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S A L A M - A L E Y K Û M

















A Y E M





Je m'assois cotée passager et l'attendais, je regarde en face de moi c'est à dire les buisson car on étais face au buisson et derrière bah il y avait le parking avec les toilettes et un magasin.

J'entend quelqu'un toc à ma vitre et je vois Reda debout avec un sac en plastique blanc à la main.J'appuie sur le bouton pour déverrouiller toute les portes et il me tant le sac.

Que je prend et regarde en fronçant les sourcils, il ferme la porte et contourne la voiture pour monter côté conducteur.

Reda-Vas-y regarde c'est pour que tu n'ai pas faim.

Moi-Ah merci..

C'était un paquet de bonbon et deux sandwich au thon je pense.

Reda-Il nous reste un quart d'heure et on serra à l'aéroport.

Moi-*surpris*Tu va payée mon billet?

Reda-Te préoccupe pas de ça, mange et ferme ta bouche.

Moi-Arrête d'être vulgaire s'il te plaît sa m'agace beaucoup.

Reda-*Fou rire*Wsh Ayem t'es sah comment tu parle? J'vais te former pour devenir une p'tite kaïra toi...ouuuh j'en peux plus!

Moi-Je n'ai point besoin de ton aide mon chers.

Reda-Ah sa mère..

Il tapait le volant avec ses mains et avait les larmes au yeux, j'avoue la dernière phrase j'ai fait exprès mais c'est bien de parler français..Lui comment il parle j'ai l'impression il a bu trop de café et qu'il mélange tout les mots.

Reda-Mange et tais-toi fausse bourgeoise.

Moi-Ferme ta gueule.

Il me regarde toujours en essayant de maintenir le volant et me met une grosse tape derrière la tête.Je met ma main droite derrière la tête en ouvrant la bouche.

Moi-Aïeeeuh, Reda tu m'a fait mal!

Reda-cheh chAllah tu tombe à l'aéroport.

Moi-OKEY.

Reda-Tu boude?

Moi-Qui? qui me parle?

Reda-Vas-y j'me tait.

Moi-*dans ma tête*C'est mieux pour ta tête de chimpanzé.

Reda-Donne moi un bonbon.

Je baisse les yeux vers mes cuisse, je prend le paquet et l'ouvre j'en prend un et l'amène a ma bouche.Il me regarde puis prend lui même un bonbon.

Il sort un CD et l'met, je le regarde et tourne mon visage vers la vitre pour regardez la route.

...-Ma mère m'a dit "mon fils, le hasard n'existe pas".Avant mes premiers pas, je
voulais marcher mais je pouvais pas.Je regarde les autres à l'école fuirent leurs parents comme la peste.Tout ce que je voulais c'était voir ma mère mon père dans la même pièce.

A Y E M |  Femme d'une vitrine Où les histoires vivent. Découvrez maintenant