Sexy Boss

5.

Mélia Wood
Chicago
13h43

Je me retourne brusquement pour voir qui vient de prononcer ses paroles.

Un énorme sourire est présent sur son visage. Je me sens légèrement honteuse. Surtout devant lui. On ne se connaît pas depuis longtemps et voilà la première impression qu'il a de moi. Super!

-Hé bien, il l'avait mérité! dis-je en croisant les bras.

Arrête tu ressemble à une gamine de 6 ans, m'avertie ma conscience.

Un rire s'échappe de ses lèvres. Mon dieu que'est ce qu'il est mignon.

-Et que t'on t'il fait? me demande Scott.

-Ils se s'ont moqué de moi parce que Geroges m'a donné son numéro.

Après ma phrase il rigole de plus belle. C'est si drôle que ça?

-Mais c'est pas drôle! je rétorque.

Il continu de rire et je décide de bouder. Moi une gamine? Pas du tout!

Une fois calmé, il se tourne vers moi et commence à parler.

-A peine arrivé et tu as déjà une touche, il sourit.

Je dois avouer que Scott est plutôt pas mal et que c'est mon genre de mec. En plus, il a l'air gentil et on pourrait bien s'entendre. C'est sur que j'aurais préféré que ce soit lui m'a touche...

-Pourquoi tu me regarde comme ça? il me questionne.

Je sors de ma rêverie et essaye de ne pas me faire chopper. Je ne vais pas lui dire que je le matais quand même.

-Je te regarde comment?

-Comme si t'allais me sauter dessus, dit-il avec un air taquin.

Ça ne me dérangerais pas... Houla, il faut vraiment que je me calme.

-N'importe quoi! je m'exclame.

Il sourit, montrant ses belles dents blanches. Doux Jésus, son sourire est juste magnifique. Je crois que je fonds.

Il n'en faut pas beaucoup pour te faire craquer toi! réplique ma conscience.

Non mais quand un magnifique spécimen comme lui te sourit comme ça, il y a de quoi s'enflammer, répond ma déesse intérieure.

Les portes de l'ascenseur s'ouvre en un ding me faisait redescendre sur terre. Je sors à mon étage suivi de très près par Scott. Je me rends au plus vite dans mon bureau essayant de cacher ma gêne aux yeux de Scott. Mais malheureusement pour moi, ce dernier rentre dans mon bureau.

-Un problème? je demande.

-Je voulais juste savoir où tu en étais sur le projet.

-Hé bien, j'ai simplement pris connaissances de tous les dossiers pour l'instant.

-D'accord, c'est parfait! Maintenant il faudrait que tu arrives à nous avoir des rendez-vous avec les noms sur la liste.

-Tous?

-Oui, il affirme en souriant toujours, et j'aimerais un planning avec les rendez-vous demain à 16 heures sur mon bureau s'il te plaît.

Lui au moins il est poli.

-Aucun soucis j'essayerais d'être dans les temps.

-Parfait, il conclu tout en sortant.

Bon je pense qu'il faudrait que je me mette au boulot parce qu'il y a au moins 80 personnes. de noms et de numéros à appeler. Il ne faut pas non plus que je me trompe dans la profession de tous, car il n'y a pas que les personnalités, il y a aussi les sponsors, les collaborateurs, et bien plus encore.