit alors Manon.
- Je sais.
Étant de dos, il ne prêta aucune attention à Jean, qui semblait devenir fou en prononçant des mots incompréhensibles. En le voyant dans cet état, Kirua était au bord du fou rire.
- Il est devenu cinglé. Pourtant, tu ne lui as toujours rien fait, Karma.
- Ça doit être psychologique.
- Rien fait ? Il lui a planté 4 visses dans la peau !
- Et alors ?
- C’est presque rien ça, Manon.
- Vous êtes tarés, les gars.
- Je… cette voix…
Les trois amis s’étaient tournés vers leur victime, qui s’était d’un coup exprimée. En ayant écouté leur conversation, sans vraiment comprendre le sens de leurs mots, Jean avait reconnu une voix qu’il avait entendu il y a à peine quelques heures. Il ouvrit doucement les yeux. Maintenant, il pouvait voir clairement ce qu’il se passait autour de lui. Il reconnut son sous-sol : il sentit l’air glacial qui se propageait dans la pièce, lui donnant des frissons glacials sur sa peau. C’est là qu’il comprit qu’il était complètement à nu, attaché sur quelque chose de dur et collant.
Sa planche en bois.
- Oh oh… je crois qu’il m’a reconnu.
Il baissa les yeux et reconnut la fille qu’il avait aidé tout à l’heure à retrouver son soi-disant bijou. Elle tenait quelque chose dans les mains, un téléphone croyait-il. À côté, adossé au mur, une jeune garçon aux cheveux blancs, qui parlait à un autre aux cheveux rouges. Jean ne les reconnaissait pas. Pour lui, c’étaient trois inconnus, trois gosses sorti de nulle part.
- Vous m’avez… piégé ?
- Qu’il est intelligent ! S’exclama Karma.
- Mais… pourquoi ?
- Pour de l’argent. Lui répondit Manon sans aucun signe expressif.
- De… de l’argent ? C’est ça que vous voulez ? De l’argent hein ? Alors, prenez-en ! Prenez tout ce que vous voulez les gosses ! Mais je vous en supplie, ne me tuez p…BAM ! il reçut sans s’y attendre un gros coup de pied en plein face. Sa vue devint subitement floue pendant quelques minutes. Sa tête vola de l’autre côté, lui faisant cracher du sang. Kirua lui jeta un regard glacial avant de lui dire :
- Comment tu nous as appelés là ?
- Dé… déso…
Il n’eut même pas le temps de s’excuser qu'on lui écrasa la face d’un pied. Jean se mit à hurler de douleur, le pied de Kirua toujours en plein visage.
- En ce moment même, c’est toi la merde. Donc si j'étais toi, je ferai pas le malin.
- Argh… lui répondit seulement le concerné.
- Kirua, tu lui fais mal je crois. Lui dit Karma d’un ton ironique.
- Rien à foutre.
Il enleva alors son pied, où on perçut alors le visage de Jean. Son oeil était devenu rouge, son nez semblait cassé, son visage et sa bouche étaient en sang. Il laissa échapper une coulée sortant de sa bouche, le visage anéanti par la force qu’avait émit Kirua. Il n’osait plus rien dire face au ton menaçant de ce dernier.
Il avait déjà rencontré des personnes qui lui faisait froid dans le dos : il regardait souvent ce genre de personnes psychopathes dans les films ou séries qui en enlèvent et en torturent d’autres : tous ces films et personnages qu'ils admiraient n'étaient que fictifs, ce n'était pas la réalité. Mais là, cela l'était, et il ne s'agissait ni de gangsters ou de mafieux, non, c’était simplement trois adolescents ordinaires
- doté d'un grain de psychopathie - où pour la première fois, Jean Kristein faisait face à des personnes aussi terrifiantes et cruels.
- Bon, dit alors Karma, je vois que tu as mis Kirua en colère, alors, passons aux choses sérieuses.
