Chapitre 11

3K 142 22
                                    

Quatres jours après "l'incident de la chambre de Rey " tandis que je ressevais mes doléances je me dis que Rey devait enfin faire un choix, qu'il était temps que je la convainque de me rejoindre.
Je devais lui posé la question car la force me le disait c'était le moment où jamais.
Une fois ma journée de doléances terminée je partis donc me préparer pour cet événement important qui allait marquer le début d'une nouvelle ère. Celle où je dominerai la galaxie. Et pour celà il fallait être présentable et connaître mon discours.
J'enfilais donc mon juste au corps noir transparent, mon pantalon noir moulant noir, et ma longue cape noire, soit ma tenue de détente classe, puisqu'elle montre mon corps de rêve.
Je me dirigeais ensuite vers les "appartements" de Rey, un peu stressé par sa réponse.
J'entrais dans sa cellule, vis Rey assise en tailleur sur son canapé plongée dans mon livre, alors pour la faire réagir je fermais violemment la porte derrière moi. Elle sursauta, puis regarda dans ma direction, me remarqua, m'observa longuement puis baissa les yeux, légèrement rouge.
Je m'approcha d'elle lentement, calmement. Une fois devant elle, je m'assis à ses côtés sans qu'elle ne me repousse, puis lui pris gentillement une main: "
- Rey, j'ai une question à te poser et je ne suis pas sûr qu'elle te plaise. Dis-je calmement
- Dis toujours, tu verras ma réaction après. Déclara Rey simplement
- Rey, je sais que toi et moi on ressent quelque chose. Une improbable alchimie. Une sorte de pulsion étrange. Un lien primaire. Une chose qu'on saurait mais qu'on ne voudrais nommer. Ce n'est pas de la haine, ce n'est pas de l'empathie, c'est autre, tu le sais. Dis-je en me rapprochant encore plus d'elle
- Non...je ne ressens...pas ce genre de...chose...pour...toi. Bredouilla-t-elle rouge
- Menteuse. Dis-je à quelques centimètres de son visage
- Non. Dit elle encore plus rouge
- Si tu ne mens pas pourquoi rougies tu? Murmurais-je à son oreille
- Je...ne...rougie...pas. Dit elle difficilement
- Tu ne ressens rien donc. Je peux donc je peux faire ça. Dis-je avant de lui mordiller le lobe.
- Hiii, j'avoue tout, mais arrête. Dit elle rouge tomate, d'une voix sur aiguë après son petit gémissement
- Dit le moi. Dis-je dans un murmure
- Je...t'a...je...t'aime...je crois. Dit elle rouge et gênée
- Rey, moi aussi je t'aime. Murmurais-je toujours à son oreile
- J'ai du mal à te croire. Répondis Rey
- Pourtant tu le devrais. Si ce n'était pas le cas, pourquoi t'aurais je traité comme je fais, tu es une hors-la-loi. Lui dis-je en face à quelques centimètres de son visage
- Par bonté d'âme. Dit elle hésitante
- Tu sais très bien que les bons chefs n'ont pas de bonté d'âme. Ils se doivent d'être unanime, mais avec toi ça m'est impossible. Expliquais-je
- Vraiment?!  Demanda-t-elle troublée
- Oui Rey, c'est vrai et j'aimerais que tu restes ici à mes côtés de ton plein gré. Dis-je de ma voix la plus douce
- Je ne sais pas.
- Je t'en prie réfléchie y. Demandais-je avec mon regard de chiot
- Je suis désorientée, laisse moi réfléchir. Déclara-t-elle
- Oui, à demain matin princesse. Dis-je avant de l'embrasser furtivement sur la tempe"

Je sortis ensuite de la pièce en vérifiant bien que j'avais verrouillé toutes les portes.
Une fois dehors je me réjouit, mon petit discours l'avait convaincue. Elle était si mignonne lorsque je l'ai fais gémir pour obtenir la vérité, on aurait dit un chaton.
Elle sera bientôt prête à me rejoindre. À rejoindre mon côté je veux dire.

.....

A pardon pour le retard de deux jours je m'excuse pardon, j'ai reu un empêchement, pardon.
Bon j'espère que le chapitre vous a plus. A demain soir pour la suite, bisous.

Un piege à double tranchantOù les histoires vivent. Découvrez maintenant