Coucou désolé pour se chapitre long.
******************************
Samedi matin ma coloc Esther me réveille en rentrant dans mon antre à pas de loup et ensuite cette enfant saute sur mon lit. Pourquoi j’ai accepté de sortir samedi, merde, de merde de remède. Je sais mon patois est merde mais je ne peux pas m’empêcher de le répéter, surtout quand je suis dans la merde.
– Voici ton café ma belle, j’ai préparé une journée typiquement girly. Ça va être la première fois depuis ta rupture avec Ducon, que tu vas sortir accompagner d’un mec. Tu dois être irrésistible, je vais m’occuper de toi.
Comme seule réponse, je lui fis un souris faux. Comme si je pouvais être enchanté par la soirée ! Non mais, quelle hypocrite j’étais.
Je stressais littéralement de l’intérieur, Darren était si content par la réunion de ses deux êtres préférés. Je ne voulais pas gâcher ça.
Je devais me retenir pour ne pas prendre mes clés et partir loin de ces embrouilles.
Le soir venu, j’étais grimée de la tête au pied ; je portais une jolie camisole en dentelle blanche, accompagner d’un jeans pâle et des bottes grises à talons hauts arrivant au-dessus des genoux ; mes cheveux châtains étaient lousses et raidis par le fer ; finalement j’avais déposé un rouge lèvre rose antique et un mascara qui amplifiait mes yeux couleur océan.
Je me dirige vers le salon enfin prête pour retrouvée Esther accompagner par Darren, que j’avais attendue arrivé, il y a quelque minute de cela.
Sans surprise mon charmeur me dore de compliment et je lui dépose un doux baiser sur ses lèvres, remplit de remords cachés et je lui indique que nous pouvons y aller.
En voyant la Mercury custom j’eus un temps arrêt, je me retourne vers Darren pour l’interroger.
Il rigole à mon visage embêté.
- Tu n’aimes pas la voiture ? me demande-t-il
– Ludovic a insisté pour que je la conduise, il avait peur que vous vous décoiffiez avec les motos, oh se gentleman ! finit-il en se marrant.
Je ricane à ce propos, pour cacher mon cœur qui fondait à cette initiative.
Alors nous embarquions dans la bonne humeur, exciter par ce beau véhicule. Toutefois la tête à Darren clochait dans équation, il avait les sourcils froncés.
Embêté par ce froncement, je le questionne sur son état, inquiète par son air.
– Darren tout va bien ?
– Ne t’en fais pas pour moi, j’ai surement mal à tête grâce au sous-chef. Il a été un haut-parleur toute la semaine, il a fini par me donner la migraine. Je ne vais quand même pas manquer cette soirée épic.
Je lui souris convaincu par son discours mais une voix me criait. « Demande-lui de te ramener à la maison, pour prendre soin de lui, loin des embrouilles ».
Cependant je ne fis rien de la sorte. Pour le détendre, je lui saisis la nuque pour lui masser vigoureusement jusqu’au bar. D’ailleurs j’ai eu droit à un tendre sourire pour cette attention. Mon corps se détendit également au contact de sa peau.
Arriver au bar, Ludovic nous attendait adosser à la moto de Darren. Aussitôt quelle l’aperçus Esther siffle son admiration à sa beauté en taquinant Darren au passage.
– Désolé te dire ça, mais ton frère est de braise, de chez braise. Je pense que s’est lui mon préféré, je dois vérifier son caractère, toutefois le physique est un bon point ; sans rancune hein. Finit-elle une main sur son épaule.
Il secoue sa tête avec un sourire amusé, ces paroles ne semblaient aucunement le vexer. Et quelques minutes plus tard, je compris son attitude. Ludovic était le Bad boy sans tâche.
– Sans rancune, toutefois je te conseille de ne te faire aucune attente, Ludovic veut des relations à court terme ; il voyage beaucoup et il ne veut pas s’encombrer d’une fille sorry, sous ses airs gentleman et bon vivant, se trouve un gars qui ne s’attache à personne. Il est trop globe-trotter pour ça, désolé.
Je cache mon visage déformé par la réception de ce message. Mes traits tirés dévoilaient ma déception, désormais je savais à quoi m’attendre. Enfaite Esther était le moins du monde déçue. Elle plaisantait sur le fait que son derrière en valût la peine.
Chance à moi Darren ne vit pas mon expression passée, quelle chance ai-j pensé. Je le suivis du regard vers ma portière, il ouvre et me présente sa main pour que puisse y déposer la mienne. D’ailleurs je lui offris déstabilisé par cette attention gentleman, Darren était un chic type mais gentleman, pas du tout. La soirée devait être importante pour lui. Là je me sentis encore plus malaise.
