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Pdv Izuku

Il me trimballe sur son épaule dans des couloirs assez vieux, je continue de serrer mon bentô contre moi, et je me rappelle soudainement à quel point je suis gros... Mes larmes montent, mais je les retiens.

-Il ne t'aime pas Izuchan, regarde son pantalon, il ne veut que te baiser, puis il va t'abandonner, te mentir, comme tout le monde ! Regarde, même Katchan ne t'aime pas, personne, même LUI ne t'aime pas. Tu crois qu'un héros comme Eraser Head peut t'aimer ? Il n'y a que moi pour t'aimer malgré ton corps immonde.

-A-Aisho ?

-Oui Izu ?

-Est... Est-ce que v-tu me trouves beau ?

Il me dépose à terre dans une pièce sombre, et m'encadre le visage de ses grandes mains. Il se penche vers moi et m'embrasse, sa langue danse contre la mienne, et nous échangeons nos souffles, nos salives, nos odeurs, tout.

-Tu es si beau Izu, tellement beau, si tu savais...

Quand il murmure ces mots, il plaque violemment son bassin contre le mien, et je sens sa virilité impatient contre ma hanche.

-Ne l'écoutes pas !

*ATTENTION LEMON*

Je ne l'écoute pas et me jette sur les lèvres de mon professeur, enroulant mes bras autour de son cou, et mes jambes autour de ses hanches fines. Un hoquet de surprise m'échappe quand ses mains agrippent fermement mes fesses et me pressent plus encore contre lui. Je hume son odeur, corsée, poivrée, une touche de whisky, je frissonne et commence doucement à bander. La lumière s'allume soudainement, m'aveuglant. Quand je rouvre les yeux, la flamme de désir dans les yeux d'Aisho me rend fébrile, je balance lentement mes hanches contre les miennes.

-Izuku...

Ce murmure précède un baiser enflammé, tandis qu'il me lèche pour effleura mes tétons durcis du bout des doigts. Je soupire dans sa bouche, laissant mon corps éprouver ces sensations si délicieuses. Sa bouche lâche la mienne et je reprends mon souffle alors qu'impatiemment, il déboutonne ma chemise, laissant entrevoir mon torse parcourut de plaies, mais, avec une douceur qui m'impatiente, il aspire un de mes tétons rosés entre ses lèvres. Un cri de plaisir s'échappe de ma bouche quand il le mordille, je ne peux plus me retenir. Mes gémissements emplissent la pièce alors que l'une de ses grandes mains descend pour caresser mes abdominaux, tout en effleurant au passage, quelques plaies, me faisant sursauter. Sa bouche s'affaire sur mon bouton de chair, sa langue titillant la pointe rosée, mon sexe tressaute dans mon pantalon, je donne des coups de reins tant le plaisir m'emplit.

-Tu es si beau, chuchote-t-il contre ma peau, humide de ses baisers, tellement beau...

Il descend plus bas et sa langue chatouille mon nombril, me faisant pousser un cri de pur plaisir.

-A-AISHO !

Un filet de salive coule le long de mon menton, je tremble de plaisir, et avec lenteur, il embrasse mon bas-ventre, y laissant au passage un suçon, je rougit quand il fait mine de baisser mon pantalon. Je me retrouve en boxer, face à lui toujours habillé, il commence à caresser mes jambes, puis mes fesses, je sens son doigts presser contre mon entrée à travers mon caleçon.

-Tu es parfait Izu, si bandant, regarde-toi...

Sa langue se promène sur ses lèvres, un frisson me parcourt. Chaleur. Oui mon sang est si chaud, je ferme les yeux et soupire de plaisir, un sourire ourle mes lèvres. Je me jette sur lui et l'embrasse, nous roulons sur le sol, je finis par le chevaucher, sa bosse pressant conte mon cul. Je déglutis quand un rire joyeux franchit ses lèvres. Ses lèvres dont j'ai tellement envie, que j'embrasse. Mes mains soulèvent son sweat, déroulent les bandes de tissus qui recouvrent sa gorge, mes doigts parcourent sans gêne la soie de sa peau, mes lèvres embrassant sa mâchoire, le chaume de sa barbe naissante, rêche contre la peau imberbe de mon visage. J'ondule du bassin tant son odeur m'excite, mes fesses butant contre son sexe, mes mains s'appuyant contre son torse musclé. Mais quand enfin je reprends contenance,
(Auteur : nan Izu, tu baves et en plus tu ressembles à une tomate *v*.
Izu : mais euh ! Ta gueule et écris !
Auteur : OK OK... Izuke *w*
Izu : salope...
Auteur : mais oui mais oui ), je me glace d'effroi. Des cicatrices, partout, comme les miennes, elles parcourent son torse puissant. Les larmes me montent aux yeux et je recouvre ma bouche de mes mains. Il se redresse et m'enlace, me berçant contre son torse, embrassant mes joues trempées de larmes.

Quand l'amour transcende les âgesOù les histoires vivent. Découvrez maintenant