Tout le monde va bien ici?
Oui?
Bien on peut commencer alors.
J'aimerais tout d'abord remercier tous ceux qui lisent cette œuvre, la mettent dans leur liste de lecture, y laissent une étoile.
Même si on est loin du best-seller ou du roman à succès et que pour d'autres le nombre de vues sur cette œuvre est carrément ridicule, moi ça me fait vraiment chaud au cœur (et quand je dis ça je suis vraiment sérieuse, je sens même ma température interne monter).
Alors même si je ne suis pas vraiment régulière j'essaierai d'établir un certain programme afin de ne pas sortir un nouveau segment à n'importe quel moment (comme la désordonnée que je suis).
Puis aussi, mettez vous à l'aise, faites comme chez vous, exprimez-vous dans les commentaires. Vous pouvez commenter sans crainte.
Je ne mords pas.
Promis.
Enfin, pas généralement.
Demandez à @kenza-anako.
Bon, tout ça pour dire, MERCI.
C'était un petit moment de fragilité en direct du placard_à_balais.
Thug_life ( avouez, ça vous a manqué hein?).
Bref, on y va avec le thème d'aujourd'hui.
Alors comme je l'avais dit dans le segment précédent, je compte changer un peu le style de présentation de mes clichés.
Vous inquiétez pas, on parlera toujours de ses fameux clichés et de comment les améliorer mais je ne les classerais plus tout le temps par genre littéraire. J'essaierai désormais d'en parler plus généralement.
On va donc commencer par le cliché du traumatisme d'enfance aka l'enfance difficile.
Dans ce genre d'histoire, le personnage névrosé n’oublie jamais de vous farcir son histoire traumatique ( un peu comme ces gens qui assument pas leurs fautes d'orthographe et sortent à toutes les sauces "j'suis dyslexique").
La concentration de ce genre de secrets (cela peut être de l'inceste, la perte des parents, père qui n’est pas le père et pleins d'autres trucs) dans le roman défie elle-même la notion de cliché.
En attendant, qu’est-ce qu’on aura appris de ces femmes (ou le beau gosse du lycée, ça dépend) en pleurs, en train de raconter comment « alors que j’avais 6 ans », elles ont été battues, violées, poursuivies, abandonnées, molestées,… Il y a assez peu de clichés « traumas » qui fonctionnent, ce qui fait de ce recours une séquence à haut risque.
Si l’on veut sortir du lot, il faut se distinguer par une image forte et qui neutralise le cliché, au risque d’emporter tout le reste.
Conseil : Suivez Melville ,
Dodge et quelques autres, adoptez des personnages normaux, ou dingos mais alors faites en sorte qu’on ne sache pas ce qui fait qu’ils sont comme ils sont.Si vous devez le faire savoir, pour une raison ou une autre, gardez a l'esprit que : le moment, la manière, les circonstances, les témoins, les interlocuteurs sont à choisir avec soin parce que genéralement, une victime de traumatisme n'est souvent du genre a partager son traumatisme a tout le monde (et viens que je te donne des gâteaux pour te réconforter).
Sur ce, je vous dis comme d'habitude, partagez vos points de vues, parlez-nous de vos histoires, posez vos questions et bonsoir.
VOUS LISEZ
Clichés, pourquoi pas?
HumorOn se plaint tous de ces clichés qui reviennent dans toutes les histoires. Eux qui ont le don de gâcher notre lecture et de nous donner envie de casser notre téléphone ou notre ordinateur même si l'histoire est géniale. Mais que serait réellement u...