The attractive man (H.S)

Chapitre 10 : L'angoisse

Coucou mes chères lecteurs / lectrices, j'espère que vous avez passés de joyeuses fêtes de Noël et que vous avez eu pleins de cadeaux. :) Veuillez me pardonner pour cette longue attente, je n'ai pas pu poster plus tôt parce que ces derniers jours avec mon travail et les fêtes je n'ai pas eu trop le temps d'écrire la suite, mais pour la peine vous avez droit à un chapitre plus long que d'habitude et j'espère qu'il vous plaira tout autant que les précédents et que vous trouverez moins de fautes aussi, bonne Lecture à vous. 😘😘 

Précédemment dans "The Attractive man" :

Après un moment, j'entendais mon téléphone sonnait sur le siège passager, je le prenais en main et j'apercevais un numéro qui m'était inconnu. Je me raclais la gorge et essuyais mes larmes pour paraître neutre et je décidais de répondre.

- Oui allô ? Je demandais rapidement.

- Oui, bonjour est-ce bien monsieur Baker au téléphone ? Demandait une voix hésitante.

- Oui c'est bien moi, qui êtes-vous ? Je demandais en fronçant des sourcils parce que je me demandais qui pouvait bien connaître mon nom de famille.

- Oui monsieur, excusez-moi de vous déranger je suis le médecin de l'hôpital Alnwick, j'ai actuellement un patient au nom de John Baker qui...

- Allô ? Allô ? Je ne recevais aucune réponse de sa part, je regardais alors, mon téléphone qui m'affichait un écran noir. Je tentais de le rallumer mais plus rien, encore une fois j'étais face à un problème de batterie. Je n'en pouvais plus, désormais je haïssais la nouvelle technologie.

POV de Harry :

J'étais dans notre vieil entrepôt qu'on s'était approprié, situé en retrait du reste de la ville et dans un quartier quasiment jamais fréquenté.

J'attendais que les gars arrivent, je ne voulais pas que l'on se fasse griller dans nos échanges de drogues. Ils devaient tous impérativement venir à chaque fois qu'un client venait m'acheter du cannabis, depuis un certain temps maintenant, afin qu'ils puissent m'assister avec leurs armes à mes côtés au cas où que ça dégénérerait mal, même si je savais heureusement me défendre tout seul, mais il fallait mieux assurer la sécurité quand même.

C'était ce que je leur avais exigé parce qu'un jour, un de mes nombreux clients avait une fâcheuse habitude, de venir bourré et de négocier les prix de vente. On était toujours sur la même longueur d'onde, pour redescendre un minimum les tarifs.
Sauf qu'un jour, il m'avait demandé de baisser plus, chose que je n'avais pas accepté évidemment, mais ce qui s'en était suivi juste après était une histoire de dingue.

Le mec avait complètement pété les plombs, il m'avait sorti son vieux flingue de son manteau moisi et l'avait pointé sur ma tête en me demandant de lever les mains en l'air.

J'avais fais ce qu'il m'avait demandé bien sagement, mais sans qu'il ne s'y attende, je lui avais flanqué un bon coup de pied au tibia qui l'avait fait tombé K.O sur le sol, à cause de son état d'ébriété.

J'avais eu beaucoup de chance, parce qu'il aurait pu appuyer sur la queue de détente et j'aurais reçu une balle n'importe où.

Pour terminer notre violent conflit pour qu'il comprenne bien la leçon, je lui avais pris son arme et l'avais accroché rapidement à ma ceinture et je l'avais attrapé par la gorge pour cracher pleins de menaces de morts.

Celui-ci bien qu'il était bourré avait perdu la confiance et il avait hoché sa tête de rat, sur tout ce que je lui avais dit.

Quand je l'avais relâché brutalement, il s'était barré en courant et depuis ce jour, je ne l'avais jamais revue.