Je me réveillai, à peine avais-je fait un mouvement qu'une douleur aiguë me monta à la tête. Je restai donc allonger. Allonger dans un lit où les draps étaient fait de soie. Attendez ce n'est pas mon lit? Qu'ai-je donc fait? On toqua à la porte.
- Tu es réveillée? me demanda une voie familière
- oui, répondis-je
Bellamy rentra. Qu'est ce qu'il fait la?
- Comment tu te sens? me dit-il.
J'essaya de parler mais mes lèvres ne formèrent qu'un murmure.
- Je n'en sais rien.
Je voulu me redresser mais au moment ou je m'apprêtais à relever la couverture je pris conscience que j'étais en sous-vêtement.
- Ou sont mes vêtements? demandais-je affolée.
- Tu ne te souviens pas de ce qui c'est passé hier soir?
- Je nan pourqu . . .
je n'eu pas le temps de finir ma question que tout me reviens. La panne de courant, la fête, Wick qui n'est finalement pas Wick, sa tentative de viol et le sauvetage de Bellamy. Tout ces souvenirs me firent monter les larmes aux yeux.
- Ne pleurent pas Clarke s'il te plait, me supplia Bellamy en d'approchant de moi.
Cette demande ne fit qu'accentuer mes sanglots. D'un coup, Bellamy me pris dans ses bras. Je fut d'abord surprise puis je mis ma tête dans son cou et continua de pleurer. Nous nous détachâmes puis il me fixa, il fixa mes lèvres. Il s'avança mais Octavia entra en trombe dans la chambre, sauta sur le lit, poussa son frère et me pris dans ses bras.
- Je suis désolée, sanglota t-elle, c'est de ma faute.
- Nan Octavia, rien n'est de ta faute.
- Si! cria t-elle, si je n'étais pas parti tu ne te serai jamais retrouvée avec Tony.
- Octavia, je ne t'en veux pas et je ne t'en voudrai jamais, ton frère m'a sauvé et maintenant je vais bien.
- Mais s'il n'étais pas intervenu, tu serais. . .
- Octavia arrête, lui asséna Bellamy, elle est fatiguée et elle doit se reposer, vous parlerez tout à l'heure.
Elle me jeta un regard implorant mais jeta un regard assassin à son frère puis elle quitta la chambre. Je resta sans voix.
- Ou sont mes vêtements Bellamy?
- Il sont déchirés.
- Tu m'as déshabillée?
- Oui mais je promet que je n'ai même pas regardé, répondit-il en souriant.
- Gros con, rigolais-je en lui tapant sur l'épaule.
- Tu à l'air de te sentir mieux, me dit-il en remettant une de mes mèches derrière mon oreille.
- Oui ça va mieux, répondis-je en retirant sa main.
- Il y a des affaires à Octavia sur la table de chevet, je te laisse t'habiller, me dit-il en me faisant un clin d'œil.
Je réussis à me lever après qu'il sois sorti de la chambre, les vêtements d'Octavia sont vraiment trop large. Je descendis, je ne vis pas Octavia. Bellamy proposa de me ramener. J'accepta. Le trajet se fit en silence. Il vint m'ouvrir la portière et m'embrassa sur la joue pour me dire au revoir après m'avoir donné son numéro de téléphone.
Je pris la décision de ne pas aller en cours le lendemain. Ma pommette était encore gonflée et je n'étais pas prête à affronter le regard des autres. Je reçut un appel de Raven et la rassura sur mon état. Il faut que je dissimule mes sentiments et mes états d'âme afin de préserver mon secret.
Le jour suivant, je fis l'effort d'aller au lycée. Les cours de la matinée passèrent lentement. Raven, Monti et Jasper me remontèrent le moral avec des blagues aussi nulles les unes que les autres. Je les suivirent au réfectoire. Nous passâmes devant la table ou Bellamy et ses amis étaient assis. Je vis Bellamy rigoler avec Tony, le même Tony qui a tenté de me violer. Lorsqu'il me vit il baissa les yeux. Raven me pris la main, ce qui me réconforta.
Je ne toucha pas à mon assiette de tout le repas, j'étais déconnectée. Comment Bellamy qui m'avais sauvée pouvait-il rigoler avec celui qui m'avais agressée. Maeva vint s'asseoir à notre table, suivis de Tony, de Bellamy et d'un garçon que je ne connaissais pas mais que j'avais aperçu à la fête.
- Alors, ça se fait passer pour une sainte ni-touche mais en vérité ce n'est qu'un fille facile qui à tous fait pour se taper Tony à la fête. Alors qu'as tu as dire pour ta défense traînée? M'interpella Maeva.
Je ne pris pas le temps de réfléchir et me jeta sur elle pour lui mettre une droite. Elle recula sous la puissance du choque et se cogna contre Bellamy qui n'osa même pas me regarder. Tony s'apprêta à dire quelque chose mais Bellamy s'interposa:
- Arrête, dit-il en le fixant dans les yeux.
- Qu'est ce qui se passe Bellamy, tu en pinces pour elle? Rigola Maeva en se frottant la joue.
- Ouais Bellamy, toi aussi tu veux te la faire, comme moi? Rigola à son tour Tony.
Je m'apprêtais a me ruais sur lui mais Jasper me retint par le bras.
- Nan je n'en pince pas pour elle connard, commenca Bellamy, si je la veux dans mon lit je l'aurais, et qui te dit que c'est pas déjà fait.
Des sifflement se firent entendre dans le réfectoire. Ils résonnèrent et arrivèrent tels des balles de revolver à mes oreilles.
- Elle vaut pas la peine, continua Bellamy, regarde la. Elle fait pitié dans ses fringues. Elle est insignifiante et son seul objectif c'est que l'on parle d'elle. Tu sais quoi? Continua t-il en me regardant, va pleurer dans les jupes de tes parents mais laisse nous tranquille.
Se fit la phrase de trop, je m'avança et le gifla de toute mes forces. Ce que je lut dans ses yeux à ce moment la se résume par un mélange de tristesse et de colère. Je parti en courant et alla m'enfermer dans les toilettes. Raven tenta de me réconforter mais cela ne fit rien. Je voulu rester pour les cours de l'après midi, bien que ma seule envie fut de rentrer chez moi afin de pleurer.
A la fin des cours, alors que je prenais la direction de chez moi, Bellamy se mit en travers de mon chemin. N'ayant plus envie de me battre avec lui je le contourna et poursuivit mon chemin.
- Attend Clarke pour tout à l'heure je . . .
- Quoi tout a l'heure, le coupais-je, tu as eu ce que tu réclamais depuis notre première rencontre. Ça ta bien amusais de m'aidais hier soir? Qu'est ce qui c'est passé? Toi aussi tu avais envie de me violer mais tu es tellement un garçon bien qu'au dernier moment tu as eu pitié de moi c'est sa? Tu te permets de raconter des choses fausse sur moi alors que tu ne me connais absolument pas. Criais-je les larmes au yeux. Tu sais quoi, c'est finis, j'abandonne la partie, j'arrête de me battre. Tu as gagné, avant j'étais détruite maintenant je suis anéantis. Alors maintenant dégage de mon chemin.
Il ne répondis rien. Il n'y avais rien à répondre. La seule chose qui me frappa fut la douleur que je lut dans ses yeux.
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"hard love" Bellarke moderne.
FanfictionClarke s'installe dans sa nouvelle ville, dans sa nouvelle maison avec un seul but, prendre un nouveau départ. Pour cela, elle doit se faire discrète afin de préserver son secret. Cependant, entre bonne et mauvaise rencontre cela va s'avérer diffici...