The attractive man (H.S)

Chapitre 17 : Le baisé

Coucou mes chères lecteurs, lectrices, voici ce nouveau chapitre que vous attendiez depuis longtemps. Je voulais déjà dit dans ma petite note mais, je souhaite encore m'excuser pour l'attente que j'ai mis. Il est très difficile pour moi de gérer l'histoire en plus de mon travail qui n'a pas des horaires fixe. Je vais faire tout mon possible pour être régulière. Encore merci pour votre soutien et votre patience, ainsi que pour les votes.  En espérant que ce tout nouveau chapitre va vous plaire, n'hésitais pas à me laisser un commentaire si vous avait aimé ou non. Je vous laisse apprécier votre lecture, je vous aime. 😘😃

Une dernière chose je souhaite remercier ma correctrice qui m'a aidé à trouvé de l'inspiration : @Anaispao74  sans elle je n'aurais pas réussis. Voilà, je vous laisse apprécier votre lecture ! 😘😘😘

Précédemment dans "The attractive man" : 

Je retournais dans ma chambre pour allais m'allongeais lorsque je remarquais qu'il y avait le téléphone de Iris sur le meuble de chevet. Elle n'avait pas dû voir que je lui avait posé là. Louis l'avait ramassé pendant que j'étais occupé à la rattraper. D'ailleurs, je n'avais pas compris pourquoi elle avait réagit de la sorte après qu'elle avait prit son portable. Je devrais peut-être regardais dans son téléphone pour savoir. Je le prenais en main et décidais de le déverrouiller lorsque je remarquais que celui-ci était verrouiller par un mot de passe.

- Merde fais chier ! jurais-je

Je reposais son cellphone à sa place initiale, il allait falloir que je lui demande moi-même pourquoi elle s'était mit dans cette état.

- Harry tu faisait quoi avec mon portable dans tes mains ? me demandait-elle

Je m'étais dirigé vers elle pour admirer mieux sa beauté. Elle était sexy comme ça avec son legging noir qui lui moulait à la perfection son petit corps. Merde elle m'existait tellement que j'avais envie de la prendre là maintenant.

- Har-ry ! disait-elle en bégayant

Je m'étais tellement rapproché que je sentais son souffle me frôler mes lèvres qui me donnait des frissons dans tous le corps. Aucune femme n'avait pu me faire ressentir au tant de sensation aussi forte. Je sentais sa respiration s'accélérer lorsque, je posais ma main sur sa joue pour qu'elle me regarde dans les yeux.

- Regarde-moi jolie cœur. 

POV de Iris : 

Je sentais mon corps s'échauffer au fur et à mesure qu'il s'était approché de moi. Il m'intimidait énormément lorsqu'il était si proche. Lorsque, je lui avait posé la question pourquoi il avait mon portable, il m'avait regardé avec désir. Là, maintenant je me retrouvais coincée entre la porte et son corps.

- Tu as envie de ce baiser autant que moi jolie cœur ! me chuchotait-il avec sensualité

Je sentais mon cœur palpiter de plus en plus vite suite à ses mots. Oui, j'en avais tellement envie que j'en sentais même des frissons dans tout mon corps. Je repensais à ce matin avant que les garçons nous avait interrompu dans notre baisé. Il était vrai que à ce moment là, je n'avais qu'une envie qu'il pose ses lèvres sur les siennes.

J'attendais tellement plus de lui qu'un simple baisé ! Je voulais tellement qu'il m'embrasse partout où il pouvait. Ses yeux brûlants sont rivés sur mes lèvres quand il répète d'une voix rauque irrésistible :  

- Dis moi que tu le voulais autant que moi ce matin.

 Je n'arrivais plus à me concentrer correctement que mes mains se posaient toute seule sur son torse. J'avais plongé mon regard dans le sien avant de l'attirer à moi inconsciemment. Il me regardait avec se sourire arrogant avant de se jeter sur mes lèvres ne m'y attendant pas je n'avais pas répondu toute suite. Mes yeux se fermaient toute seule à cause du torrent de sensations qui m'avait envahit à ce moment-là. Notre étreinte devenait de plus en plus brutale au fur et à mesure qu'il avait descendu avec précipitamment ses mains pour presser mes fesses avant de me soulever du sol. J'avais enroulé mes jambes autour de ses hanches et mes doigts se sont logés automatiquement dans ses cheveux bouclé qui était doux et soyeux pendant qu'il me portait à son lit.