Olivia Salvatore

CHAPITRE 14

Je me réveille dans le lit de Klaus, avec Klaus. Je fais rapidement ma routine du matin et je vais à la matinée nettoyage au lycée.

Arrivée au lycée j'appelle Caroline.

Conversation téléphonique :

Moi : Comment ça tu zappe la matinée nettoyage ?

Caroline : Je suis dans le lit de Tyler si ça t'intéresse.

Moi : Ouais bon. J'veux pas en savoir plus j'te laisse j'ai beaucoup a faire.

Caroline : Bye

Fin conversation téléphonique.

Soudain j'entends du bruit derrière moi, je me retourne mais il n'y a personne.

Moi : Y'a quelqu'un ?

J'avance jusqu'au gymnase où je vois Rebekah.

Moi : Salut.

Rebekah : Salut.

Je cours la prendre dans mes bras.

Moi : Je suis désolée que tu n'ai pas pu venir profiter de la soirée que tu as organiser.

Rebekah : Et en plus on se retrouve seules pour le nettoyage !

Moi : Et oui !

Rebekah : Et moi je suis désolée pour le prof, il avait l'air sympa.

Moi : Je le considérait comme mon père.

Rebekah part chercher quelque chose, moi je commence à débarrassé. Soudain, j'entends du bruit.

Je vois Ric en train d'essayer de tuer Rebekah avec un pieu. Je le repousse et je le plaque contre le casier.
Rebekah m'aide et lui plante le pieu en chêne blanc en plein coeur, mais il ne meurs pas.
Je cours à vitesse vampirique jusqu'a ma voiture.

J'essaye de l'ouvrir mais Ric arrive par derrière et il me brise la nuque.

Quand je me réveille je suis attaché dans une salle de classe, Ric est au téléphone.
Il m'a mit un foulard imbibé de veine de Venus dans la bouche et il m'a planter des crayons dans les mains. Les larmes coulent sur mes joues.

Quelques minutes plus tard :

Ric : Pile à l'heure...

Elena : Olivia, laisse la partir Alaric.

Ric : Vas y fait toi plaisir.

Elena se dirige vers moi. Elle m'enleve doucement le crayon de ma main mais Alaric prend la main d'Elena et tire violemment le crayon. J'hurle de douleur.

Elena : Tu m'as dit que je pouvais la libéré !

Ric : Combien de fois il va falloir que je te le répète ? Tu ne dois jamais faire confiance à un vampire !

Alaric appelle Stefan et il lui dit qu'il me détient, moi, et Elena.

Alaric m'enlève le foulard et il le retrempe dans la veine de Venus.

Moi : Ric, arrête s'il te plaît.

Elena se lève.

Elena : Arrête Ric.

Alaric pousse Elena afin qu'elle se rassoie.

Ric : Reste assise.

Il replace le foulard sur ma bouche.

Ric : Grâce à ça la veine de Venus va rester dans son organisme.

Elena : Pourquoi tu fais ça ?

Ric : Pour qu'après ce soit plus facile pour toi d'abréger ses souffrances.

Elena : Quoi ?!? Non !

Ric : Ce n'est pas ce que tu voulais ? Que je t'apprenne à tuer un vampire ? Et bah le voici ton vampire !

Il tend le pieu à Elena.

Ric : Tue la !

Elena : C'est pas c'que j'veux !

Ric : Bien sûr que si ! T'as passer des heures à t'entraîner ! A devenir plus forte, tu pourrais être une chasseuse Elena. Mais t'as encore jamais tuer un de ces monstres en lui enfonçant un pieu dans le coeur.

Elena ne prend pas le pieu, Alaric fait les cent pas dans la pièce.

Elena : Pourquoi est ce que tu fais ça ?

Ric : Parce que tu as besoin de moi. Tu as 18 ans, tu n'as plus tes parents ni personne pour te conseiller et tu as perdu toute notion du bien et du mal !

Elena : Et toi tu t'es vu ? C'est bien de la torturer ?

Ric : C'est une meurtrière !
Écoute moi Elena, tes deux parents étaient à la tête du conseil, ils s'étaient donner pour mission d'assurer la sécurité de la ville. Tu as anéanti leur travail même pas 6 mois après leur mort.

Elena : Tu ne sais rien du tout de mes parents !

Ric : Tu crois que je me trompe ? Tu crois sincèrement, qu'ils seraient fier de toi ?
Owh... Si tu ne te range pas du côté des humains, tu ne vaut pas mieux que les vampires.
Maintenant tue la !

Il tend le pieu à Elena.

Ric : Ou c'est moi qui le fait à ta place et je peux t'assurer qu'elle va souffrir ! Debout ! Il tire Elena par le bras et il l'a met devant moi. Puis il lui met le pieu dans sa main, Elena me regarde puis se retourne et essaye de planter le pieu dans le coeur d'Alaric.
Je croyais avoir été un meilleur prof que ça.

Elena : Tu l'as été.

Elle lui éclate le verre de Venus sur la tête. Puis elle enleve les crayons et le foulard.

Elena : Vas chercher de l'aide !

Je cours le plus vite possible dans les couloirs lorsque quelqu'un met une main sur ma bouche. Je me débat puis je reconnais son odeur.

Klaus : Chut... Tout va bien, tout va bien c'est moi. Tu n'as rien à craindre, plus rien, maintenant.

Il enleve délicatement sa main de ma bouche et il me caresse les cheveux.

Klaus : On va libéré Elena, rentre directement et ne sors pas, est ce que c'est clair ?

Il me place devant lui.

Klaus : Est ce que c'est clair ?

J'hoche doucement la tête.

Moi : Merci...

Je l'embrasse et il pars.
Je cours à vitesse vampirique chez les Salvatore. Les Mikaelson habitent trop loin du lycée, c'est plus prudent d'aller chez mes frères.

Quelques heures plus tard :

Je dessine dans ma chambre depuis ce matin, depuis que Klaus m'a sauvé. Une chose est sûre : Je l'aime et je ne pourrais jamais vivre sans lui.