Ma nouvelle vie à Beacon Hills [TEEN WOLF FANFICTION][Terminée]

CHAPITRE 20

* CONNECTION *

Arrivée chez Lydia, Mme Martin m'ouvre tout de suite et me serre dans ses bras.

Mme Martin: Elle est vraiment sous le choc, et elle est dopée aux médicaments, donc si tu arrives à en tirer quelque chose, je te félicite.

Moi: Je ferais tout mon possible.

Puis je pars vers sa chambre, je suis déjà venue donc c'est pas trop difficile de retrouver le chemin. Quand j'arrive dans sa chambre, je la trouve couché, je n'ai même pas besoin de savoir qu'elle a pris des médicaments, ça se voit à des kilomètres qu'elle est dans les vapes. Je m'approche d'elle doucement.

Moi: Hey Lydia, c'est moi Katy, comment tu te sens ?

Lydia: Qui est Katy ?

Moi: Ok c'est mal partie. Kat, une de tes deux meilleures amies, t'as oublié ?

Elle se redresse puis me regarde et là, elle fait quelque chose que je pensais impossible dans son état, elle me sourit et elle me tend ses bras. Par réflexe, je la prends dans mes bras.

Lydia: Je suis désolé, je suis dopée, j'ai du mal à distinguer les rêves de la réalité. J'ai eu si peur hier, jamais je n'ai eu aussi peur de toute ma vie.

Moi: Je suis là, ne t'inquiètes pas, tout va bien maintenant, plus rien ne va venir t'attaquer.

Je lui caresse les cheveux et j'entends qu'elle pleure. Alors je la serre plus fort dans mes bras. Et si c'était grâce au lien qui nous unie, qu'elle est redevenu lucide ? Si c'est ça, ça ne va pas durer éternellement.

Moi: Lyd, il faut que tu m'aides. Qu'est-ce qui vous a attaqué hier ?

Lydia: Une bête.

Moi: Un animal ? On parle de puma en cours.

Lydia: Le jour où je dirais que ce qui nous a attaqué c'était un puma, il faudra m'interner.

Moi: Pourquoi ça ?

Elle me regarde droit dans les yeux.

Lydia: Un puma n'a pas les yeux rouges.

Oh non, la chose qui les a attaqué et la même qui m'a attaqué dans la forêt.

Moi: Tu as vu autre chose, un signe particulier ?

Elle regarde dans le vide, son regard est sans réaction.

Moi: Lyd, tu m'entends ?

Lydia: Ses yeux, je les vois partout, partout, partout.

Elle dis ça en regardant autour d'elle tout en répétant la même chose. Et puis, elle se rallonge, et j'ai compris que c'était fini, je n'en tirerai plus rien.

Moi: Je crois qu'il est temps pour moi de partir. Je reviendrais te voir demain, je t'abandonne pas. On se débarrasse pas de moi comme ça. Je m'apprête à partir quand on toque à la porte. C'est Mme Martin, mais elle n'est pas seule derrière il y a quelqu'un.

Moi: Stiles ?

Mme Martin: Alors tu as réussi à la faire parler.

Moi: C'était incohérent ce qu'elle disait, le seul truc censé qu'elle a dit, c'est qu'elle avait eu la peu de sa vie.

Mme Martin: Au moins tu as essayé, merci.

Moi: Pas de soucis, je repasse demain.