- Un cadeau ?
- Oui papa, c'est très important !
Depuis la semaine dernière, je n'avais pas abandonnée mon idée de donner comme cadeau de Noël à Naruto ses parents.
- Hinata, j'ai dis d'attendre 5 ans. Tu es beaucoup trop impliquée par lui.
- Papa c'est vraiment important cette fois. Je tiens vraiment à le lui offrir. Ce n'est pas une question d'amour mais de famille.
Je lui raconta l'histoire de Naruto. Il n'avait pas changé d'avis, il ne voulait toujours pas m'impliquer dans le passé de Naruto. Selon lui, ça ne me regarde pas.
J'avais donc décidé d'agir moi même. Le soir même, j'ai proposé à Kô de l'accompagner acheter de l'essence pour la limousine. Il a trouvé ça bizarre au début. Papa ne voulait pas que je sorte car la mort de Neji et maman l'affectait toujours autant. Mais Kô lui avait dit que je ne craignait rien.
Arrivé à la station que j'ai fraîchement choisi, je laisse Kô discuter avec les hommes du service et je descend faire un tour dans la petite boutique de la station. C'est là que je croisa des yeux d'un bleu profond, comme celui de Naruto. C'était une femme assez âgée mais d'une beauté toujours présente.
- Suis-je si moche que ça, dit-elle.
- Oh, n... Non.
Maintenant que je me souviens, je crois l'avoir déjà croisé une fois dans le bureau de Naruto. Oui, ils discutaient ensemble. Je dois sûrement me tromper.
- Bonsoir, dis-je toute timide.
- Vous êtes la jeune fille qui vie une histoire d'amour avec un homme plus âgé de 10 ans.
Visiblement, c'est la grande nouvelle ici à Konoha. Depuis le début, notre histoire sonne de partout. Cela me fatigue de plus en plus.
- Oui, dis-je.
Soudain son regard se fit plus triste. Elle voulait pleurer, c'est clair. Je n'ai plus aucun doute. Cette femme est la mère de Naruto.
- Il y'a un problème, dis-je.
- Non, rien de bien grave, ne t'inquiète pas jeune fille.
- Kushina, j'ai fini.
Nous nous retournons vers l'homme de la dernière fois. Le père de Naruto. Ils portaient un manteau tout comme moi. Avec la neige qu'il y avait à l'extérieur c'est normal.
- Vous, dit-il.
- Bonsoir. Je suis venu vous chercher. Naruto se sent tellement seul sans vous !
- Naruto nous déteste, dit-il.
- Chérie, je ne veux plus être loin de mon fils. Je ne te l'ai pas dit, mais je suis allée le voir une fois. Naruto a peur de toi. Il a peur que tu le refuse. Que tu le déteste.
Je les regardais sans rien dire. Ils sont tristes sans leur fils et c'est triste. Je dois les réunir. C'est mon devoir.
Tout ce passait pour le mieux à l'école. Même si certains me regardaient toujours de travers, ne continuait mes études. Les examens allaient commencer plus en avance à cause des certains trouble qui arrivent dans le pays ses derniers jours. Je devrais donc finir et avoir mon bac en avril ou mai ( C'est juste dans le sens de l'histoire. Je ne sais même pas quand se font les examens et tout pour le bac)
- Un nouveau chef de police ?
- Oui. Tu sais que mon père est le maire. Il m'a dit qu'à cause de cette histoire de pédophile, le chef de police Naruto Uzumaki allait être muté dans la ville voisine.
Alors que je marchait dans les couloirs j'entendis la conversation de Shion la fille du maire et une fille de ma classe.
Naruto, muté ? C'est horrible ! J'ai pas envie qu'il parte. Déjà que je ne le lui ai même pas dit que mes études universitaires sont programmés pour le Canada, je ne sais plus quoi faire avec cette histoire de mutation.
On va devoir encore ce quitter ? Non.
Hinata, pense d'abord à son cadeau.
Après notre dîné avec Naruto, j'ai passée la nuit à organiser cette journée avec l'aide des parents de Naruto et de papa. Là-bas, je compte lui dire pour le Canada, pour ses parents.
Le lendemain matin, je me réveilla de bonne humeur. Je fis rapidement ma toilette avant de m'habiller et de descendre manger.
Je suis toute contente de pouvoir passer un peu de temps avec Naruto.
À l'école, tout ce passe plutôt bien. La journée se termine rapidement et je vois devant la grille de l'école, Naruto.
- Me voilà, dit-il avec un sourire.
- On y va.
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La délinquante
أدب الهواةElle savait qu'elle n'aurait jamais dû les écouter pour cette affaire de vengeance. Résultat, elle était assise là, dans ce commissariat, devant ce sublime agent qui attend des explications de son acte de vandalise du soir. Elle qui était la bonne f...