Human's war 1: souvenirs oubliés

Chapitre 1: le départ

Chapitre 1:
Le départ

D'un matin frai, un jeune homme rêvassait en regardant tranquillement les nuages rosés, allongé sur un banc perché sur une colline en dehors de la ville au calme. Ses longs cheveux noir attachés en une queue de cheval et ses yeux sombres et sérieux, pourtant cernés de fatigue. Il ferma les yeux, même s'il redoutait dormir. A peine les-eux-t-il fermé qu'une lumière aveuglante arriva. De beaux yeux turquoise se tenaient devant lui. Puis soudain, la pièce s'éteignit ! Il se retrouvait alors dans une pièce noire. Une fille à peine visible tant elle brillait se tenait devant lui. Elle lui hurla quelque chose d'incompréhensible. Soudain, une flèche se planta droit dans le cœur du jeune homme ! Il ressentit une douleur atroce, il tomba à genoux. Il vit alors une ombre ricaner sous son nez. Il regarda la jeune fille...

-Shikamaru! Shikamaru!

Il ouvrit les yeux en se redressant de la sueur sur son front. Il fut soulagé de voir que sa meilleure amie se tenait devant lui. Elle avait de jolis cheveux rose descendant jusque dans le bas du dos et de magnifique yeux vert émeraude. Elle l'avait gentiment secoué et elle se tenait à côté de lui, sur les fesses maintenant qu'il s'était redressé brusquement !

-ça va ? Tu as toujours tes insomnies ? Demanda-t-elle en époussetant sa jupe.
-Oui...Grogna-t-il en se massant la nuque. Mais j'ai aussi fui ma mère.
-T'es pas croyable Shika !
-Sakura...
-Mmmh ? Répondit la dénommée Sakura.
-...pourquoi tu m'as réveillé ? J'avais enfin réussi à m'endormir !
-T'es sérieux ? Tu transpirais comme je ne sais pas quoi et tu as même faillit tomber du banc !

Shikamaru soupira alors qu'elle rigola du comportement de son ami. Elle était souvent de bonne humeur et pleine de vie ! Mais Shikamaru compris vite qu'il fallait être mature avec elle. Kiba, un jeune homme aux cheveux brun, le prouvait tout le temps en terminant souvent dans une poubelle, dans un arbre, par une fenêtre et autre chose comme ça ! Kiba était leur ami, il était un vrai dragueur et un peu immature, ce qui déplaisait fortement à Sakura qui essaye de l'éduquer un peu ! Mais lui est le seul à avoir une idiote de tutrice agaçante. Sa mère, son père et sa sœur avaient disparu mystérieusement, laissant le jeune homme amnésique à quatorze ans. Il ne se souvenait plus que de la voix de sa mère, il savait qu'il avait eu une famille, qu'il avait eu une sœur, un père, une mère, mais ne savait plus qui c'était, qu'elle nom ils avaient. La seule chose qu'il aurait pu dire d'eux, c'est que c'était une famille énergique ! Quant à Sakura et Shikamaru, ils avaient leurs parents, mais étaient devenus amnésiques à quatorze ans. Bref, en gros, tout le village ne parlait jamais de ce qu'il s'était passé avant il y a deux ans, comme si, justement, leur vie avait commencé il y a deux ans.

-On va chercher Kiba et Tenten ? Proposa la rose.

Shikamaru hocha la tête en la suivant. Tenten était leurs autres meilleures amies. Ils formaient un groupe à quatre inséparables ! Et surtout, ils avaient un point commun. Les quatre se demandait ce qu'il s'était passé il y a deux ans. Ils étaient aussi les seuls à être insomniaque et à faire des sortes de cauchemars. Aussi, c'était parce qu'ils étaient un peu tous insociables sauf Sakura. Kiba ne s'entendait pas bien avec tout le monde, sauf les filles de son âge, car c'est un dragueur ! Tenten avait le malheur d'avoir une mère qui n'avait pas eu un bon passé que Tenten ignorait, mais du coup, personne ne voulait d'elle. Par contre, Sakura avait de super parent, bien qu'un peu trop collant, elle s'entendait bien encore avec les autres, mais comme elle fréquentait Kiba, Tenten et Shikamaru, les personnes ne venaient plus trop vers elle. Quant à Shikamaru, il était trop fainéant et coupé du monde pour se faire d'autres amis ! Et de plus, c'était un machiste. Toutes les filles le fuyaient tant il était désagréable ! Les seules filles à le supporter étaient Tenten et Sakura. Malgré les blagues de mauvais goût machiste, Tenten et Sakura gardaient un immense sourire et en riaient même ! C'était un samedi, fin été, presque automne.