Alors sans attendre nos restes, nous nous dirigeons vers l’entrée du club, l’ambiance était très festive, à la limite suave. J’ai eu un nouveau temps arrêt, mon environnement de travail me paraissait sur un nouveau jour. Je souris à certains collègues à mon arrivée, néanmoins mon for intérieur tremblait de nouveau. Je devais contrôler mon anxiété, elle n’avait pas lieu d’être. J’engloutis plusieurs verres pour me donner de la constance, cette chaleur me fit un bien fou.
La soirée battait de son plein, quand Darren prit congé et il me fit promettre de m’amuser. Je lui fis des pouces dans les airs en réponse en éclatant de rire. Cette promesse n’était pas difficile à tenir, mon état d’ivresse avancé m’a dénudé de tous stresse accumuler. La dernière fois que j’avais ressenti une telle liberté, enfaite-je men rappelais plus, c’était un vague souvenir.
J’approchai mes lèvres de Darren pour lui dire au revoir, quand un petit gémissement de contrariété s’échappe de mes lèvres quand il se décolle de ma personne. D’ailleurs il me fit un sourire craquant pour ma protestation. Il était fier de ma réaction devant notre public, cependant il y avait un spectateur mécontent. Les yeux de Ludovic étaient sombres et mécontents. Quand je m’en rendis contre, je le regarde intriguer par sa réaction. Toutefois son air change quand il aperçut mes prunelles, pour me faire oublier cet écart. Il tapit le dos de son frère en déclarant « Ah l’amour » et puis sans rien ajouté il nous quitte pour rejoindre ses amis plus loin.
Cette réaction me fit froid dans le dos, quel changement attitude, en très peu de temps. Serait-il bipolaire ?
Durant une partie de la soirée, je ne le quittais plus des yeux, j’étais intriqué par cet homme. Je ne pouvais pas me détacher de lui. Il était une énigme pour moi, un genre d’aimant humain pour toutes personnes qui gravitaient dans sa trajectoire.
En fin soirée j’étais assise tranquillement non loin de la piste de dance. Quand une main virile et solide s’appuie sur mon épaule. Je me retourne et je découvre Ludovic tout sourire, un peu trop grisé par l’alcool. Il s’approche doucement de mon oreille, pour me demander si la place était libre et un frisson parcourait ma colonne vertébrale à ce moment. Cette sensation n’était pas de bon augure, je me raidis pour stopper les frissons qui m’habitaient. Mais sa voix virile détruisit ma dernière résistance. OK je l’avoue ! l’alcool m’a aussi grillé le cerveau. Oh sa bouche charnue, semblait délicieuse à croquer. Je me mordis les lèvres pour ne pas m’avancer et la mordre véritablement, elle était si belle accompagner de ce sourire si craquant. Je les fixais intensément comme hypnotiser par cette adorable moue, c’était vraiment soûl. Amusé par mon trouble, il me répète la phrase une autre fois, mes joues devenues écarlates et je me concentre sur son regard de braise, OK j’étais mal barrer.
Je lui propose le siège en face de moi et ainsi je scellais notre destin sans le savoir.
Plus la nuit avançait plus nos intérêts et nos opinions étaient similaires. L’accumulation de preuve que cet homme était mon homme parfait, mon prince charmant ne me plaisait pas. Pouvait-on être malchanceuse à ce point. Le coup grâce se fit en fin soirée, son énoncé me tyrannisa.
- Tu es carrément mon type de fille. Avait-il lancé tout bonnement.
- Oh oui ! Ai-je répondu dénues
- Oh oui ! a-t-il répondu avec un clin d’œil suivi de son doigt sur ses lèvres pour signifier que c’était un secret.
J’avoue ma nuit succédant la soirée n’a pas été de tous repos. Je me suis passé la fameuse phrase en boucle et en boucle dans ma petite caboche. « Tu es carrément mon type de fille » d’ailleurs il est mon type de gars. Ai-je crié à ma conscience avec une moue dégoutée et déprimé.
Merde, merde, merde, remerde et Redoublemerde.
VOUS LISEZ
Le jumeau de mon ex
Literatura FemininaAurélie 24 ans revient d'une relation toxique, Darren lui propose d'être son rebound " un ami améliorer" mais qu'est qu' Aurélie avait pas prévue, c'est Ludovic le magnétique jumeau de Darren. S'est-elle tromper de jumeaux?