Maxenss et Maxence.

Partie sans titre 1

[PDV EXTERNE]

La pauvre étudiante en arts rentra penaude dans son petit studio de Paris. Elle venait d'apprendre que la fille que Maxence appréciait était une de ses meilleures amies,Eloïse. Maxence, le garçon qu'elle convoitait depuis si longtemps et qu'elle avait enfin eu le plaisir de rencontrer cette année grâce à son amie d'ailleurs. Cette dernière lui avait pourtant certifié qu'il n'y avait rien d'amoureux entre eux et que Maxence était comme son ange gardien. Elle n'y pouvait rien Maxence en aimait une autre, son amie, elle devait être heureuse pour eux pensait elle. Nous étions au mois de décembre, des décorations avait déjà commencé à être posée mais Mira n'avait pas la tête à penser aux fêtes. C'était encore une fois un noël sans neige mais le froid et la bise était tout deux bien présent.

Mira arriva enfin dans le hall de son immeuble, avant de monter chez elle, elle prit le courrier qui trainait dans sa boite aux lettres puis grimpa les marches de l'escalier de l'immeuble quatre par quatre pour rentrer le plus vite possible chez elle. Ni une ni deux elle se barricada, fermant tous les verrous tours à tours, elle savait que Maxence et son amie avait un double de son studio.

Elle s'installa tranquillement en essayant de ne pas trop penser à ce qu'elle avait appris aujourd'hui. Elle était sur son canapé avec son chat et son courrier, vêtu d'un jean boy-friend, taille haute avec un haut large rentré dans le pantalon, le tout ceinturé par un épais lacet de cuir noir, ses cheveux décolorés par ces voyages au soleil étant coiffé en une tresse collée effet décoiffé, qui laissait voir ses joues empourprées par le froid derrière ses deux, trois mèches folles. Le courrier qu'elle a reçu était somme tout assez basique, un virement mensuel de 50€ de la part de ces parents, la bourse qu'elle reçoit de l'école, la fiche de loyer de son studio et enfin, il y avait une dernière lettre, blanche toute simple, sans aucune adresse ou timbre sur l'enveloppe immaculé, on sentait qu'elle avait été rembourrée comme si on avait voulu protégé le contenu.Mira se mit à ouvrir l'enveloppe, tout doucement comme si elle avait peur d'en abimer le contenu, une épaisse couche de papier bulle l'empêchait de connaitre le vrai contenu de ce courrier. Elle l'enleva calmement sans jamais le déchirer, il lui restait encore une petite boite en main, une boite blanche avec pour seul inscription sur la boite : « N'ouvre pas tant que je ne suis pas là ! ».

Elle se demandait qui avait bien pu lui envoyer ce coli et ce qu'il pouvait bien se trouver à l'intérieur. Ce soir quelqu'un allait passer chez elle mais elle devait l'attendre. Pendant ce temps Mira n'eut de cesse de se repasser la journée dans sa tête.

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(en média une photo du 18ème à Paris, le quartier où vis Mira)

N'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez...
J'vous aimes j'vous dis à demain !
Bisous !

(rire)