Il tenait à la main un couteau indien à la tranchée bien extrême, le faisant tourner entre ses doigts. Il esquissa ensuite un sourire :
- On va s’amuser.
Puis il s’installa à califourchon sur lui et commença à l'entailler bien lentement. Il traça une ligne droite sur son torse où on avait l’impression qu’il coupait un morceau de gâteau en faisant bien attention à ne pas se rater. Inutile de vous décrire l’horreur sur le visage de leur victime, qui criait tellement fort que ses mots se terminait en supplice. Manon ne rata pas d’une semelle la scène. Elle filmait sans relâche, hypnotisée par ce spectacle horrible. Puis pour une fois, elle n’avait pas envie de vomir sur place. Elle semblait au contraire admirative. Karma traça ensuite une deuxième ligne parallèle à l’autre, lui entaillant davantage la peau qui s’était à présent ouverte, présentant du sang filant sur tout son torse, des espèces de plaques rouges et un liquide jaune pâle, probablement du pus. Kirua ferma les yeux le temps d’un instant puis les rouvrit, sentant l’odeur infecte qui se propageait maintenant dans la pièce.
- Et voilà. Se mit à dire Karma.
- Il est toujours conscient ? Demanda Manon.
- Il me semble oui. Il garde les yeux ouverts.
On avait plutôt l’impression que ses yeux allaient sortir de leurs orbites. Jean était complètement paralysée par la peur et par la douleur. Sa lèvre tremblait : il prononçait des mots incompréhensibles.
- Qu’est-ce-qu’il fait là ? Demanda Kirua.
- Il doit sûrement prier. Répondit Karma en haussant les épaules.
Il sortit ensuite un briquet de sa poche.
- Hey le bino.
Jean, qui constata qu’il s’agissait sûrement de lui, tourna de l’oeil du côté opposé où se trouvait Karma. Ce dernier ricana : il nageait en plein délire.
- Si je te dis “Anna”, à qui tu penses ?
Là, son cerveau eut comme un déclic. Anna, cette sale fille qu’il détestait le plus au monde, que venait-t-elle faire là-dedans ? Était-ce sa petite amie ? Sa soeur ? Non, son patron n'avait pas de fils. Il était tellement paralysé qu’il fût incapable de répondre. Tout ce qu’il pouvait faire, c’était rester là, la bouche grande ouverte, forcé d’écouter ce que Karma avait à lui dire.
- Et bien figure-toi que c'est elle qui m’a demandé de te tuer. Uniquement elle. Bon bien sûr, j’ai accepté parce que je savais que j’allais être payé, mais…
Il alluma son briquet, le plantant devant son torse ouvert.
- J’comprends maintenant pourquoi elle a voulu se débarrasser de toi. C’est pas sympa le chantage, tu sais. Sur ceux…
Puis, il mit feu sur les deux cicatrices de sa victime, lui disant au passage avec un grand sourire aux lèvres :
- Salut.
Il se releva ensuite, remettant le briquet dans sa poche. Jean hurla comme un fou hystérique, ses cicatrices prenant feu. Elles étaient passés du rouge sang et noir cramé, le faisant souffrir non seulement physiquement, mais aussi psychologiquement. Manon filma toute la scène, où tout son corps ne tarda pas à prendre feu entièrement.
- Il faudrait mieux qu’on se tire. Parla alors Kirua, sans quitter des yeux leur victime.
- T’as raison. Manon, tu peux arrêter, de toute façon, on sait comment cela va se finir.
- Ça roule. Et puis j’ai pas envie d’étouffer moi.Elle arrêta la vidéo puis fut la première à sortir rapidement, sentant la fumée qui commençait à envahir ses poumons. Kirua ramassa leurs affaires rapidement, et sortit le deuxième, accompagné de Karma qui ferma docilement la porte, laissant le pauvre Jean brûlant vif, accompagné de ses cris interminables.

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