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Jessica

Dés notre arrivé à l’hôpital avec l’ambulance, nous sommes pris en charge.  Malgré que je sois médecin, le chef des urgences me refuse l’entrer au bloc.  Mes gestes ont été mécaniques.

Nous attendons dans la salle d’attente, Nathan dans mes bras, il a refusé de rentrer quand j’ai demandé à mon frère de  le déposer.  Nous sommes rejoint par les parents de Lucas, sa mère s’effondre dés qu’on termine de l’a relaté les faits.

Mes parents sont aussi là,  dés qu’ils ont vu leur petit fils saint et sauf ils l’ont pris dans leur bras. Et ne le lâche plus, je me rends compte que n’étant pas la seule que sa disparation ai affecté. 

Cela fait une trentaine de minutes que nous patientons, quand je m’apprête à aller en salle de surveillance pour avoir des nouvelles. Une infirmière déboule du couloir menant au bloc. 

Elle n’a pas besoin de finir sa phrase, je suis attendu au bloc. Le médecin chef des urgences n’avait pas voulu que je sois présente pour le début de l’opération, je suis arrivé avec une tète à faire peur du à l’angoisse de la fusillade et tout ce qui en ai suivi même si j’ai réussi à tenter de maitriser avant l’arrivé des secours le flot de sang qui s’échapper de sa blessure.  Je passe par la salle de stérilisation une tenue m’y attend, même si je me suis débarrassé du sang qui taché mes mains et ma tenue plus tôt. 

Voire son corps étendu et ouvert me tétanise, quand on m’interpelle je reviens à moi.
Je me dépêche de faire mon travail, malgré mon cœur qui saigne.  Une heure plus tard je suis assis à même le sol du bloc mes larmes coulent d’eux même. Quand on m’a appelé je n’ai même pas jeté un regard à la famille et maintenant que je dois les faces pour les données cette nouvelle.

Le docteur  Atkins ayant procédé à l’opération vient me voire, il essaie de me réconforter du mieux qu’il peut, mais cette souffrance que j’ai eu à ressentir à la mort de Nath, je ne le souhaite même pas à mon pire ennemi. Il me sermonne qu’il ne m’a jamais connu défaitiste, certes il n’est pas encore sortie d’affaire mais que le pire était passé maintenant on doit garder espoir. 

Je me tiens au coté du Dr Atkins, il explique à la famille le déroulement de l’intervention et l’état actuel de Lucas, au moment ou il prononce les mots arrêts cardiaques et coma, personne ne peut retenir ces larmes. Ma mère vient de prendre dans ces bras et je me rends compte que mes larmes coulées. Mon frère revient avec Nathan dans ces bras quand, quand il nous voit il sait que les nouvelles ne sont pas bonnes.

Mon fils s’approche de moi, je le prends dans mes bras en humant don odeur. J’entends qu’il sanglote j’essaie de le calmer, il se reproche ce qui vient de se passer. Je le sermonne que ce n’est pas de sa faute qu’un méchant monsieur à voulu s’en prendre à nous et à sa famille. Les parents de Lucas ayant entendu notre discussion viennent aussi lui parlé. 

Nathan : vous allez être triste comme maman quand Nath est............. 

il ne termine pas sa phrase que nous nous rendons compte que Nathan croit que Lucas n’est plus.  Je le prends à l’écart et l’explique avec des mots simple que Lucas est entrain de dormir, son corps a besoin de repos c’est pourquoi il est dans le coma. Quand il m’a demandé quand est ce qu’il allait se réveiller. Pour la première fois je n’ai pas pu donner une réponse  juste  mon fils. Je lui propose qu’on prie fort pour souhaiter que Lucas se réveille. 

Étant maintenant installé  dans une chambre, on part le voire par deux avant de décider de rentrer,  de toute façon il n’y a rien que l’on puisse encore faire et tout ce monde à besoin de repos pour pouvoir lui apporter notre soutient. Je parle un peut avec les parents de Lucas sur la manière de l’annoncer, à Mme Taylor et qu’il était préférable de le faire demain. 

Lien de SangOù les histoires vivent. Découvrez maintenant