En arrivant à l'hôpital je me précipitai vers la réceptionniste qui m'expliqua comment me rendre à la chambre 710 (la chambre ou ma mère était) lorsque je réussi à assimiler l'information je partis en courant et failli renverser plusieurs personnes au passage. Lorsque trop essouflé, je ralentit le rythme, j'arrivai dans un corridor au bout du quel j'apperçu la chambre 710. À ce moment je réalisai a quel point cet hôpital était triste tout était trop blanc et trop silencieu. Le seul bruit que je pouvais entendre était le bip-bip des moniteurs cardiaques et bien sur il y en avait partout puisque j'était sur l'étage de cardiologie.
Je fis quelques pas et arrivai à la hauteur de la chambre 710 je n'eu pas immédiatement le courage d'entrer je me laissai donc glisser le long du mur jusqu'a ce que mes fesses touchent le sol. Je restai ainsi plusieurs longues minutes.
Au moment ou je me décidai enfin à entrer mon cellulaire émit un petit bruit. Je le sortit et découvrit un message inquiet de ma meilleure amie qui me demandait ou j'étais. Je décidai d'attendre avant de lui répondre pour pouvoir lui donner plus d'informations. J'entrai donc dans la chambre.
...
En entrant dans la chambre je fus surprise de constater que mon père était seul. Il ne me repéra pas immédiatement lorsque j'entrai, je m'avancai donc pour lui signaler ma présence. Lorsqu'il releva la tête je constatai qu'il avait pleurer, je le réalisai à la rougeur de ces yeux. Il me fit signe d'approcher et de m'asseoir avec lui. Il me pris la main et m'expliqua que ma mère était dans un état critique et qu'ils avait donc du l'emmener pour lui faire passer une batterie de test supplémentaires. Je lui demander si sa vie était en danger il me répondit que pour l'instant oui mais qu'elle était entre bonnes main. Nous restâmes donc assis en se tenant la main en attendant qu'elle revienne.
...
Point de vue de Martin (père de Léanne)
Lorsque je lui annonçai que sa mère risquait de mourir je m'attendit à ce qu'elle pleure mais non rien, au lieu de ça elle se figea complètement. Je crois qu'elle fixait un point plus précisément un cadre. Elle resta ainsi pendant presque 15 minutes, au bout d'un certain temps je commencai à êre inquiet et lui posai donc des questions pour essayé de lui faire penser à autre chose.
...
Point de vue de Léanne
Je fus si troublé par la nouvelle que je failli partir en courant mais me resaisit et fixai un cadre en espérant que ma mère revienne vite. Mon père me parlait mais je n'avais pas la force de lui répondre j'attendis donc ainsi ce qui me paru une éternité mais qui n'avait probablement pas duré plus de 15 minutes...
Après une longue attente des infirmères et un médecin entrèrent dans la pièce en poussant un lit ou ma mère était installer. Le médecin vint se présenter a moi et nous demanda de se diriger avec lui dans le corridor. Je suivi donc mon père et le médecin jusqu'à une salle d'attente ou nous prirent place. Le médecin nous expliqua que ma mère avait reçu des somnifères pour qu'elle puisse dormir et se rétablir par contre nous craignions encore pour sa vie. Mon père me proposa d'appeler la mère de Sophia pour lui demander de venir me prendre pour que j'aille dormir chez eux et que lui passerait la nuit à l'hôpital pour veiller sur ma mère.
Mon père parla avec constance (la mère de Sophia) et celle-ci accepta. Je me retrouvai donc une heure plus tard sur la banquette arrière de la mazda cx5 noir de constance avec Sophia à mes côtés...
__________
Et voila pour le chapitre 2. Il est pas mal, vous en pensez quoi?
VOUS LISEZ
Une Année Hors Du Commun
ChickLitEn une année Léanne 17 ans surmonte plus d'épreuve qu'on ne devrait en surmonter dans une vie. Elle surmonte des épreuves qui seront parfois les plus belles de sa vie et certaines autres qui seront les pires de sa vie. Entre rire, pleurs, amour, tra...