Le Prince des Voleurs - Newtmas [TERMINÉ]

11- Confrontation

Y'a qqun ( jsplu qui si tu te reconnais ) qui m'a demandé si c'était normal qu'il y ait plus de PDV Newt

Oui oui c'est normal mmdr, l'histoire est basée sur son PDV normalement, mais j'aime varier alors il y'a celui de Thomas souvent, il y aura peut être même un PDV Gally ou Minho à un moment ( je sais pas encore mmdrr ) bref bonne lecture '

-PDV NEWT-

"Tommy réveille toi " m'exclamais-je en essayant de le réveiller.

Il râle et se retourne dans l'autre sens pour éviter de devoir sortir du lit.

"Un larve le truc c'est pas croyable." râlais-je en essayant de nouveau de le réveiller.

Je tire d'un coup sec sur les couvertures dans lesquelles il était emmitouflé, il grogne un peu mais ne se réveille pas. Il a le sommeil lourd c'est incroyable, aussi lourd que l'humour à Minho.

Le voir ainsi me fait un peu de peine, peut être qu'il est fatigué, je vais le laisser dormir encore un peu. Je retourne chercher la couverture et essaye de la repositionner au dessus de lui mais il en profite pour me prendre le bras et me faire basculer dans le lit.

"Bonjour Newt, dit-il en riant.
-Sale fourbe, dire que je voulais te laisser dormir.
-Trop mignon, il sourit, tu sais que tu baves un peu quand tu dors ?
-Sérieux ? demandais-je en regardant mon oreiller.
-Oui, et tu dors en boule comme un enfant.
-Tu m'as regardé dormir en fait, constatais-je.
-Tu dormais dans mon cou en même temps."

Je rougis et il rigole en m'ébouriffant les cheveux.

"T'es adorable."

Puis il se lève et remet sa chemise pendant que j'essaye de calmer les battements de mon coeur.

"Nous devrions nous dépêcher de rentrer, commence Thomas, tout le monde doit s'inquiéter au palais.
-Je suis désolé de t'avoir entraîné là dedans.
-Tu n'y es pour rien, c'est moi qui ai insisté pour venir."

Il finit de boutonner sa chemise et je me lève pour remettre ma cape. Il fait de même et me tend la main.

"Euh, le, les gens vont encore s'imaginer qu'on-, bégayais-je.
-Et alors ?"

Je ne dis rien et me contente de prendre sa mains sans oublier de passer de blanc comme un cachet à rouge comme une tomate.

Nous sortons de l'auberge en saluant ses propriétaires qui ne nous répondent même pas. Le brun à côté de moi lève les yeux au ciel et me tire plus loin.

"Maintenant qu'il fait jour on pourra mieux s'y retrouver.
-Mais c'est aussi plus risqué, on pourra te reconnaître.
-On serra prudent." dit-il en souriant.

Nous déambulons dans les rues et ruelles sans vraiment savoir où nous allons. Au bout d'une petite heure je reconnais une enseigne et commence à me repérer.

"Je reconnais cette rue ! m'exclamais-je.
-Tu saurais retrouver l'endroit où nous avons laissé Javen ? me demande-t-il, un éclaire d'espoirs passant dans ses yeux.
-Oui, suis moi."