Cbapitre 13

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C'était un 3 janvier. Le dernier 3 janvier. J'était assise au milieu de ma chambre (qui bientôt ne serait plus la mienne) vide et je me remémorais tout les beaux souvenirs que j'avais dans cette chambre jusqu'au moment ou je me souvins que dans mon garde robe du côté gauche dessous la dernière tablette il y avait une planche du plancher qui se lève. Je me précipitai donc dans mon garde robe et soulevai la planche. Je découvris sous cette planche un petit cahier rose dans lequel j'avais collé des photos de toutes les personnes importante pour moi. J'était en train de les observer lorsqu'on cogna à ma porte. Je vis mon père dans le cadre de porte et derrière lui... ROSALIE. Je ne l'avais pas revu depuis les funérailles et j'avais totalement oublié de lui dire la nouvelle.

Au moment ou elle entra un silence de mal aise s'installa. Elle ne parla pas mais je ne sais trop pour qu'elle raison j'eu souvenir d'un bracelet que j'avais acheté pour Sophia il y a très longtemps avec ma mère. C'était un bracelet d'amitié. Il avait une breloque d'un coeur dans le quel il y avait un trou comme une serrure. Moi j'avais acheté la clé qui permettait d'ouvrir la breloque. Je me souvins aussi que ce bracelet je l'avais accrochés sur un petit clou dans mon garde robe et j'avais tout simplement oublié de lui donner. Je couruvle chercher et passai le bracelet autour du poignet de ma cousine. Je fis de même avec le mien. Elle me prit donc la main très fort et me murmura quelques mots à l'oreille:

Je t'aime et je t'aimerai toujours. Ne l'oublie jamais, je serai toujours la pour toi. On se voit bientôt promis. Peut-être viendrai-je te rendre visite dans ta nouvelle maison un jour... Je tien à toi ne l'oublie pas.

Et elle parti me laissant seule dans ma chambre. Mon père monta après avoir reconduit Rosalie à la porte pourbme dire que nous devions absolument partir si nous voulons avoir le temps de se rendre aujourd'hui. À partir de chez moi dans le vermont, c'est environ 6 heures de route... Lorsque je m'assis dans l'auto et que mon père démarra je fus très triste de laisse ma maison et mes souvenirs derrière moi. J'avais l'impression que d'une certaine façon je laissais ma mère derrière moi. J'avais fait mes adieux à tout le monde le jour d'avant puisque je savais que je ne pourrais pas partir sinon...

Nous roulâmes encore et encore. Au début personne ne parla, puis je m'endormos et lorsque finalement je me réveillai mon père prit enfin la parole, je sais que c'est difficile mais souviens toi que c'est unr aventure de vie. Nous sommes presques arrivés as-tu hâte?

Bien sur j'avais hâte mon père lui était déjà venu voir la maison pas moi. Lorsque noys arrivâmes devant le grand portail, je l'apperçu, immense! Mon père fit ouvrir le portail et alla se garer près de la porte, je descendis et entrai directement dans la maison. Mon père entra quelques minutes plus tard et me proposa une visite guidée.

Une Année Hors Du CommunOù les histoires vivent. Découvrez maintenant