#Cliché Chronique 1

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Nous revoilà pour le deuxième cliché qui portera, comme le dit le titre, sur les chroniques.

Bah ouais. Il fallait bien qu'on en parle.

Dans les chroniques il y a tellement de clichés que je vais parler seulement d'un sinon on finira jamais.

Alors déjà je vais faire un cliché là parce que je vais réitérer ce qui a déjà été dit des milliers de fois dans les livres de clichés et autres (is it too late to say sooorrrry) mais je suis obligée de commencer par là.

Pourquoi la meuf doit toujours être un p***** de canon?
Genre dans la tess y'a que des bombes quoi, sérieux?

Perso, quand je vois une chronique qui commence par :

"Salut moi c'est Mila (on change pas l'équipe, enfin, le prénom qui gagne). Je suis algéro-franco-ivoiro-australo-chinoise. J'ai les cheveux rose bonbon qui m'arrivent jusqu'aux mollets en de légères boucles naturellement bouclées et des yeux violets-marbrés-cield'orage-glace-feuJ'ai des formes il faut il faut  (really girl? là où il faut? je me sens vexée là). Moyenne de taille, j'ai une pote comme moi qui est blablablablabla ......"

Fin du massacre.

Toute façon c'est partout ce genre de truc. Et on va pas se mentir, je lis parfois des chroniques juste pour voir jusqu'à quel niveau ce genre de description peut dépasser les limites de la connerie.

Bon comme je l'ai dit on est pas là pour se moquer mais se conseiller.

Il y a un truc. Très souvent on lit des chroniques pour passer le temps. Pour écouter (lire en fait) l'histoire d'une autre personne. Alors notre cerveau a souvent besoin d'une description de la personne afin d'associer les actions et les paroles a un visage, un corps.

Moi, par exemple, lorsque je lis une histoire où il n'y a pas assez de description j'ai l'impression que le travail est bâclé puisque je suis confuse par rapport aux personnages, aux endroits et tout. Donc je comprends. On a besoin de message+image.

Le problème est que, en tant qu'auteur, il ne faut pas agir comme ces publicités malsaines qui ne savent plus combiner image et message et qui font de leur principal message l'image (please dites moi que vous avez compris mon charabia).

Donc la description ne peut pas devenir plus importante que l'histoire vu que avant tout il s'agit d'un texte narratif (on a vu ça en CM1 ou CM2 je crois).

Et puis, entre nous, faut avouer que quand tu lis une histoire où tout le monde est une frappe t'as juste le seum hein?

Donc si vous pensez faire une chronique essayez de décrire votre perso principal le plus humainement possible ( à bas les yeux multicolores). On veut pas qu'elle soit moche mais bon.

Vous verrez, vous attirerez des lecteurs sains d'esprits (je dis ça je dis toujours rien) et qui sait, vous ferez peut-être remonter les chroniques dans l'estime de certains, dont moi ( oui parce que pour moi y'a les histoires cheloues, en-dessous les histoires bêtes, puis les cafards et autres insectes, après les pédophiles, et enfin les chroniques, sooorrrrry).

Et vous ferez plaisir à Tata Joy (je sais. Ça c'est chelou).

Ah, un truc aussi. Vous savez les relectures ça fait perdre peut-être du temps mais c'est très utile. Ça rend votre histoire COM-PRÉ-HEN-SI-BLE et LI-SI-BLE. Alors même si ça va retarder votre publication essayez de vous relire. Si vous êtes pas sûr ou alors pas satisfait (on est pas dicos ambulants non plus hein), vous pouvez toujours demander à quelqu'un de vous aider. Simple et efficace.

C'était tout pour moi.

Si vous avez des conseils, parlez-en que je les ajoute ( j'ai pas peur des mises à jour #thuglife ).

Sinon, des chroniques à proposer ou à partager avec nous?

Clichés, pourquoi pas?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant