Olivia Salvatore

CHAPITRE 27

Freya, Vincent et Davina sont dans la bibliothèque à chercher un moyen de me laisser en vie ou de me laisser seule dans le monde parallèle.
Rebekah lit des livres de sciences occultes à propos des monde parallèle engendré par une mort et une énorme puissance psychique.
Stefan, Damon, Bonnie, Caroline et Enzo sont en route pour la Nouvelle Orléans.
Moi ? Je suis dans un lit en train de lutter pour rester en vie. La moitié de mon corps est grise et est recouverte de veine.

Klaus : Il faut que tu reste en vie.

Moi : C'est trop dur Klaus...

Je ferme les yeux et sens les veines  s'agrandir jusqu'à ma poitrine. Mon énergie me quitte, ma fin est proche, très proche, trop proche.

Klaus : Livia ! Ouvre les yeux ! Olivia !

Sa voix semble lointaine.

J'ouvre subitement les yeux.

Moi : Il faut que je me batte !

Freya entre en trombe dans la chambre suivi de Vincent et de Kai. Euh ?! Kai !?

Moi : Kai !?! Je me tourne vers Freya. Qu'est ce qu'il fait là ?!?

Freya : Il va siphonner la magie qui est en toi.

Moi : Il ne peut pas ! C'est ce qu'il vous fait croire ! Il siphonne l'énergie vitale des êtres Surnaturels en plus de la magie ! Ça va me tuer !

Kai : Moi qui croyais que j'allais réussir à te tuer.

Il lève un bras vers moi.
Avec le peu de force qu'il me reste je jette un sort.

Moi : Motus !

Il se tord de douleur, Rebekah arrive par derrière et elle lui arrache le coeur. Son corps tombe au sol et soudain tout disparaît et il ne reste plus que Klaus à côté de moi.

Klaus : Livia !!!

Dans cette ville, on ne peut même pas mourir sans hallucination, c'est une blague.

Klaus : Ça va ?

Moi : Mis à part le fait que je sois mourante, oui..

Klaus : Qui est Kai ?

Moi : Quelqu'un qui étais avec Bonnie et moi dans le monde prison.

Klaus : Et ?

Moi : Il avait volé mes chips au bacon...

Je rigole légèrement avant de tousser.

Vincent entre dans la chambre.

Vincent : J'ai trouvé un moyen de te permettre de vivre 24 heures de plus. Le sort est douloureux mais Klaus peut entrer dans ta tête pour ne pas que tu souffres.

Klaus hoche la tête et Freya accompagnée de Davina entrent dans la pièce avec un couteau, des plantes et un bol.

Klaus prend ma main.

Klaus : Ferme les yeux et détend toi.

Je m'exécute.

Nous nous retrouvons au lycée, dans la classe de Ric.

Moi : Notre première rencontre... J'ignorais que c'était toi...

Klaus : Tu avais peur de moi ce jour là. Je ne veux plus que ça arrive.

Soudain, je revois la scène avec Alaric.

Moi : J'avais raison...

Klaus : À propos de quoi ?

Moi : Tu jubilais... J'avais une peur bleue de toi et toi tu jubilais. Je me confiait à toi sans le savoir.

Klaus sourit.

Moi : Tu aimais savoir que les gens avait peur de toi... Tu aimais le fait que j'avais peur de toi.

Son sourire s'élargit.

Klaus : Si tu aurais su que c'était moi dans le corps d'Alaric, tu aurais fait quoi ?

Moi : J'aurais fuit. J'aurais été prévenir mon frère et Elena pour pouvoir élaborer un plan pour te tuer.

Klaus : Mais je ne veux plus que tu ai peur de moi.

Moi : Je n'ai plus peur de toi.

Il pose une main sur ma joue.
Je ressens une immense douleur.

Moi : Qu'est ce qui... se passe.

Klaus : Ils lancent le sort. Détend toi.

Soudain, nous nous retrouvons dans le couloir. Je revois la scène où j'ai su que c'était Klaus et non Ric.

Moi : Tu étais vraiment obligé de me briser la nuque ce jour là ?

Klaus : Non. Mais c'était drôle.

Moi : Pfff...

Klaus : Ne fais pas la tête mon ange, tu avais gagné 3 mois avec moi.

Moi : Sauf que j'avais une peur bleue de toi. Et toi tu jubilais ! Avoues le !

Klaus : Je l'avoue. C'était drôle.

J'essaie d'être en colère mais je finit par exploser de rire et je prend Klaus dans mes bras.

Moi : Tu vas me manquer...

Klaus : Toi aussi tu vas me manquer ma douce.

Moi : Je vais faire quoi pendant 5 ans ?

Klaus : Aucune idée. Mais si Freya trouve un sort peut être que ce sera comme un sommeil. Tu t'endormiras et tu te réveilleras.

Moi : J'espère.

La douleur s'intensifie. C'est comme si on me brûlait vive.

Klaus : Encore un peu et ce sera finit.

Je suis incapable de prononcer un seul mot. Je tombe au sol. Klaus me rattrape.

Klaus : Ça va allez...

Je n'entend plus rien, je vois flou. Puis je vois noir et plus rien...