Tic, tac, fait l'horloge au rythme régulier. Dans un lent mouvement de balancier, la queue du chat assis sur le plancher s'agite, doux métronome du temps qui passe, de la jeunesse qui s'effrite entre nos doigts, de la vie qui s'efface... Et de nos amours perdus, nos souffrances, notre ignorance nos hobbys superflus.
Plus rien n'existe. Seuls nos tracas, notre course aux plus gros bras, à un chez soi confortable, agréable, à une richesse palpable.
Mais si on s'était trompés? Si, depuis le début, on avançait sur le mauvais chemin?