Chapitre 15

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- Bonjours les enfants, j'ai reçu un mail anonyme d'un élève de mes classes. Madame Cartney est très impliquer dans la vie des élèves. Il se sent délaisser, il a tenter de renouer le lien mais apparemment on refuse toute approche avec lui. Je n'avait jamais remarqué de telle comportement dans mes classes mais je souhaite abordé le sujet avec vous. Vous n'êtes bien sur pas venu ici dans le but de vous faire des amis, mais dans le but d'obtenir un diplôme. Mais les choses on fait et font toujours que des amitié se crée. Je refuse quand même qu'un élève soit à l'écart. Pas au point de devoir m'envoyer un mail de désespoir dans lequel il est dit qu'il veut mettre fin à ses jours. Faite des effort entre vous ne vous laisser pas seule. Ne vous repousser pas. 

Qu'elle beau discours, sauf que je sais que personne n'est mit à l'écart dans nos deux classe. Il n'y a qu'une personne qui aime avoir toute mon attention, le pervers narcissique qu'est mon bourreau. L'heure de cours passe très lentement. A la fin comme à nos habitudes nous allons vérifier nos sachets. Et cette fois ci depuis des semaines, une enveloppe s'y trouve. Il réattaque. Tristan me prend la lettre des mains et nous allons l'ouvre dans les toilettes. Trois mots y figure.

Fait attention princesse! X

- Qu'il essaye même pas de te toucher aujourd'hui ou je le tue! 

- Je commence à en avoir ras le cul de ce petit merdeux de mes couilles! 

- Mickey calme toi! Oui il nous as suivi! 

- Non mais sérieux, il joue a quoi. Il fait joujou avec toi et des qu'il en aura marre il arrêtera? Il me les brises là! Je vais aller le trouver dans sa cachette secret et puis basta, coup de tête balayette, on en parlera même plus. Nous rigolons tous à son expression veille comme le monde. 

J'ai passer chacune des heures qui ont suivi a épier les alentours. Mais rien, il n'était plus là à m'observer. J'ai eu peur a chaque instant, chaque bruit. J'ai analyser chaque visage, mais aucune ne correspondais et ma mémoire et devenu flou depuis longtemps. Peut être c'est pour ça qu'il n'est pas réapparu, pour ne pas que je devine qui il était en réalité. Tristan m'a suivi a chaque instant même aux toilettes après manger. Pas une seule fois il m'a lâché des yeux et peut être aurais t'il dû pour sa propre sécurité. Après manger on est montés dans ma chambre pour que je révise. J'aurais dû pour une fois aussi ne pas faire l'élève modèle, mais es ce que ça aurait vraiment changer les choses? je ne pense pas. Lorsqu'on est rentrer dans ma chambre tout parut normal jusqu'à ce que je tourne le dos et que j'entende le retentissement d'un coup derrière moi. Je me suis retourner aussi doucement que possible et découvris l'horreur devant mes yeux. La lumière s'éteint et je ne réussi pas à voir autour de moi. Je sais que Tristan est allongé sur le sol. Et lui est devant moi. Comme d'habitude, je suis à nouveau paralysée. Je le sens se rapprocher de moi, il commence par déposer des baisers dans mon cou. Je ferme les yeux, j'ai peur. Il respire fort et moi j'ai l'air couper. Il pose ses mains sur mon corps et me balance à plat ventre sur le lit avant de me retirer le bas. Je me haïs de ne pas avoir mit un jeans plus serré au lieu de mon jean boy-friend.  Il m'attrape les fesses et par je en sais qu'elle moyens, il arrive a me retourner de nouveau. J'entend le bruit d'une ceinture, suivi du zippe de son pantalon se baisser. Je pourrais tout à fait me sauver mais il y a toujours Tristan sur le sol et c'est soit lui soit moi. Si je part, il le tuera et si je reste comme il est entrain de se produire il va me violer. Je le sens s'allonger sur moi. Je pose mes mains sur son torse pour le repousser en vain. Il est trop fort. Il continue à m'embrasser, j'ai les jambes complètement serré. Mais pour l'instant ce n'est pas ça qui lui importe. Il prend un de mes seins dans sa main. 

- S'il te plait, je.. ne me fait pas ça. Je réussi à articuler. Pour seul réponse un rire étouffer. 

Il pose violemment son genou entre mes cuisses pour les écartés. Je me met à pleurer en tentent de resserrer les jambes mais rien n'y fait il est trop fort. Il enfonce sont pénis à l'intérieure de moi. Désoler Alexeï! Je t'aime. Il effectue des vas et vient alors que j'essaye de le repousser. Je commence à me débattre mais il attrape mes mains et les maintient fermement au dessus de ma tête avec une main. De l'autre il clou ma bouche. J'essaye de crié mais rien je n'arrive plus. Je ne suis pas croyante, mais si un quelconque dieu existe, aider moi je vous en supplie. J'aimerais tellement me réveiller et que ce ne soit qu'u cauchemar mais malheureusement c'est bien réelle. Il continu pendant une dizaine de minutes et ça devient interminable. Il étouffe ses gémissement de plaisir. Putain le salop, il prend du plaisir. Sa s'arrête enfin lorsque je le sens se déverser en moi. La pire sensation de monde. Il n'a pas mit de préservatif. Et merde! Il se relève se rhabille et sort. Je me recroqueville sur moi même jusqu'à ce que la lumière se rallume juste pour être sur qu'il ne soit pas encore la. Lorsque enfin je peut voir autour de moi, je saute sur Tristan pour essayer de le réveiller. J'ai remis ma culotte et ai poser sa tête sur mes genou. Je lui caresse le front pour qu'il se réveille délicatement. Je ne peut rien faire d'autre que attendre. Je ne peut pas appeler les autres je n'arriverai pas à leur dire mais je sais que Tristan comprendrais sa même parler. Au bout de quelques minutes il émerge. Il se relève. 

- Putain j'ai mal au crâne. Il se retourne vers moi. Merde! Il me prend dans ses bras et nous restons la, assez longtemps bras dans les bras. Je suis désoler. Il était la c'est ça? 

- Oui. J'essaye d'articuler entre deux sanglot. Il... Il m'a violer. J'éclate, j'explose, je pleure de plus belle. Bien plus qu'auparavant. Il me serre fort dans ses bras. Allez rhabille toi on va dans ma chambre ya les mecs, ils nous attendent.  

- On peut passer dans la salle de bain? Il acquiesce et m'accompagna. Je me rince le visage. Non faut je prenne une douche je peut pas tenir. 

C'est ce que je fit. J'ai frotter encore et encore. J'ai dû me laver au moins une quinzaines de fois avant de sortir de la douche et d'enfiler mon jogging avec un tee-shirt blanc simple. Je n'est même pas pris la peine de mettre mes chaussures je suis rester en chaussettes. On a rejoins les garçons dans leurs chambres. Luc était assis là sur son lit mais aucune trace des deux autres.

- Ils vous ont chercher partout vous foutiez quoi? Luc me gueule dessus et s'empare de son portable pour prévenir les mecs.

- Et oh tu baisse d'un ton! Désoler de mettre fait assommer, désoler qu'elle se soit fait violer mais comme tu voit on a était retenu. On jouer pas au monopoly! 

- Non, sérieux? 

- Putain Luc tu le fait exprès ou quoi? 

- Désoler! Ça va? 

- Parce que ça à l'air d'aller peut être. Bon ok Tristan est vénère. Chacun retourne à son occupation pour éviter que la guerre n'explose. Moi je m'assoie sur le lit d'Alexeï en attendant son retour.

Captive (Terminer)Où les histoires vivent. Découvrez maintenant