Chapitre 5

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Lorsque je me tourne, j'aperçois celui qui m'a sortie de mes pensées. Sa main est délicatement poser sur mon épaule, ses yeux son fixé dans les miens, et sa machoir est contracté. Alexeï me regarde et avant que je ne puisse sortir quoi que se soit sa bouche articule c'est quatre mots. 

- Il faut qu'on parle! Je le suis et cherche de l'aide dans le regard de Tristan mais c'est peine perdu vu qu'il me tourne le dos. Nous nous asseyons sur le banc ou quelques minutes au paravent ce trouver Tristan à ma place. Tout d'abord respire! je vais pas te faire de mal. Je sais pas comment il a pu croire c'est chose débile mais non je suis pas un tyran. je garde les yeux baisser en attendant ce qu'il a à me dire. On va parler du plus grave, qui est ce mec? 

- Je sais pas du tout je voit pas qui ça pourrais être de prêt ou de loin. Je sais pas comment je doit me comporter avec lui alors fais la fille timide parce c'est tous ce que je sais faire devant lui. 

- T'inquiète il va bien finir par faire une gaffe et nous serons qui s'est. Par contre s'il te plait ne va pas porter plainte, Tristan en avait l'idée mais j'ai fait des choses dont je ne suis pas fier et je voudrais éviter le pire. Mes histoires se s'ont tasser et je voudrais que ça le reste ainsi. J'ai mit longtemps avant de m'en sortir. Je peut pas t'en parler pour l'instant mais un jour viendra ou tu sera. Il soulève mon menton pour que je le regarde. Je te le promet. S'est yeux se plonge dans les miens. Maintenant, pourquoi tu ne m'a pas dit que tu était pas indifférente vis à vis de moi? Tu ne me fait pas confiance?

- Si c'est juste que si toi tu est pas trop du genre à avoir des copines alors jme suis dit que.. je sais pas! J'avait peur que tu change de comportement en te foutant de ma gueule. Je sais pas comment j'ai réussi à lui dire mais bon. Un sourire s'affiche sur ses lèvres. Ses dents son blanches et éclatante. Il a  un magnifique sourire.

- Je t'aime bien, tu es une véritable amie pour moi. Même si je ne comprennais pourquoi tu me parler plus pour les cours que pendant une discution normale. Je n'aurais jamais changé à ton égart tu reste la petite protéger du groupe et maintenant encore plus pour moi. Je t'avoue que tu me laisse pas indifférent non plus. Je me met aussitôt à rougir. Tu sais, c'est la première fois que je te vois dans cette état et tu es plutôt mignonne. 

- Arrête s'il te plaît, c'est gentil ce que tu me dit mais... Il me coupe.

- Mais quoi? Accepte quand on te fait un compliment! Je ne me fou pas de ta gueule. S'il doit se passer un truc entre nous ça se ferra mais je préfère qu'on prenne notre temps. Ayant baisser le regard de plus belle il me reprend le menton entre ses doigts. Regarde moi je vais pas te manger. 

Il me fait rire et nous repartons vers le reste du groupe. je m'assoie sur les genou de Tristan car il y a un fort manque de place pour un groupe de dix personnes sur un banc. Il a l'habitude. Ils sont tous la a rigoler. Je ne prête pas attention et retombe dans mes pensées. Après quelques minutes à retourner les paroles de Alexeï dans ma tête, Tristan me fait sortir de mon imaginaire en faisant sautais sur ses genou. Il me fait sursauté par la même occasion. Il me fait signe de me pencher pour me chuchoter un secret.

- Alors? Tu voit que j'ai gérer. Je relève la tête et il me fait un clin d'œil. Je me penche pour lui repondre. 

- Oui, mais je fais quoi maintenant? Je veut dire pour les lettres? Il va dévoiler ce que Alexeï nous cache. 

- On va lui répondre. Il regarde sa montre et il est déjà 16 heure. Suis moi! 

Je me lève et marche dans ses pat. Il remonte vers l'internat. On se dépêche car les surveillants n'arrive que vers 17 heure. Une fois arriver à l'internat je vais déposer mes affaires dans ma chambre. Lorsque j'ouvre la porte je voit une personne debout devant moi. Il est habiller de noir et ne laisse paraître aucun centimètre de peau je ne peut même pas apercevoir son visage. Il se tourne vers moi et laisse tomber sur mon lit la rose rouge qu'il avait dans les mains. je reste paralyser. Je n'ose plus bouger. Il s'avance vers moi et je frisonne lorsqu'il me contourne pour sortir. Une, puis deux puis un déluge de larmes s'abat sur mon visage. Je ne comprend pas pourquoi es ce qu'il me rend aussi dingue que ça. C'est de la torture. Je me précipite vers la rose poser sur mon lit, c'est celle du parc, comment a t'il pu? Je la reconnais parce que elle un petit défaut sur une pétale, cela forme un cœur. J'aperçois également une autre lettre et cette fois si il ni a pas marquer mon nom juste " Je t'attendais". Je m'effondre sur mon lit. Au bout de quelque minute Tristan débarque dans ma chambre en furie.

- Qu'es ce qu'il ce passe? Je lève mon visage inonder de larme. Il aperçoit la lettre.  

- Il était ici. Il m'a encore laisser ça et la rose c'est celle du parc. 

- Attend comment tu peut en être sur? Il prend la rose dans sa main. Elle se ressemble toute. 

- Non Tristan! Elle je la reconnaîtrais parmi des milliers. Il me suis. Dans sa main je voit la rose etre broyee, dechictee. Elle peri entre s'est doigts. Il s'approche de la fenêtre l'ouvre et lance la fleur qui se disperse. Il est noir de colère. Il se rapproche de moi et me prend dans ses bras. 

- Je vais le retrouver. Et je vais le tuée. Me chuchote t'il a l'oreille. Il me sert fort contre lui. Vient dans ma chambre, on s'en fou si il y a le surveillant. 

Il m'accompagne dans sa chambre. Une chambre a quatre ou je devine bien que c'est également Alexeï, Luc et Mickey qui y dorme. Il a la lettre dans les mains. Et s'installe dans son lit et colle sa tête contre le mure. Je vient m'allonger la tête poser sur une de ses cuisses. Il dépose une main sur mon bras. Je ferme les yeux et m'endors sous le coup de ses papouilles. 

Captive (Terminer)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant