Oups ! Cette image n'est pas conforme à nos directives de contenu. Afin de continuer la publication, veuillez la retirer ou télécharger une autre image.
1:00 J'étais dans ma chambre, la lumière rouge tapais à l'intérieur, laissant celle-ci rouge.
J'entendais à travers murs, des femmes et des hommes, que je ne serrais vous décrire tellement mes pensées me dégoûtes au plus au point.
Je regarde par le judas et déverrouille ma porte d'entrée, je sort de celle-ci et me dirige en courant vers la chambre de Émilia.
J'avais très peur, je ne me suis pas habituer à cette endroit malgré que les semaines se multiplie et les mois aussi.
Toute les chambres était occupée et des gémissements résonner dans ces chambres. Sa me dégoûtait mais disons que j'étais habituer, et que même moi, j'y était obliger. Pour vivre.
Je m'apprêtais à mettre ma main sur la poignet de la porte quand soudainement, on me projette avec violence contre le mur. Je retiens ma respiration et un homme se trouvait devant moi et place son doigt sur sa bouche pour me faire signe de la fermer. Je ravale ma salive et hoche la tête en vitesse.
?-Pourquoi t'es toutes seule princesse...
Il me regarde de bas en haut, j'essaye de paraître sereine mais la peur envahissait petit à petit mon petit corps. j'avais l'impression que mon coeur voulait sortir de ma poitrine.
Je fini par le pousser violemment et il reprend mon poignet.
Moi-Lache..
Il m'arrête en m'embrassant sauvagement, il colle avec violence mes lèvres contre les siennes. Ma respiration s'est coupée, que faire. Je commence soudainement à le pousser espérant que celui ci bouge de quelque mètre mais rien y faire.
Je suis pas au poste, j'ai le droit de ne pas vouloir.
Mes larmes coulait sans que je m'en aperçois et il commence à me tripotais de partout dans le plus grand des calmes, il n'y avait que mes petits bruits qui régnait dans le couloir red. Je me débattais tant bien que mal. Mais rien y faire...
?-Vien par là...
Il m'attrape par les cheveux et me traine dans ce couloirs. Jusqu'à ma porte qui n'était pas fermée au passage. J'étais possédé, je bougeais de partout pour l'arrêtait.
Moi-LACHEZ MOI! À L'AIDE À L'AIDEEEE!
Mais encore une fois, personne n'entend mais appel de détresse, personne. Je me demande vraiment si je suis pas là malédiction en personne dans ce monde.
