Chapitre 17

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– Vous pourrez remettre cette lettre à mon père ?

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– Vous pourrez remettre cette lettre à mon père ?

L'Alpha leva la tête du livre qu'il était en train d'étudier dans la bibliothèque, et attrapa l'enveloppe que je lui tendais. Le soleil commençait à se coucher à l'horizon, et je devinais de légers cernes sous ses yeux lagons. Il la posa sur la pile de livres à ses côtés et me fit signe de m'asseoir à ses côtés. J'attrapais un livre et me posais dans le fauteuil rouge près de la grande fenêtre décorée par un long rideau foncé.

– Demain nous partirons à l'aube. Le voyage durera plusieurs jours, nous irons à cheval, m'expliqua-t-il.

Je hochais la tête et m'enfonçais dans mon siège. Nous restâmes ainsi plusieurs heures. Je laissais l'Alpha pour aller manger, lui n'ayant pas faim. Le repas terminé, je rejoignis ma chambre, et vérifiais mon sac plein de vivres.
J'enfilais ma chemise de nuit et me glissais dans les draps de soie de mon lit douillet. Je sombrais rapidement dans le sommeil en pensant à l'aventure qui m'attendait.

Je papillonnais des yeux en sentant mon corps se faire secouer

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Je papillonnais des yeux en sentant mon corps se faire secouer. Je fronçais les sourcils sous la fatigue, et me redressais péniblement. Suzanne me souriait alors qu'elle ouvrait les rideaux.

– Un petit déjeuner vous attend. L'Alpha s'occupe des chevaux.

Je la remerciais et me dépêchais de me préparer pour ne pas faire perdre de temps à Adam. Il devait m'attendre, et je ne voulais pas être la source de sa possible mauvaise humeur. J'avais remarqué qu'il n'était pas du matin, et le faire se lever si tôt n'était peut-être pas une bonne idée.

Finalement, après avoir englouti quelques fruits, je rejoignais l'Alpha près des écuries. Ferdinand et un étalon noir m'attendaient. L'Alpha chevauchait ce dernier, et il me tendit les rênes de mon fidèle cheval. Une fois en selle, nous passâmes la grille qui séparait le village et la forêt, et après un dernier au revoir aux membres de la meute, nous nous mîmes en route.

– Après plusieurs heures de route, je laisserais sortir Beastly, il a besoin de se défouler avant la prochaine pleine lune qui approche.

– Je m'occuperais de ton cheval.

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