The world of shadows - Tome 2 : Pluie de sentiments. (en réécriture)

Chapitre 22

Lucifer tomba à genou au sol. Il prit sa tête entre ses mains.

-Je ne suis qu'un con ! Je ne la mérite pas. Je ne mérite qu'une chose pourrir en enfers comme tous les autres !

Lucifer se mit à crier de toute ses forces.

-Tuer moi ! Je veux crever !

Des cadavres en décomposition apparurent autour de Lucifer et commençaient à s'agglutiner autour de lui. Ils commençaient à remonter au niveau de son cou. L'un des cadavres mordu Lucifer au cou une coulée de sang se mit à longer le torse muscler du dieu.

-Mon seigneur ? Appela une voix.

-Laisse-moi mourir en paix, Gin.

-Non, mon seigneur !

-Pourquoi ne ma laisses-tu pas ?

-Car elle reviendra j'en suis sûr ! S'exclama Gin.

-Moi pas...

-S'il vous plaît ne mourrez pas mon maître pas maintenant ! Votre heure n'est pas encore venu !

Gin fit un mouvement de bras ce qui fit disparaître les cadavres. Lucifer regarda Gin.

-Excusez-moi, mon seigneur, mais je vous en prie faite-moi confiance ! Son amour pour vous est pure. C'est ce que j'ai ressentie la première fois que je l'ai vu à vos côtés. A vous de me croire maintenant ou pas ?

-Ai-je le choix ? Demanda le dieu.

-Pas vraiment.

-Alors je te crois Gin ! Je te crois même si je souffre !

-Mon seigneur...

-Alors j'attendrais mais à une condition ! Tu me fourniras en whisky !

-Bien maître ! Dit-il en s'inclinant.

Lucifer partit vers le couloir.

-Gin ? L'appela Luc.

-Oui ?

-Je ne veux voir personne.

-Bien monsieur. Dit-il en faisant une révérence.

[...]

-Est-ce que tu apprécies Constance ? Demanda Véronique à Matthias.

-Oui.

-L'aimes-tu ?

-Oui et non.

-Comment ça ?

-Elle m'a briser de l'intérieure...

-Mais c'est réparable ?

-Je ne sais pas. Je l'aime toujours mais elle est partie avec une ordure. Je ne comprends pas pourquoi ! Je ne sais pas si elle m'aime vraiment. J'ai peur des réponses qu'elle me donnera si elle veut m'en donner !

-Mais tu l'aimes ?

-Je crois, oui.

-Alors c'est réparable.

Matthias souleva les épaules ne sachant pas quoi répondre à la grand-mère de Constance.

[...]

Constance arriva à la ville essouffler. L'air lui manquait elle commençait à entrer dans la ville. Sa vue se brouillait. Elle vit une silhouette blanche qui s'approchait d'elle. Constance tendit la main vers la silhouette avant de s'effondrer par terre.

-Tu m'as manqué mon enfant.

La silhouette prit Constance dans ses bras avant de disparaître ensemble.