- Mais enfin, libérez moi !
- Vous avez voulu agressé cette fille et c'est impardonnable.
Je n'arrive pas à croire que ce connard veule se faire libéré après que je l'ai trouvé en train d'ouvrir sa porte avec Hinata assommée dans ses horribles bras. Je n'ai jamais ressenti une telle rage. Ce sentiment si fort, je ne l'ai jamais ressenti. Hinata est à moi. Elle est à moi toute seul. Je n'ai jamais été possesseur avec quoi que ce soit. Je le suis avec Kazumi, mais je n'ai jamais été comme ça avec une femme. Même avec Sakura.
- Chef, me dit Shikamaru, ce qui le fait revenir à la réalité. Il y'a une dame qui souhaite vous parler.
- C'est pour une intervention ? Elle a une plainte à faire ?
- Non. Elle dit qu'elle est votre mère et qu'elle doit vraiment vous parler.
- M... Ma mère !!?
- Tu as tellement grandi Naruto.
Je ne rêvais pas. C'était vraiment elle. Ma mère... Celle qui a laissée mon père me virer de la maison. Celle qui m'avait prévenu sur Sakura. Celle qui m'a toujours aimé malgré mes crises d'adolescence, malgré mes coups et mes insultes. Je tremble de peur.
- M-maman, dis-je. C'est vraiment toi ?
- Oui. Ton père ne sait pas que je suis ici.
Je n'ai plus été dans un tel état depuis très longtemps. Elle a envie de pleurer et moi aussi.
- Comment m'as-tu retrouvé maman ?
- C'est une longue histoire. Ton père serait si content de te voir. Même si il ne veut pas reconnaître que tu lui manque.
Ma mère était toujours aussi belle. Elle avait les cheveux étrangement rouge sang et d'une longueur incroyable. Elle avait vieillie, beaucoup même. Mais elle était toujours aussi belle. Cela me fait peur de la revoir.
- Alors, avec Sakura...
- Nous avons rompu, elle a un nouveau petit ami et nous avons une fille.
- Une petite fille !! Mon Dieu, en dehors du mariage...
- Sakura ne voulait pas s'engager. Maintenant j'ai l'impression qu'elle s'est juste servie de moi pour avoir une nouvelle vie alors que moi je n'étais rien.
- J'ai toujours détesté cette fille. Elle était étrange mais tu étais amoureux d'elle.
Oui c'est vrai, j'étais vraiment amoureux de Sakura au point de me rebeller, de vouloir vivre comme un grand. J'ai souffert pour Sakura. Elle qui était la Pétasse de la ville, la fille qui avait été abandonné pour avoir avorté à 17 ans. Je l'ai aimé malgré les interdits de mes parents. Sakura me donnait le sentiment d'être enfin un homme. À 17 ans, j'étais ridiculiser par les autres et personne ne voulait de moi. J'étais mal dans ma peau et je ne trouvait aucun réconfort. Je n'arrivais pas à le dire à mes parents. Sakura était drôle, amusante et elle était toujours là pour moi. Quand j'ai goûté au plaisir du sexe avec elle, je me suis enflammé. J'étais devenu fou d'elle.
- Naruto, tu m'écoute ?
- Oui maman. Désolé j'étais perdu dans mes pensées. Je suis vraiment surpris et je ne sais pas trop quoi dire.
- Écoute Naruto, je suis vraiment désolé de la façon dont on a agit avec ton père. Pendant 10 ans, nous avons été trop fière pour venir voir notre fils.
- Maman...
- Désolé pour le dérangement Naruto, mais y'a quelqu'un d'autre pour toi.
- Sasuke, au travail c'est chef ! Qui s'est encore ? J'ai...
- Monsieur Uzumaki...
J'ouvre grand les yeux. Hinata. C'est elle. Elle est belle, encore plus que d'habitude. Elle porte un Jean bleu et un pull violet très large.
- Hinata ? Que fais-tu ici ?
- Je dois vous p-parler.
Ma mère me regarde avec un léger sourire. Elle se lève alors de sa chaise.
- Tu as du boulot mon fils, je te laisse.
- Attend maman, je...
- Je vais revenir ne t'inquiète pas.
Elle se dirige vers la sortie et s'en va. Hinata a la tête baissée et elle rougie.
- Alors que-
- Désolé ! Désolé de vous avoir dérangé ! J'aurais dû être vigilante et prudente ! Je suis désolé, vraiment !
- Tant d'excuse pour si peux. C'est mon travail Hinata. Je ne pouvais pas le laisser te...
- Merci vraiment beaucoup monsieur Naruto. Mon père est furieux mais il vous remercie. Il veut que Toneri Otsutsuki pourrisse en prison.
- J'y veillerai.
Elle me sourit. Elle est si belle mais si inaccessible. La fille d'un riche beaucoup trop jeune pour moi. Je ne peux pas me permettre de rêver d'une histoire avec elle. Elle est trop jeune. Elle ne pourra jamais me voir comme un homme mais plutôt comme un grande frère. Je regarde ses lèvres. J'aimerai y goûter. Non !! Je dois arrêter.
- Il y'a un problème monsieur ?
- Non Hinata. Tu ne vas pas au lycée ? Pourquoi tu n'es pas resté de reposer ?
- Je voulais vous remercier.
Elle sort une boîte dans son sac. Je l'ouvre et j'y trouve une écharpe rouge et un pull orange. C'est vraiment mignon.
- J'ai fait l'écharpe moi même. Le pull j'ai dû le faire comme ça, je ne connais pas vos mesures.
- Merci ! L'hiver approche aussi. Je l'adore !
Elle sourie de toute ses dents. Ce sourire est magnifique. Elle est si belle. Je plante mon regarde dans ses yeux. Elle détourne le regard tellement gênée.
- Je vais y aller, dit-elle.
- Hinata. Si je te disais que tu me plais, tu dirais oui à un rendez-vous ?
- Je.. J...
Elle ne savait pas quoi dire. Qu'est-ce qui m'a pris de dire ça !? Merde !! Elle est confuse.
- Oublie ce que j'ai dis.
- Je voudrais bien mais... Mais... JE NE SAIS PAS !!
Elle s'enfuit en courant de mon bureau. Elle était toute rouge. Merde elle va sûrement penser que je suis un pédophile. Quel idiot je suis ! Attendez ! Elle a dit qu'elle voudrait bien ! Non, elle ne voulait peut-être pas que je me vexe. Je me frappe la tête contre mon bureau.
- Chef, il y'a un problème ?
- Non Kiba.
- On a encore du boulot.
- J'arrive...
- COMMENT C'EST ARRIVÉ SAKURA !?
- Ne cris pas ! Je suis surprise Naruto. Je suis inquiète !
- COMMENT JE NE PEUX PAS CRIER !? KAZUMI ÉTAIT SOUS TA SURVEILLANCE ET J'APPRENDS QU'ELLE EST À L'HÔPITAL ET QU'ELLE A TOUT SES MACHINS SUR ELLE !
Comment peut-elle être aussi calme. Le docteur arrive près de nous.
- Elle va bien ? Je demande.
- Oui. Kazumi a juste besoin de plus d'oxygène. Elle est très petite et cela me surprend un peu. Elle est sous masque à oxygène donc ça ira.
- Qu'a Kazumi ? Dit Sakura.
- Elle est asthmatique.
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La délinquante
FanfictionElle savait qu'elle n'aurait jamais dû les écouter pour cette affaire de vengeance. Résultat, elle était assise là, dans ce commissariat, devant ce sublime agent qui attend des explications de son acte de vandalise du soir. Elle qui était la bonne f...