The eighteenth birthday

27 - Link

Je me dirige une nouvelle fois vers le temple et cette fois ci, je peux rentrer. C'est un labyrinthe au grand aire truffé de monstres. Je m'engage dans l'allée de droite. Pendant des heures, je tourne en rond. Énervé j'ai l'idée de gravir le mur. Le problème : 10 mètres à monter... Pas facile avec une épée et un bouclier dans le dos. Je me cramponne à la paroi qui était froide. Je fais glisser mes doigts dans les fentes et je pousse sur mes pieds. En peu de temps, je suis en haut. En regardant de haut le labyrinthe, je peux m'apercevoir que la sortir a été bloqué par un mur. On m'a enfermé. Je cherche une sortie. J'en aperçois une près d'une grande plateforme entourée de pierres. Je dois aller là bas mais des immenses fausses séparent les murs c'est donc impossible. Je réfléchisse à un autre moyen quand j'entends une voix féminine :

? : Link, tu peux le faire.

Je me retourne brutalement mais il a personne. Je deviens fou. J'interpelle Navi :

Link : Navi ! Navi ! T'as entendu cette voix.

Navi : Je crois que tu es malade. Tu dois avoir des hallucinations.

Link : Mais je te jure que...

? : Link ? Link ! Écoute moi ! Tu peux le faire. Courage, je suis avec toi.

Link : Heu... C'est pas normal ça.

Navi : Elle t'a dit quoi la voix ?

Comme elle rigole, je décide de l'ignorer. En prenant mon élan, je saute sur le mur en face et je réussis. Je m'étonnais moi même mais j'étais content de traverser plus rapidement ce fichu labyrinthe. Arrivé devant ma sortie, je monte sur la plateforme et deux cailloux viennent bloqués l'entrée et la sorti.

Link : Mais ? Que...

Un sorte d'ours mesurant bien quatre mètres se tient devant moi, prêt à me tuer. J'esquive sa première attaque et tente de le toucher mais il est robuste, mes coups ne lui font que des égratignures et je suis vite fatigué. Je baisse la garde pour me reposer mais l'ours profite pour me plante ses griffes dans mon dos et se met au dessus de moi. J'hurle. Ça fait tellement mal. Une larme coule le long de ma joue et en me retournant, je lui plante mon épée dans son visage. Il disparaît dans une fumée. Je m'effondre par terre à bout de force. Alors que la lumière blanche réapparue, je saigne de plus en plus. Lorsque les sages me virent dans un tel état, ils me soignèrent.

Link : Merci.

Je grimace : j'ai encore mal. Le sage que j'ai libéré se présente :

Saria : Bonjour, je suis Saria, le sage de la forêt. Merci de m'avoir délivrer.

Link : Mais tu es l'ami de Navi ?

Saria : Oui.

Je repars dans un en revoir collectif.