chapitre 29

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- Pourquoi tu persistes avec ça ?
- Je t'ai aimer durant 7 ans, tu crois que c'est facile à oublier ?
- Bon, on arrête de parler de ça, sinon je suis sur qu'on va s'entretuer.
- Sage décision.
- Du coup, tu vas devoir rester avec moi, c'est bien ça ?
- Je n'ai plus le choix.
- Je peux rester seule aussi.
- Julie m'a demander de rester avec toi, et je lui ai promis.
- Bon, alors qu'est ce que l'ont fait ?
- Tu veux faire quoi ?
- Oh ! Faire les magasins !
- Vas-y, je t'en pris.

Elle sort de la maison, puis je referme la porte.
Cette semaine j'allais devoir « obéir » à ce qu'elle veut faire.
J'espère que ça va passer vite.
Je fais simplement ça pour Julie, pas pour mon propre plaisirs, je pense que je ne serais pas là je pense.

Nous étions arrivés au boutiques de vêtements.
Elle se baladait un peu partout, moi j'étais sur mon téléphone.
Julie ne m'a toujours pas écrit, bizarre.

- Tu viens ?

Je relève la tête, Allison souriait de toutes ces dents, elle a l'air heureuse de faire les boutiques.

- J'arrive.

Elle rentra dans une parfumerie et s'amusait à les sentir, comme quand ont étaient petits.
Elle adorait sentir tout les parfums pour savoir lesquels étaient le meilleur.

- Sulivan ?
- Oui ?
- Tu peux me donner ton avis ?

Je m'approches d'elle, elle me fait sentir le parfum.

- J'aime beaucoup.
- Tous les hommes en raffolent.

Je relève la tête, c'est une dame qui travaille dans le magasin qui a parlé.

- Comment ça ? Répondit Allison.
- Depuis sa sortit, ce parfum plaît à tout les hommes. Votre petite amie devrait l'acheter si vous l'aimez bien aussi ! Dit elle en faisant un clin d'œil.

Je voulais réagir en disant que ce n'était pas ma petite amie.
Mais elle avait l'air si sûr d'elle que je n'ai rien dis.

- Oui ça peut être une bonne idée. Répondit-Je.

Allison se retourne surprise.

- Tu le veux ?
- Hm.. oui !

Allison comprit ce que j'essayais de faire.

- Très bien ! Venez !
- Je vais attendre dehors, au revoir !
- Au revoir !

Je m'apprête à sortir lorsque j'entendis la femme dire à Allison.

- Votre petit ami est très gentil de vous accompagnez.

Je sortis du magasin me posait sur un banc qu'il y avait dans un coin.
Je pose mes mains sur mon visage puis les passent dans mes cheveux.
Ça me fait bizarre que cette femme ai pu croire que Allison était ma petite amie.
C'est peut-être rien, j'en fais sûrement des tonnes, mais je sais pas, cette sensation est étrange.

Amour d'enfance Où les histoires vivent. Découvrez maintenant