Chapitre 5

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Cétait la nuit, j'étais étendu dans mon lit et je repensais à la conversation que j'avais eu avec Rey il y a une semaine, je ne l'avais pas contacté depuis, la laissant mariner, notre dernière conversation avait troublé sa force, je l'avais senti. Il ne me restait que le coup de grâce à lui donner avant de passer à la phase deux. J'avais ma petite idée sur comment le faire.
Je m'allongeais sous les draps, me décoiffais légèrement, laissais mes abdos apparant et fermais mes yeux avant d'activer le lien.
Je sentais Rey près de moi, je marmonnais donc. Ça eu l'air de l'intriguer, car je la senti s'approcher de moi, c'est alors que je mis le point final à ma phase une. Quand je la senti assez près de moi, dans un murmure je dis son nom puis me mit à sourire. C'est là que je senti sa main dans mes cheveux et que dans un murmure "Pourquoi ne peux tu pas être comme ça tout le temps, calme et avec un air heureux? " . Elle resta là à me caresser les cheveux quelque minutes, puis content de ce que j'avais entendu, je fermais la connection.

Rey était à point, demain j'enclencherai la seconde partie de mon plan maintenant dormons pour de vrai.

Le lendemain matin après m'être levé, j'appelais Jann'a:
"- Jann'a c'est moi, ça y est ramène là, c'est bon.
- C'est vrai? Demanda-t-elle hystérique
- Oui, ramène la mais en douceur, ça va être notre collaboratrice. Répondis-je calmement
- Bien Kylo, mais faut bien la traiter sur le chemin? Demanda-t-elle simplement
- Le minimum syndical c'est sensé être un kidnapping. Par contre pas de torture physique, ni de privation sensorielle, ni privation de nourriture, compris. Dis-je avec un air sérieux
- OK, j'y vais. Tu l'auras dans trois jours. Dit elle
- A dans trois jours. "

(Parenthèse du point de vue de Jann'a)

Ça y est je vais enfin pouvoir faire quelque chose  et c'est aller récupérer la future nouvelle. Je me prépare, bâ oui, il faut faire bonne impression à la nouvelle.
J'enfile donc mon corcet noir mate, met ma jupe gris cendrée avec traine, met mes bottes en cuir, attrape mon sabre, une dose de somnifère, un brouilleur d'ondes que je mets à ma ceinture et ça y est je suis prête. Mais il faut attendre la nuit, donc je patiente en regardant les dessins animés, même à vingt et un ans c'est toujours drôle.
Lorsque la nuit tombe, je sors et je me dirige vers la base, en passant par la belle forêt de Naboo. Lorsqu'elle est à porté de vue je me dirige vers elle, trouve la bouche d'aération la plus proche et rentre dedans. Seule une personne très fine peu y rentrer et heureusement pour moi j'en suis une.
Une fois dedans je rempe silencieusement dans les conduits jusqu'au premier coude où je prends à gauche. Je continu encore un petit moment, lorsqu'un bruit ce fait entendre. Merde un droïde d'entretien, en plus mon brouilleur est sur le côté de ma ceinture inateniable.
Je fais marche arrière jusqu'à la première bouche d'aération que je trouve, je la défonce, afin de fuir le droïde.
J'atterris dans une réserve médicale, pleine de compresses, et médicaments divers.
J'attends là tapis dans l'ombre quinze minutes sans oser respirer avant de repartir pour les froids et calmes conduits.
Je rempe ainsi pendant vingt minutes jusqu'à arrivé à ma destination: la chambre de Rey.
Elle est là étalé dans son énorme lit, à dormir. Je m'approche lentement d'elle prête à me battre au moindre geste.
Je ne suis qu'à un pas d'elle lorsqu'elle se relève d'un bon sabre à la main. :"
- Maline la petite. Dis-je juste assez fort pour qu'elle l'entende
- Comment es-tu rentré? Dit elle au même volume
- Un magicien ne révèle jamais ses secrets. Dis-je avant de lui sauter dessus "

Surprise Rey laisse une faille dans sa garde ce qui me permet de lui vaporiser mon somnifère à la tête.
Rey me regarde puis commence à s'écrouler, je la rattrape in extremis,éteint son sabre et le place à la ceinture, puis la monte dans la conduite avant d'entamer la voyage retour.

Le voyage retour ce passe sans accros, même si Rey est lourde à transporter pour moi.

Une fois dans mon vaisseau, je l'installe dans une cellule anti-force que je ferme à double tour, avant de prendre le volant direction la base.

Un piege à double tranchantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant