La délinquante

01

- Voilà je dernier dossier chef.

- Merci Shikamaru.

Les gens déposent des requêtes vraiment stupide de nos jours. J'en peux plus de plainte de vol de chats ou encore des disputes entre voisins. Merde c'est fatiguant. Je sens que je vais vraiment passé une sale soirée avant de retourner chez moi.

Être le chef du seul commissariat convenable de la ville de Konoha c'est pénible. Pourquoi ? Les gens de nos jours ont des problèmes vraiment stupides. La patrouille de nuit n'a plus rien à ce mettre sous la dent et la vie est vraiment fade ici. J'ai à peine 27 ans et je me sens déjà vieux dans ma tête. Je regarde mon ordinateur. Tout ses dossiers me font mal à la tête. Je m'ennuie. Je vois mon téléphone sonné.

- Allô, commissariat de police j'écoute.

- Naruto !!

- Et merde... Quoi Sakura ?

- Je te rappelle que nous avons un enfant ensemble et t...

Blablabla. Je n'en peux plus d'elle. Père avait tellement raison merde. J'étais tellement pressé d'être avec Sakura que je n'ai pas fait attention à notre relation. Je ne l'aime plus, elle ne m'aime plus. Elle a un mec, je suis célibataire. On pouvait même continuer à être ami mais il a fallu qu'elle tombe enceinte et que je sois maintenant responsable d'un enfant de 3 ans. Une jolie petite fille gentille et sympathique qui m'appelle par mon prénom Naruto. Bon elle dit Nanuo mais c'est mimi.

Alors que je m'apprêtait à raccrocher au nez à Sakura, je vois Shikamaru entrer avec brutalité dans mon bureau. Je ne l'ai jamais vu aussi actif sauf quand je l'ai choppé dans les toilettes en train de s'envoyer en l'air avec Temari no Sabaku, une des stagiaires.

- Chef, vous devez venir voir ça.

- Quoi ?

- Je préfère vous laisser deviner. Vous allez rire.

    Oui c'est vrai, je vais rire. Mais un rire jaune et sinistre. Un acte de vandalise très stupide et cliché. Une maison, mignonne et jolie. Des tonnes de paquet de PQ. Trois filles, une blonde et deux brunes. Je vous laisse deviné la suite.

- Je vais vous coller des zéro jusqu'à la fin de votre vie !!! Cria un homme que je crois être leur professeur.

Je ne sais pas où donner de la tête ni comment gérer toute cette merde. Que dire franchement ? Je ne comprends pas pourquoi elles ont fait ça.

- VOUS N'ÊTES QU'UN SAL PORC QUI PROFITE DE SES DROITS D'ÊTRE PROFESSEUR POU...

La blonde qui parlait se fait stopper par une autre. Une brune aux long cheveux. Elle est mignonne dite donc... Je me gifle mentalement.

- Bien, silence ! Dis-je.

Les trois filles se retournent vers moi suivi de leur professeur. Mes deux collègues se retiennent de rire.

- Que se passe-t-il ici ? Dis-je.

- C'est elle ! Je dormais tranquillement chez moi quand j'ai entendu une vitre du salon se briser. J'ai crûs que c'était un voleur et quand je suis sortir, je les ai trouvé là en train de vandaliser ma maison avec des papiers toilettes !!

- Vous avez à dire quoi pour votre défense ? Dis-je aux filles.

- C'est juste qu'il l'a bien cherché ! Dit la blonde.

- Mais c'est interdit de faire ce genre de chose à minuit en plus.

- Je vous en supplie monsieur l'agent, ne dites rien à mon père, me supplie la brune aux longs cheveux.